Société
Quel membre de la famille royale est à l’origine de la campagne de haine contre Meghan Markle ?
Il semble que quelqu’un ait des raisons impérieuses de lancer une campagne contre la duchesse de Sussex
Il s’avère que ce n’est pas par hasard que tant de messages haineux contre Meghan Markle sont apparus sur Twitter après son départ de la couronne britannique, des spécialistes se sont chargés d’enquêter sur l’affaire et ont trouvé un possible coupable, qui ferait partie de la équipe familiale réelle.
Selon les enquêtes de la société Bot Sentinel, chargée de trouver la prétendue campagne de haine contre Meghan Markle, il a été découvert que la plupart des messages examinés, plus de 114 000 tweets, proviennent de seulement 83 comptes, dont ils sont responsables pour les diffuser de manière coordonnée.
Qui se cache derrière la haine de Meghan Markle ?
Le plus drôle, c’est qu’il a également été constaté que ces mêmes récits suivaient, auparavant, le récit des ducs de Cambridge, William et Kate.
On sait que les ducs de Cambridge ne gèrent pas leurs réseaux sociaux, ils n’en ont donc peut-être pas été directement responsables, mais il est certain qu’ils connaissent son existence. Depuis ces mêmes comptes ont toujours montré leur soutien à Kate et William.
Selon The Times, le vrai responsable de cette campagne de haine est peut-être Jason Knauf, qui est en charge de gérer les réseaux sociaux des ducs de Cambridge.
A noter que Jason était le responsable de la communication de Kensington Palace lorsque Meghan, Harry, Kate et William n’avaient pas encore divisé leurs bureaux et formaient un quatuor.
Par conséquent, Knauf supervise tous les types de communication des ducs de Cambridge. Et pendant un temps, il a également veillé sur le duc et la duchesse de Sussex. Maintenant, Jason est le directeur exécutif de la Royal Foundation et est connu pour être très proche de William et Kate.
Nous ne pouvons pas oublier de mentionner que Knauf était l’un des employés du palais qui aurait dénoncé Meghan Markle pour mauvais comportement avec ses employés.
Et qui a assuré qu’Harry lui demandait de la discrétion pour que la plainte ne transcende pas et ne reste qu’un simple échange de mails entre Knauf et Simon Case.
De même, Jason est impliqué dans le procès que Meghan a intenté contre le conglomérat d’édition Associated Limited Newspapers pour avoir publié la lettre qu’elle a envoyée à son père, les avocats de la duchesse de Sussex ont assuré qu’elle avait demandé à Knauf de l’aider à l’envoyer.
Actualités
WhatsApp : votre compte pourrait bientôt être banni, voici pourquoi
WhatsApp a récemment pris une mesure drastique en bannissant des milliers d’utilisateurs de versions non officielles de son application de messagerie. Selon la filiale de Facebook, ce bannissement sera automatique à l’avenir, soulignant ainsi l’importance de la sécurité pour l’entreprise et ses utilisateurs.
«Les applications non prises en charge, telles que WhatsApp Plus et GB WhatsApp, sont des versions modifiées de WhatsApp. Ces applications non officielles sont développées par des tiers et violent nos conditions d’utilisation», annonce WhatsApp dans un communiqué.
Cette décision découle d’un souci de sécurité, car WhatsApp ne peut garantir le niveau de sécurité de ces applications tierces, mettant ainsi en péril la confidentialité des utilisateurs.
WhatsApp a donc envoyé un avertissement aux utilisateurs concernés, les incitant à utiliser uniquement la version officielle de l’application pour éviter tout risque de violation de sécurité.
Pour récupérer l’accès à leur compte, les utilisateurs bannis n’ont qu’à télécharger la version authentique de WhatsApp, leur bannissement étant temporaire.
Cependant, WhatsApp ne garantit pas la conservation de l’historique des utilisateurs ayant utilisé des applications tierces. Avec l’automatisation du processus de bannissement grâce à l’intelligence artificielle, WhatsApp a déjà banni 2 millions de comptes en un mois, renforçant ainsi sa politique de sécurité.
Société
Brésil : une tempête fait au moins treize morts dans le Sud-Est
Au moins treize personnes ont perdu la vie lors d’une violente tempête qui a touché vendredi le sud-est du Brésil, notamment la région montagneuse de l’État de Rio de Janeiro où les autorités qualifient la situation de «critique».
Le gouvernement de l’État de Rio a confirmé quatre morts dans l’effondrement d’une maison et d’un petit bâtiment à Petrópolis, une ville touristique située à environ 70 kilomètres de la capitale de l’État.
Une équipe de l’AFP a assisté samedi matin au sauvetage d’une fillette qui avait été ensevelie pendant seize heures sous les décombres, et à la découverte du corps de son père près d’elle. «Le père a héroïquement protégé la fillette avec son corps et elle a été sauvée (…) Nous sommes dans la douleur, mais reconnaissants pour ce miracle», a déclaré à l’AFP Luis Claudio de Souza, 63 ans, voisin et propriétaire d’un bar du quartier.
Une situation «critique»
La situation à Petropolis est «critique», en raison de «pluies intenses et du débordement de la rivière Quitandinha», a prévenu le gouverneur Claudio Castro vendredi sur les réseaux sociaux.
Au total, l’État de Rio a enregistré sept décès depuis vendredi en raison des pluies, dont d’autres à Teresópolis, Santa Cruz da Serra et Arraial do Cabo, selon le gouvernement. Par ailleurs, la défense civile d’Espírito Santo a confirmé samedi après-midi quatre décès dans le sud du territoire.
Par ailleurs, deux enfants sont morts vendredi dans des incidents liés à la pluie sur le littoral de São Paulo. La tempête est due à l’arrivée d’un front froid qui a fait des ravages en milieu de semaine dans le Rio Grande do Sul (sud), puis a touché São Paulo et Rio, avant d’atteindre Espírito Santo, ont expliqué les météorologues de l’Institut national de météorologie (Inmet). La gravité des inondations a été illustrée par des images aériennes montrant la ville de Mimoso do Sul sous les eaux, diffusées par les pompiers.
Les prévisions de l’Inmet avaient anticipé une tempête «sévère», en particulier à Rio, avec des précipitations de 200 mm de pluie par jour entre vendredi et dimanche. Ce volume dépasse la moyenne historique de 141,5 mm estimée pour l’ensemble du mois de mars.
La tempête survient après une vague de chaleur dans la région, où une température ressentie de 62,3ºC a été enregistrée dimanche à Rio de Janeiro. Le Brésil, qui subit les effets du changement climatique, est en proie à des catastrophes naturelles à répétition. Plus de 230 personnes étaient mortes à Petropolis en 2022 à la suite de fortes pluies.
Avec AFP