Société
C’est le chiffre millionnaire que la nounou a reçu avec qui le prince Charles a «trompé» la princesse Diana
Les répercussions de l’interview controversée de la princesse Diana à la BBC en 1995 continuent d’imprégner l’entreprise et le journaliste qui l’a signée.
Après avoir découvert que la jeune Lady Di était intimidée et manipulée pour parler devant les médias, la prétendue nounou de Harry et William, avec qui le prince Charles aurait une liaison, a été indemnisée de près de 3 millions de pesos mexicains.
La romance de la nounou et du prince Charles était-elle vraie ?
Selon «The Telegraph», Tiggy Legge-Bourke, qui était la nounou des princes William et Harry, a été indemnisée pour les mensonges que le journaliste a faits pour réaliser l’interview de Lady Di pour la BBC, la société a dû payer un montant proche à 100 000 livres (presque 3 millions de pesos).
Tiggy a également été victime des mensonges du journaliste de la BBC Martin Bashir, qui a déclaré à Lady Di que sa nounou aurait eu une liaison présumée avec le prince Charles pour la convaincre de parler devant les caméras.
On dit que la princesse Diana a été manipulée pour croire que le prince de Galles avait une liaison secrète avec sa nounou, car elle a même reçu des «preuves» d’un avortement présumé que Tiggy aurait pratiqué pour cacher la trace de sa liaison extraconjugale avec l’héritier du trône.
«Tiggy Legge-Burke était au centre de la manipulation de Bashir, et il n’est que juste que les dommages qui lui ont été causés soient reconnus par la BBC», a déclaré une source au journal britannique au sujet de l’indemnisation.
Qu’est-il arrivé au journaliste de la BBC qui a trompé la princesse Diana ?
L’ancien juge de la Cour suprême John Dyson a également demandé à la BBC de s’excuser pour des excuses «complètes et inconditionnelles», tout comme le journaliste de 58 ans, qui a déclaré : «C’était stupide et c’est un acte que je regrette profondément».
Cette interview a été un énorme coup de pouce pour Bashir, qui a ensuite poursuivi sa carrière avec assez de succès avant le lancement d’enquêtes sur l’affaire Lady Di, peu de temps après qu’il a cessé de travailler pour la célèbre chaîne de télévision.
Société
Iran : un footballeur suspendu et condamné pour avoir fait un câlin à une supportrice
Le gardien international Hossein Hosseini a été suspendu un match par la Fédération iranienne de football pour avoir enlacé une supportrice lors d’un match de championnat, a annoncé lundi un média sportif local.
L’incident s’est produit le 12 avril lorsqu’une supportrice de l’Esteghlal de Téhéran avait interrompu le match entre son club et Aluminium Arak en entrant sur le terrain.
Hossein Hosseini avait pris brièvement la jeune fille dans ses bras après son arrestation par les agents de sécurité du stade.
La fédération a condamné le joueur à une amende de 300 millions de tomans (4.400 euros) et une suspension d’un match pour «mauvais comportement envers les agents de sécurité du match», a indiqué le quotidien Khabar Varzeshi.
Les femmes autorisées dans les stades depuis 2022
La République islamique interdit à un homme de toucher une femme hors du cercle familial et la présence des femmes dans un stade en Iran a longtemps été interdite.
En janvier 2022, elles avaient ainsi été autorisées à assister à un match international pour la première fois en près de trois ans. Agé de 31 ans, Hossein Hosseini a passé la quasi-totalité de sa carrière à l’Esteghlal, l’un des clubs les plus populaires d’Iran.
Remplaçant dans l’équipe nationale, il a joué un match du premier tour du Mondial 2022 au Qatar, contre l’Angleterre. L’Esteghlal, surnommé les «Bleus de la capitale», est en tête du championnat iranien à six journées de la fin de la saison.
Avec AFP
Société
Afghanistan : 33 morts en trois jours dans des inondations
Au moins 33 personnes ont péri depuis vendredi dans des inondations et crues subites en Afghanistan, a annoncé dimanche un responsable du Département de la gestion des catastrophes naturelles. Une vingtaine des 34 provinces afghanes enregistre actuellement un niveau élevé de précipitations, y compris la province de Kaboul.
«D’après les premières informations, depuis vendredi, des crues subites ont provoqué de lourdes pertes humaines et financières», a déclaré le porte-parole Janan Sayeq. «Trente-trois personnes sont mortes et 27 ont été blessées». La plupart des décès sont imputables à la chute de toitures, a-t-il précisé.
Les précipitations ont par ailleurs entraîné la destruction totale ou partielle de près de 600 maisons et ont détruit 580 kilomètres de routes. Près de 800 hectares de terres agricoles ont été submergés et 200 têtes de bétail tuées, a ajouté le porte-parole.
Bouleversements climatiques
Ces inondations touchent quasiment toutes les régions en ce printemps, période traditionnelle de pluies en Afghanistan. Les prévisions pour la semaine à venir font état de davantage de pluies dans le pays, notamment dans les provinces de Kaboul ou de Ghazni (centre-est), Nangarhar (est) ou Kandahar (sud).
Quelque 60 personnes avaient été tuées après de fortes précipitations lors des trois dernières semaines de mars dans le pays. L’Afghanistan a connu un hiver très sec et est très touché par les bouleversements climatiques.
Selon les scientifiques, ce pays ravagé par quatre décennies de guerre et qui figure parmi les plus pauvres du monde, est aussi l’un des plus mal préparés pour faire face aux conséquences du changement climatique.
Avec AFP