Société
Une fillette de 6 ans meurt en tombant d’un manège simulant une chute libre

Le drame s’est produit dimanche dans le parc à thème Glenwood Caverns Adventure, dans le Colorado, aux Etats-Unis.
Une fillette de 6 ans est montée avec ses parents dans une attraction baptisée Glenwood Caverns Adventure.
Ce manège à sensation est envoyé 33 mètres sous terre dans une mine, en simulant une chute libre. Mais l’enfant est tombée de l’attraction et s’est retrouvée au fond du puits.
Les secours, arrivés sur les lieux, sont parvenus à remonter le corps de la petite fille mais n’ont pu que constater le décès.
Les circonstances du drame restent à éclaircir. Dans une vidéo de présentation sur YouTube, une employée explique que les occupants portent des ceintures de sécurité mais que rien ne les retient au niveau des épaules.
Un appel aux dons a été lancé sur la plateforme GoFundMe afin de financer les funérailles de l’enfant. Plus de 36.000 dollars ont déjà été récoltés.
«Wongel était une fille belle, attentionnée et joyeuse… Sa vie a été écourtée dans ce tragique accident.» décrit la page.

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Faits divers : un jeune homme de 18 ans frappé et ligoté à son domicile pour de l’argent

Un jeune homme de 18 ans a été très violemment agressé à son domicile, au Pecq (Yvelines), dans la nuit du vendredi 25 au samedi 26 août, a appris Le Figaro d’une source proche du dossier.
Vers 4 heures du matin, le jeune homme s’est retrouvé nez à nez avec un cambrioleur qui venait de s’introduire chez lui. Ce dernier l’a alors frappé à la tête avec le manche d’un couteau avant de l’attacher pendant 4 heures à une chaise, à l’aide de ceintures entravant ses poignets et ses chevilles. Selon nos informations, la victime a également été bâillonnée.
Menacé de mort par le cambrioleur, le jeune homme a été contraint de téléphoner à son père pour qu’il lui fasse un virement immédiat. Suivie de près par son agresseur, la victime a ensuite dû aller retirer 1000 euros à un distributeur automatique avant de lui remettre l’argent. Le suspect, un jeune homme d’environ 16 ans aux cheveux bruns, est parti par la gare RER de Saint-Germain-en-Laye. Une enquête de police est en cours.
Avec AFP
Actualités
L’UE autorise un vaccin pour protéger les bébés de la bronchiolite

La Commission européenne a annoncé vendredi avoir autorisé la mise sur le marché d’un premier vaccin administré aux femmes enceintes pour protéger les bébés contre la bronchiolite, une infection des voies respiratoires.
Le vaccin du géant pharmaceutique Pfizer, commercialisé sous le nom d’Abrysvo, vise le virus respiratoire syncytial (VRS), qui touche particulièrement les enfants en bas âge.
«Prévenir les conséquences graves»
Ce vaccin, destiné à protéger à la fois les futurs nourrissons via leur mère et les personnes âgées de 60 ans et plus, avait été approuvé en juillet par l’Agence européenne des médicaments (EMA). Aux États-Unis, ce vaccin était approuvé depuis mai pour les personnes de 60 ans et plus. Le pays l’a également autorisé lundi pour les femmes enceintes.
«À l’approche de l’automne et de l’hiver, ce vaccin peut contribuer à prévenir les conséquences graves du VRS pour nos concitoyens les plus vulnérables. C’est particulièrement important pour nos enfants, pour lesquels le VRS est l’une des principales causes d’hospitalisation dans l’UE», a commenté la commissaire européenne à la Santé, Stella Kyriakides, dans un communiqué.
Très contagieux, le virus respiratoire syncytial peut provoquer, dans ses formes les plus sévères, des pneumonies et des bronchiolites qui entraînent des milliers de décès et des centaines de milliers d’hospitalisations dans le monde.
Après la grippe et le Covid-19, les grands laboratoires sont en ordre de marche pour lancer dès l’automne, avant la période épidémique, des vaccins contre le VRS. L’Arexvy du laboratoire britannique GSK est déjà disponible aux États-Unis depuis mai et dans l’Union européenne depuis juin pour les plus de 60 ans.
Un traitement préventif
L’Union européenne et les États-Unis ont par ailleurs récemment autorisé un traitement préventif de la bronchiolite développé conjointement par AstraZeneca et Sanofi. Destiné aux nourrissons, le nirsévimab (commercialisé sous le nom de Beyfortus) n’est pas à proprement parler un vaccin, mais fonctionne avec une même intention préventive.
Abrysvo a été évalué dans le cadre du mécanisme d’évaluation accélérée de l’EMA, car la prévention des infections par le VRS est considérée par les autorités européennes comme présentant «un intérêt majeur pour la santé publique».
Avec AFP