La dernière instance de la justice italienne a rejeté l’appel déposé par Robinho et validé la peine de neuf ans appliquée à l’ancien international brésilien.
Robinho et son ami Ricardo Falco ont été reconnus coupables de violences sexuelles collectives. Même ainsi, ils ne peuvent pas être extradés vers l’Italie car la constitution de 1988 interdit l’extradition des Brésiliens.
Selon Globoesporte, également le traité de coopération judiciaire en matière pénale entre le Brésil et l’Italie, signé en 1989 et toujours en vigueur, ne prévoit pas qu’une condamnation prononcée par la justice italienne doit être appliquée sur le territoire brésilien.
En d’autres termes, Robinho et Falco ne courent le risque d’être arrêtés que s’ils voyagent à l’étranger et il n’est même pas nécessaire que ce soit en Italie, car si un mandat d’arrêt international est émis et s’ils se rendent dans n’importe quel pays de l’Union européenne, ils peuvent être arrêtés.