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Rodrygo et sa petite amie rompent leur relation : «Je suis célibataire. Et je…»
La Brésilienne a mis en ligne une vidéo sur son compte Instagram expliquant que la séparation a eu lieu il y a un mois et que la footballeuse l’a partagée.
La relation sentimentale entre le Real Madrid et le footballeur brésilien Rodrygo Goes et le créateur de contenu Luana Atik Lopes a pris fin. Du moins, ce sont les informations que les deux ont partagées sur leurs comptes Instagram respectifs.
Dans ses histoires, la Brésilienne a partagé près d’une douzaine de questions de ses abonnés lui demandant si elle était célibataire. «C’est l’une des questions les plus fréquemment posées ces derniers temps. Oui je suis célibataire. Et je pense qu’il est temps d’en parler», a-t-il écrit avant d’entrer un peu plus dans les détails dans une vidéo qu’il a posté plus tard.
«Rodrygo et moi avons terminé il y a plus d’un mois et c’était d’un commun accord», soulignait-il dans la séquence. «Les gens de la paix, direction la sixième», a-t-il ajouté, évoquant la Coupe du monde et souhaitant des encouragements à son ex-partenaire, dont il a également mis en ligne une vidéo lors de ses débuts en Coupe du monde contre la Serbie.
Pour sa part, le joueur du Real Madrid a également partagé les déclarations de Luana. «Tous en paix les gens. Merci beaucoup pour tout Lu», a-t-il détaillé avant de plaisanter avec un dernier message : «Nous sommes des ex», qu’il a capturé accompagné de cinq émoticônes pleurant de rire et d’un cœur.
Pendant que leur romance a duré, les deux ont été très actifs sur les réseaux sociaux en partageant du contenu ensemble. Maintenant que tout est fini, même si c’était d’un commun accord, il n’y a plus trace de photographies ensemble.
Une relation qui a débuté en 2019
Rodrygo et Luana étaient ensemble depuis 2019. En fait, c’est à la suite des débuts de l’attaquant avec le club merengue que les détails de son histoire ont commencé à être connus.
Le Brésilien, de deux ans son aîné, l’a accompagné à Madrid lorsque le désormais international a fait ses premiers pas dans le football professionnel européen.
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Kenya : après la mort du chef des armées, Nairobi entame trois jours de deuil national
Le Kenya a entamé vendredi trois jours de deuil national après la mort dans un accident d’hélicoptère de son chef des armées et de neuf hauts responsables militaires.
«Dernier hommage», titrait en première page le quotidien Daily Nation. Âgé de 61 ans, Francis Omondi Ogolla avait été nommé à la tête des armées le 29 avril 2023 par le président William Ruto. Le bilan tragique de cet accident avait été annoncé jeudi soir par le président à l’issue d’une réunion du Conseil de sécurité kényan qu’il avait convoqué en urgence. Deux militaires ont survécu au crash.
«Un éminent général quatre étoiles est tombé dans l’exercice de ses fonctions et au service du pays», avait poursuivi William Ruto. L’hélicoptère s’est écrasé jeudi en début d’après-midi dans la région reculée de Sindar, dans le comté d’Elgeyo Marakwet, à environ 400 km de Nairobi.
L’armée de l’air a dépêché une équipe d’enquêteurs pour établir les causes de l’accident. Selon le président Ruto, les hauts gradés étaient à bord d’un hélicoptère Bell UH-1B, surnommé «Huey», un appareil développé dans les années 1950 et largement utilisé par l’armée américaine pendant la guerre du Vietnam.
Une perte pour «toute la région»
Des médias kényans ont indiqué qu’il s’agissait du cinquième accident d’hélicoptère militaire en 12 mois, les appareils étant souvent vieux et mal entretenus. En juin 2021, au moins 10 soldats avaient été tués lorsque leur hélicoptère s’était écrasé au cours d’un exercice d’entraînement au sud de Nairobi.
Des messages de condoléances ont été envoyés, entre autres, par l’Union africaine, le groupement régional d’Afrique de l’Est (IGAD) et les ambassades des Etats-Unis, du Royaume-Uni et de l’Union européenne au Kenya. «Cette perte n’est pas seulement ressentie par le Kenya, mais aussi par toute la région», a déclaré le secrétaire général de l’IGAD, Workneh Gebeyehu, sur X.
Passé par l’Ecole militaire de Paris et le National Defence College of Kenya, le général Ogolla avait commencé sa carrière en avril 1984 dans l’armée de l’air, selon le site du ministère kényan de la Défense.
Avec AFP
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Chine : Apple contraint de retirer les applications WhatsApp et Threads à la demande des autorités
Apple a retiré WhatsApp et Threads de sa boutique d’applications en Chine à la demande des autorités, rapporte vendredi l’agence Bloomberg qui cite le groupe américain Meta, propriétaire des deux programmes visés.
La Chine surveille étroitement ses médias et son internet, soumis à une stricte réglementation et une censure des contenus qui présentent la politique de l’Etat sous un mauvais jour ou sont de nature à créer de l’agitation.
De nombreux sites (Google, Youtube…), applications et réseaux sociaux étrangers (X, Instagram, Facebook…) sont ainsi inaccessibles sans outils informatiques comme des réseaux privés virtuels (VPN) permettant de contourner les blocages.
«L’administration chinoise du Cyberespace (CAC) a ordonné le retrait de ces applications en raison de préoccupations en matière de sécurité nationale», a indiqué Apple dans un communiqué, cité par l’agence d’information financière Bloomberg.
«Nous sommes tenus de respecter les lois des pays dans lesquels nous sommes présents, même si nous ne sommes pas d’accord», a précisé Apple dans un communiqué, toujours selon Bloomberg.
Apple n’avait pas répondu dans l’immédiat à une demande de commentaire. WhatsApp est une populaire application de messagerie instantanée, tandis que le réseau social Threads est un concurrent de X (ex-Twitter).
Pas de réponse
Toutes deux appartiennent au groupe américain Meta, qui a renvoyé l’AFP vers Apple pour un commentaire. Sollicités, ni le régulateur chinois de l’Internet (CAC) ni le ministère de l’Industrie et des Technologies, qui supervise également en Chine l’internet, n’ont répondu dans l’immédiat.
Vendredi, WhatsApp et Threads étaient indisponibles sur la version chinoise de l’App Store, la boutique virtuelle d’Apple où se téléchargent les applications. Elles restent cependant téléchargeables sur des App Store situés hors de Chine continentale.
WhatsApp est largement supplanté en Chine par WeChat (messagerie, paiement en ligne, réseau social, achats et réservations). L’application, présente sur la quasi-totalité des téléphones dans le pays, sert quotidiennement de moyen de paiement à des centaines de millions de Chinois.
Quant à Threads, qui permet de publier publiquement et pour ses abonnés des contenus texte, photo et vidéo, il a un équivalent depuis 2009: Weibo. Les produits Apple, de l’iPhone à l’iPad, sont immensément populaires en Chine, l’un des principaux marchés du groupe américain hors des Etats-Unis.
La marque à la pomme s’est toujours abstenue de prendre position sur des sujets sensibles ou de froisser le pouvoir chinois. Son PDG a été plusieurs fois reçu par de hauts responsables, tel un chef d’Etat.
Avec AFP