Economie
Combien d’argent la Juventus demande pour Cristiano Ronaldo : le prix et le PSG sont attendus

Cristiano Ronaldo n’a pas commencé le dernier match de la Juventus et des alarmes ont été émises concernant le départ du Portugais. Le Paris Saint-Germain est attentif à l’état de l’attaquant et envisage un mouvement de dernière minute.
Cristiano Ronaldo considère que son cycle en Italie est terminé et que l’option de quitter Turin avant la fermeture du marché sonne de plus en plus en Italie. Le salaire élevé du Portugais est l’une des causes qui accélérerait le départ comme la Juventus le voit d’un bon œil pour économiser le coût que cause Ronaldo.
Dimanche dernier, Cristiano n’a pas débuté dans le match d’ouverture du Calcio et il y a des spéculations selon lesquelles la résolution de son avenir en était l’une des causes. La presse italienne s’est levé avec l’ancien joueur du Real Madrid à l’honneur. La Juventus serait prête à se séparer de l’attaquant portugais en échange de 25 millions d’euros.
Le PSG l’a suivi de près cette semaine et a même envoyé un agent en Italie pour en savoir plus sur les demandes de la Juventus. Cette semaine pourrait être décisive pour l’avenir du Portugais. Le Paris Saint Germain veut que Ronaldo participe à la Ligue des champions et le monde du football est ravi de voir le trident Messi-Ronaldo-Neymar.
Pourquoi Ronaldo n’a pas commencé contre l’Udinese
Lors de la conférence de presse qui a suivi le match nul 2-2 entre la Juventus et l’Udinense, la presse italienne s’est de nouveau interrogée sur le remplacement surprise de Cristiano Ronaldo. Cette fois, le coach Allegri, qui sait dans quel état se trouve la fissure grâce à la coexistence interne a déclaré :
«Cristiano Ronaldo est en forme, oui. Je lui parlais avant le match et la décision était de commencer sur le banc. J’ai dit à Cristiano de se préparer, il était bon en seconde période», a déclaré le DT ‘Vecchia Signora’, qui a envoyé l’attaquant sur le terrain à la 60e minute pour remplacer Alvaro Morata.

Economie
BMW : chute de 7,7% du bénéfice au troisième trimestre sur un an

Le groupe automobile allemand BMW a affiché au deuxième trimestre un bénéfice net en baisse, plombé par des effets comptables et par ses opérations de couverture de taux d’intérêt, mais a affiché une hausse de ses ventes.
BMW a enregistré une chute de 7,7% de son résultat net, à 2,9 milliards d’euros, a indiqué le groupe vendredi dans un communiqué.
Economie
Solvay : bénéfice net en chute de 33% au troisième trimestre

Le groupe chimique belge Solvay a vu son bénéfice net chuter de 33% sur un an au troisième trimestre, à 340 millions d’euros, plombé par un nouveau plongeon de ses ventes dans une conjoncture mondiale morose, selon un communiqué publié vendredi.
Il s’agit des derniers résultats trimestriels du groupe avant sa scission en deux entités prévue en décembre. Le chiffre d’affaires de l’entreprise s’est effondré de 24% sur la période juillet-septembre, à 2,75 milliards d’euros, sous l’effet d’une demande exsangue et d’une baisse des prix pratiques, dans un «environnement macroéconomique atone» et fortement concurrentiel. Batterie et automobile, construction, industrie…
La baisse des volumes écoulés (-15%) «résulte d’une demande plus faible sur l’ensemble de nos marchés finaux, à l’exception de l’aéronautique», observe Solvay, confronté à une rude concurrence internationale.
Une situation dont pâtit logiquement la rentabilité du groupe: l’excédent brut d’exploitation (Ebitda) a chuté de 23,5% sur un an au troisième trimestre, à 702 millions d’euros.
Ce chiffre «reflète la réduction des volumes, en plus d’effets de changes et d’effets de périmètre négatifs liés à la cession» de sa filiale Rusvinyl, précise l’entreprise. Sur base organique, en excluant effets de périmètre et de change, l’Ebitda recule tout de même de 18,5%.
Trésorerie confortable
La rentabilité apparaît meilleure sur l’ensemble des neuf premiers mois de l’année, avec une baisse de seulement 1,2% de l’Ebitda sur un an, «grâce à une discipline en matière de coûts fixes, qui ont compensé la baisse des volumes», note Solvay.
De même, sur la même période, le flux de trésorerie disponible («free cash flow») a gonflé à 1,03 milliard d’euros, en hausse de 11% sur un an, reflétant selon le groupe sa discipline budgétaire. Il s’affiche cependant en recul de 23,4% au troisième trimestre.
Pour l’ensemble de l’année, le groupe confirme son objectif de croissance organique de l’Ebitda, attendu dans une fourchette de +2% à -5%.
La directrice générale Ilham Kadri a salué la résilience de la rentabilité et de la trésorerie du groupe «malgré le contexte macroéconomique difficile», notamment grâce «à des réductions de coûts supplémentaires».
«Ce trimestre marque une étape historique pour Solvay dans son aventure longue de 160 ans puisqu’il s’agit des derniers résultats trimestriels du groupe avant sa séparation en deux leaders chimiques respectés (…) un nouveau voyage», a-t-elle ajouté.
Le chimiste belge, qui compte 22.000 employés dans 61 pays, a annoncé l’an dernier un projet de scission en deux entreprises distinctes cotées en Bourse.
La séparation sera effective en décembre. L’une des deux entités serait active dans la chimie essentielle, avec des clients notamment dans le bâtiment ou l’automobile, l’autre comprendrait les activités dans la chimie de spécialité.
Avec AFP