Economie
Lionel Messi : quel a été son premier salaire à Barcelone ?

L’histoire parle d’elle-même. Le réel qui vous a vu et qui vous voit. Aujourd’hui, Messi est l’un des meilleurs joueurs du monde et fait partie des meilleurs salaires, mais combien a-t-il gagné à son arrivée à Barcelone ?
Lionel Messi, le footballeur le mieux payé au monde avec un salaire estimé entre 20 et 24 millions d’euros, est arrivé à Barcelone en 2000 avec un «salaire» de 600 euros par mois.
En fait, il l’a fait parce que le club du Barça a proposé de lui payer les frais médicaux du fait qu’à l’âge de 11 ans, il avait été diagnostiqué avec un déficit en hormone de croissance. Et c’est ainsi qu’a commencé une relation qui s’est poursuivie jusqu’à ce jour.
La projection financière du crack argentin pourrait se résumer en ce que cette année, pour régler ses problèmes avec le Trésor public et rattraper ses impôts, principalement au profit de son image, elle a déboursé plus de 35 millions d’euros, devenus le plus gros contribuable d’Espagne.
Après avoir signé son premier contrat à la mi-2004, Messi a signé en juin 2005 sa première révision d’accord, qui lui assurait un salaire annuel de 3 millions d’euros jusqu’en 2011, mais après trois mois, lorsqu’il a obtenu la nationalité espagnole. vu le contrat s’améliorer à nouveau.
Déjà installé en équipe première, il prolonge en janvier 2007 son contrat jusqu’en juin 2014 et au bout de cinq mois il profite d’une nouvelle révision, qui en entraîne une autre avec l’arrivée de Guardiola, à l’été 2008.
Cette modification signifie augmenter sa clause de résiliation. à 100 millions d’euros et salaire à 7 millions, faisant partie de la partie supérieure de l’effectif.
La septième révision du contrat arriverait en septembre 2009, prolongeant son lien jusqu’en 2016, portant sa note annuelle à 10,5 millions d’euros et la clause à 150 millions.

Economie
BMW : chute de 7,7% du bénéfice au troisième trimestre sur un an

Le groupe automobile allemand BMW a affiché au deuxième trimestre un bénéfice net en baisse, plombé par des effets comptables et par ses opérations de couverture de taux d’intérêt, mais a affiché une hausse de ses ventes.
BMW a enregistré une chute de 7,7% de son résultat net, à 2,9 milliards d’euros, a indiqué le groupe vendredi dans un communiqué.
Economie
Solvay : bénéfice net en chute de 33% au troisième trimestre

Le groupe chimique belge Solvay a vu son bénéfice net chuter de 33% sur un an au troisième trimestre, à 340 millions d’euros, plombé par un nouveau plongeon de ses ventes dans une conjoncture mondiale morose, selon un communiqué publié vendredi.
Il s’agit des derniers résultats trimestriels du groupe avant sa scission en deux entités prévue en décembre. Le chiffre d’affaires de l’entreprise s’est effondré de 24% sur la période juillet-septembre, à 2,75 milliards d’euros, sous l’effet d’une demande exsangue et d’une baisse des prix pratiques, dans un «environnement macroéconomique atone» et fortement concurrentiel. Batterie et automobile, construction, industrie…
La baisse des volumes écoulés (-15%) «résulte d’une demande plus faible sur l’ensemble de nos marchés finaux, à l’exception de l’aéronautique», observe Solvay, confronté à une rude concurrence internationale.
Une situation dont pâtit logiquement la rentabilité du groupe: l’excédent brut d’exploitation (Ebitda) a chuté de 23,5% sur un an au troisième trimestre, à 702 millions d’euros.
Ce chiffre «reflète la réduction des volumes, en plus d’effets de changes et d’effets de périmètre négatifs liés à la cession» de sa filiale Rusvinyl, précise l’entreprise. Sur base organique, en excluant effets de périmètre et de change, l’Ebitda recule tout de même de 18,5%.
Trésorerie confortable
La rentabilité apparaît meilleure sur l’ensemble des neuf premiers mois de l’année, avec une baisse de seulement 1,2% de l’Ebitda sur un an, «grâce à une discipline en matière de coûts fixes, qui ont compensé la baisse des volumes», note Solvay.
De même, sur la même période, le flux de trésorerie disponible («free cash flow») a gonflé à 1,03 milliard d’euros, en hausse de 11% sur un an, reflétant selon le groupe sa discipline budgétaire. Il s’affiche cependant en recul de 23,4% au troisième trimestre.
Pour l’ensemble de l’année, le groupe confirme son objectif de croissance organique de l’Ebitda, attendu dans une fourchette de +2% à -5%.
La directrice générale Ilham Kadri a salué la résilience de la rentabilité et de la trésorerie du groupe «malgré le contexte macroéconomique difficile», notamment grâce «à des réductions de coûts supplémentaires».
«Ce trimestre marque une étape historique pour Solvay dans son aventure longue de 160 ans puisqu’il s’agit des derniers résultats trimestriels du groupe avant sa séparation en deux leaders chimiques respectés (…) un nouveau voyage», a-t-elle ajouté.
Le chimiste belge, qui compte 22.000 employés dans 61 pays, a annoncé l’an dernier un projet de scission en deux entreprises distinctes cotées en Bourse.
La séparation sera effective en décembre. L’une des deux entités serait active dans la chimie essentielle, avec des clients notamment dans le bâtiment ou l’automobile, l’autre comprendrait les activités dans la chimie de spécialité.
Avec AFP