La justice brésilienne a accordé son pardon à Neymar, l’attaquant d’Al-Hilal, suite à une condamnation pour avoir construit un lac artificiel dans sa luxueuse maison à Mangaratiba, près de Rio de Janeiro, en violation des réglementations environnementales. Neymar avait été initialement frappé d’une amende de 3,1 millions de dollars par le conseil municipal local.
Cependant, le juge Richard Robert Fairclough, du Tribunal Unique de Mangaratiba, a examiné l’appel de Neymar et a décidé de suspendre les sanctions, les considérant comme «disproportionnées».
Les infractions incluaient la construction du lac, l’agrandissement de sa maison, le détournement des canaux de rivières, la collecte illégale d’eau, le creusement illégal, et l’utilisation non autorisée de sable côtier.
Le juge a qualifié ces accusations d’abusives et a ordonné la suspension des sanctions dans un délai de 72 heures. En outre, la mairie de la ville a été condamnée à payer une amende de 1 941 $ en raison de ces actions excessives, qui, selon la décision, ont violé les principes constitutionnels de légalité, de caractère raisonnable et de proportionnalité. Cette décision judiciaire permet à Neymar de sortir indemne de cette affaire.