Ce jeudi 18 juillet 2024, le père de Raphaël s’est prononcé sur la relation de son enfant dans un live sur Tiktok. Alors que sur recommandation des experts, Ophélie et Raphaël ont, à la fin de la huitième saison de Mariés au premier regard, décidé de faire chemin ensemble, le père du jeune a mis les choses au point.
Mariés au premier regard/ Ophélie et Raphaël, Loïc et Ludivine : l’alliance éphémère
Au début, Ophélie et Raphaël ont fait aveuglément confiance aux experts. Annoncés être compatibles à un degré important, les deux partenaires ont décidé de faire chemin ensemble pour une destination plus nette. Mais chose étonnante, la complicité n’a pas abouti. Leur deux partenaires ont du mettre fin à leur alliance scellée lors de la célébration nuptiale.
L’émission filait de beaux jours et les partenaires vont à nouveau se rencontrer loin des caméras. Ophélie et Raphaël vont se retrouver né à né pour fumer le calumet de l’amour à nouveau.
Mariés au premier regard : le visage du vrai amour pour Ophélie et Ludivine
Sur Instagram, la jeune femme a écrit : « Nous avons décidé d’avancer main dans la main, pour le meilleur et pour le pire. Nous n’étions pas prédestinés à être ensemble, mais depuis un mois l’amour en a décidé autrement ! ». Dans le mois de juillet, le couple a plus donné de ses nouvelles ce qui confirme le pressentiment des internautes.
La séparation d’une personne que l’on aime fait sans doute mal. C’est ce que peut ressentir Raphaël qui avec impatience, veut revoir son amoureuse. Alors qu’il partage son quotidien avec son père, ce dernier va donner son avis sur le sujet.
MAPR : le père de Raphaël donné son « OK »
Le jeudi 18 juillet, le père de Raphaël a fait son apparition dans le Live de son fils où il laissé entendre : « Je l’adore et elle aussi ». Il parlait de Ophélie. Son fils surpris, a affirmé : «Elle va prendre la grosse tête ». Pour le daron, la distance ne tue pas l’amour mais plutôt un arrêt de communication : « Ce n’est pas la distance qui sépare les couples c’est le SILENCE » a-t-il précisé.