Société
Violée en pleine journée à la plage, une ado raconte son calvaire

Le 18 juillet dernier, une adolescente de 15 ans et ses amis ont décidé de passer un bon moment en allant une journée à la plage, à Bournemouth, en Angleterre. C’était l’une des journées les plus chaudes de l’été et des centaines d’autres personnes profitaient du soleil, du sable et de la mer. Mais cette affluence n’a pas empêché à la jeune fille de se faire agresser sexuellement.
«Personne ne pouvait voir ce qu’il se passait»
Elle raconte qu’elle était en train de jouer à la balle avec des amis lorsque le ballon a atterri près d’un garçon qui a refusé de lui rendre.
«Il a commencé à me parler et à me toucher le bras. Au même moment, un autre homme embêtait mon amie et elle a fini par quitter la plage. J’étais seule avec lui maintenant. Il a commencé à me pousser dans l’eau profonde. Mes pieds ne touchaient plus le sable. C’est alors qu’il a commencé à me toucher. Personne ne pouvait voir ce qu’il se passait et c’est à ce moment qu’il m’a violée», explique l’adolescente de 15 ans dans l’émission Crimewatch sur la BBC.
L’agression s’est arrêtée lorsque quelqu’un s’est approché et la fille a enfin pu regagner la rive. Néanmoins, l’agresseur l’a encore suivie en lui demandant son numéro de téléphone et en lui demandant s’il pouvait la revoir. Finalement, il s’est éloigné. «J’ai dit à mon ami ce qu’il était passé. J’avais vraiment mal et je suis allée aux toilettes», détaille la victime.
«J’ai tellement peur que les gens me jugent»
Depuis cette journée d’été et cette agression, la jeune fille n’arrive plus à vivre normalement : «Depuis que c’est arrivé, j’ai beaucoup changé, je n’ose plus sortir. Je me sens effrayée et vulnérable. J’ai tellement peur que les gens me jugent pour ce qu’il s’est passé. Je n’ai pas demandé cela, j’ai essayé de l’arrêter mais je n’ai pas réussi».
La police locale a ouvert une enquête. L’agresseur est un adolescent d’environ 17 ans. Un portrait-robot a été diffusé par les autorités mais à ce jour, le jeune homme est toujours introuvable.

Société
En plein tribunal, un père frappe l’assassin de son fils de 3 ans (vidéo)

Desean Brown, 22 ans, est jugé devant une cour de justice aux Etats-Unis pour le meurtre de sa compagne et du fils de cette dernière, âgé de 3 ans.
Les faits se sont déroulés le 12 décembre 2020 à Cincinnati, dans l’Ohio. Ce jour là, le jeune homme avait poignardé à mort Nyteisha Lattimore, 29 ans, et jeté vivant son enfant Nylo, 3 ans, dans la rivière Ohio.
Des traces de sang appartenant à Nylo avaient été retrouvées sur la couverture qui recouvrait le corps de sa mère et sur la poussette. Mais le corps de l’enfant n’a jamais été retrouvé.
Les enquêteurs pensent que Desean Brown avait tué Lattimore parce qu’elle avait fait une fausse couche d’un bébé qu’il pensait être le sien.
Sur les images filmées au tribunal, le père biologique du garçon, situé au dernier rang de la salle d’audience, s’est faufilé par derrière et a roué de coups de poings l’accusé.
Il a fallu deux agents pour maîtriser Antonio Hughes. Il fera sept jours de prison pour outrage à magistrat. Quant à Desean Brown, il risque la peine de mort.
Société
Une adolescente de 15 ans disparue a été assassinée par deux garçons de 13 et 14 ans

Anastasia, une adolescente de 15 ans, avait disparu depuis dimanche. Ce soir là, elle avait été aperçue pour la dernière fois près d’une école dans la ville de Salzgitter, en Allemagne. Après on n’a plus aucun signe de vie.
Après d’intenses recherches menées par la famille, les proches et la police, le corps sans vie de la jeune fille a été découvert mardi derrière un supermarché.
La victime a été formellement identifiée le lendemain. Les causes de la mort de la mort n’ont pas été dévoilées mais on sait que l’adolescente a été assassinée.
Ce jeudi, deux garçons âgés de 13 et 14 ans ont été interpellés. Tous deux étaient dans la même école qu’Anastasia et vivaient dans le même quartier.
Ils sont soupçonnés d’avoir assassiné l’adolescente. Un troisième jeune homme, qui aurait assisté au meurtre, a également été arrêté.
Selon les premiers éléments de l’enquête, une certaine intimité existait entre les suspects et la victime.