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Un homme tué à l’arme blanche lors d’une rixe au Mans

La victime, d’une trentaine d’années, est décédée des suites d’une hémorragie malgré les efforts des secours. Pour l’instant, aucun suspect n’a été interpellé.
Un homme a été mortellement blessé par arme blanche dans la nuit de samedi à dimanche au Mans lors d’une rixe sur la voie publique impliquant une quinzaine de personnes, a-t-on appris de sources proches de l’enquête. Selon une source policière, la bagarre a éclaté sur un parking de la ville vers minuit.
À leur arrivée sur place, les secours ont découvert la victime blessée à l’artère fémorale par au moins un coup d’arme blanche. Malgré la pose d’un garrot en urgence, l’homme, âgé d’une trentaine d’années mais dont l’identité n’avait pas encore été formellement établie dimanche, est décédé, vraisemblablement des suites de cette hémorragie.
Aucune interpellation n’a été effectuée sur le moment, les protagonistes de la rixe s’étant enfuis à l’arrivée des policiers, qui ont donné «la priorité au secours à la personne blessée», a expliqué une source proche de l’enquête. Les circonstances et les motifs de cette bagarre restaient indéterminés à ce stade des investigations.
Selon Le Maine Libre , la victime était accompagnée de deux amis samedi soir et buvait de l’alcool sur un parking du quartier Pontlieue, au sud de la ville, écoutant de la musique via une enceinte connectée.
«Il y a souvent des gens qui boivent le soir, ils sortent sur le parking et ça crée du bazar à partir de 21h30, 22 heures, j’ai déjà vu des bagarres» décrivait hier dimanche une habitante du quartier.
«Dans le quartier, il y a des embrouilles à cause de l’alcool», avance un autre riverain, interviewé par le journal régional depuis la terrasse d’un café ne servant pas d’alcool. L’enquête a été confiée à la Sûreté départementale de la Sarthe et à la Police judiciaire d’Angers.
Avec AFP

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Dani Alves : bonne nouvelle pour l’ancien footballeur brésilien en prison

Comme le rapporte Mayka Navarro, l’avocat de la plaignante a envoyé au juge un document exprimant son intention de percevoir une indemnisation.
Alors que Dani Alves a été récemment incarcéré à titre préventif pour le viol présumé survenu dans la nuit du 30 décembre à la discothèque Sutton de Barcelone, la victime a informé le magistrat en charge du dossier qu’elle renonçait à toute indemnisation. Son souhait, comme l’ont déclaré à ‘El País’ des sources de l’enquête, était que justice soit rendue et que le Brésilien paie sa peine en prison.
Dix mois plus tard, le parquet a déposé une demande de peine s’élevant à neuf ans de prison et 150 000 euros d’indemnisation. Mais que s’est-il passé depuis lors pour que, même si le plaignant a rejeté la totalité du montant financier résultant de l’affaire, le ministère public continue d’inclure de l’argent dans la sanction ?
Comme Mayka Navarro l’a publié dans ‘La Vanguardia’, il faudrait remonter au 4 août. L’avocat de la victime a envoyé au juge du dossier, Concepción Cantón, un document dans lequel elle demandait que l’intention initiale de son client concernant l’indemnisation soit révoquée. La demande a été acceptée dans les plus brefs délais dans un délai de moins de 24 heures.
Ce mouvement est justifié par les règles de la loi dite du «Seulement oui est oui». Le nouveau texte réglementaire envisage la possibilité pour la victime de révoquer sa renonciation si les conséquences du délit s’avèrent plus graves que prévu initialement.
Les conditions semblent donc réunies puisque la victime, selon le document, «n’avait pas conscience de toutes les conséquences du crime ni des circonstances survenues qui auraient empêché […] le développement de symptômes anxio-dépressifs de intensité globalement intense.» modérée et, par conséquent, une détérioration significative dans divers domaines du fonctionnement quotidien.»
Tentatives de parvenir à un accord
Navarro a été le premier journaliste à évoquer la possibilité pour les parties impliquées dans l’affaire de parvenir à un accord qui éviterait de voir Alves sur le banc des accusés. C’est l’avocat du Brésilien de l’époque, Cristóbal Martell, qui a dirigé certaines réunions qui ont mis du temps à atteindre l’opinion publique.
Toute la négociation impliquait la reconnaissance de la culpabilité de la part d’Alves. Cependant, le footballeur n’a à aucun moment voulu admettre les faits qui lui étaient reprochés et a en fait changé d’avocat dans un geste qui a surpris tout le monde.
À l’heure actuelle, selon Navarro, les négociations sont «bloquées», puisque le parquet n’accepte plus les conditions qui avaient été posées auparavant : à savoir trois ans de prison et une indemnisation élevée.
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L’anecdote de Dybala : «J’ai vu cinq appels manqués de José Mourinho»

Entré en jeu face à la Croatie (3-0) en demi-finale et contre la France (3-3, 4-2 t.a.b.) en finale de la Coupe du monde 2022, Paulo Dybala (29 ans, 38 sélections et 3 buts) a passé un coup de fil surprenant après le sacre de l’Argentine. Avant sa famille, le milieu offensif a appelé, ou plutôt rappelé, son entraîneur à l’AS Rome, José Mourinho. Une belle anecdote racontée à TyC Sports.
«Quand le match contre la France s’est terminé, j’ai pris mon téléphone pour appeler ma famille. Et là, j’ai vu cinq appels manqués de José Mourinho ! Du coup, je pense que je l’ai appelé avant d’appeler ma mère. Il était très heureux pour moi mais aussi pour l’équipe, parce qu’il aime les Argentins. Il me dit toujours des choses merveilleuses sur Angel Di Maria et Lionel Messi aussi. Il les aime beaucoup», a raconté l’ancien de la Juventus au média argentin.