Aya Nakamura n’a pas sa langue dans sa poche et le prouve une fois de plus avec son nouveau single «Doggy». Sorti vendredi dernier, ce morceau inédit est une réponse cinglante aux critiques dont elle a fait l’objet, notamment après la polémique autour de sa possible participation à la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris.
«J’ai pas d’ennemis moi, c’est eux qui m’aiment pas.», chante-t-elle dans «Doggy», un morceau qui commence par un ego-trip assumé. La chanteuse francophone la plus écoutée au monde affirme être toujours prête pour la fête et avoir le «cardio» pour ça.
Aya Nakamura répond ensuite, sans les citer, à ceux qui la critiquent depuis que le magazine L’Express a suggéré qu’elle pourrait chanter à la cérémonie d’ouverture des JO de Paris le 26 juillet. Cette hypothèse a provoqué l’ire de l’extrême droite et de l’ultra droite, qui ont accusé Emmanuel Macron de vouloir «humilier le peuple français».
«J’ai l’impression de vous avoir fait découvrir Edith Piaf et qu’elle s’est réincarnée en moi. Le reste, qu’ils nous aiment ou pas c’est leurs dos (dossier)», s’était amusée l’artiste mi-mars sur ses réseaux sociaux.
La star franco-malienne née à Bamako il y a 28 ans, qui a grandi à Aulnay-sous-Bois en région parisienne, a connu un premier succès planétaire avec son tube «Djadja» en 2018.