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Play-offs NBA : les Lakers qualifiés, les Kings poussent les Warriors à un 7e match
LeBron James et les Lakers poursuivent leur chemin en play-offs. Petre Thomas / REUTERS
Les Lakers ont facilement écarté Memphis en s’imposant (125-85). Golden State jouera un match couperet face à Sacramento.
Les Lakers de LeBron James se sont qualifiés pour les demi-finales de conférence Ouest en étrillant les Grizzlies (125-85), au contraire des Warriors surpris chez eux par les Kings (118-99) et poussés à un septième match décisif, vendredi en play-offs de la NBA.
L’ambiance des grands soirs régnait dans la Crypto.com Arena, en présence d’un parterre de stars dont l’acteur Jack Nicholson, qu’on n’avait pas vu «courtside» depuis longtemps et que «LBJ» n’a pas manqué de saluer avant le match.
James, qui a aussi fait un «check» à son ancien – et futur ? – coéquipier Kyrie Irving, a ensuite guidé les siens vers une victoire autoritaire. Très adroit (22 pts à 9/13 aux shoots), il a tenu parole, lui qui ne s’était pas épargné après le précédent match, estimant avoir été «nul» et promettant de se ressaisir.
Anthony Davis a été ultra-dominant à l’intérieur (16 pts, 14 rbds), déterminé à ne rien laisser passer à l’image de ses cinq contres, pendant que D’Angelo Russell accablait les Grizzlies dans le troisième quart-temps, en y inscrivant 14 de ses 31 points.
Dire qu’il n’y a jamais eu de suspense est un euphémisme, car L.A. a fini avec 40 unités d’avance, profitant de la déconfiture de Grizzlies, hâbleurs en début de série et bien muets cette fois, Ja Morant étant limité à 10 points (à 3/16).
«L’énergie du désespoir»
«Nous avons joué avec l’énergie du désespoir. Mais nous ne sommes pas satisfaits, nous avons encore beaucoup de travail à faire», a commenté Davis.
Ses Lakers, qui n’avaient plus passé un premier tour depuis 2020, année de leur dernier sacre dans la bulle anti-Covid d’Orlando, vont profiter de deux jours de repos supplémentaires par rapport à leurs prochains adversaires qu’ils ne connaissent pas encore, puisque Sacramento, qui jouait sa survie, a égalisé à 3-3 face à Golden State.
Un scénario pas forcément attendu, car le champion en titre pensait avoir fait le plus dur en s’imposant 48 heures plus tôt chez les Kings. Or les Warriors ont été très loin d’en finir et le doute de basculer dans leur camp, même si les hommes de Steve Kerr ont l’expérience et le talent nécessaires pour avoir le dernier mot.
Mais ils devront montrer un autre visage, car ils sont apparus empruntés sinon apathiques en défense. Un problème récurrent cette saison.
En face, les Kings ont joué avec le mors aux dents, en apportant une réponse collective de tous les instants. Symbole de leur succès: l’apport des remplaçants, auteurs de 52 points, Malik Monk ayant été le plus prolifique (28 pts).
Quant à De’Aaron Fox, malgré une fracture à l’extrémité de l’index de la main gauche, il a encore été une insaisissable anguille pour l’arrière-garde des Warriors, fort d’une adresse remarquable (26 pts, à 10/18 aux tirs, 11 passes).
Warriors «surclassés»
«On a toujours cru en nous. Nous ne sommes pas venus ici en pensant que notre saison serait terminée ce soir. On savait qu’on peut marquer pas mal de points contre n’importe quelle équipe et que défensivement on devait faire mieux», a-t-il réagi.
Le tout sans que Domantas Sabonis ne pèse vraiment (7 pts, 11 rbds), plombé par six fautes valant une exclusion précoce. En plus, le pivot lituanien a reçu un coup de coude involontaire, sous l’oeil gauche, de Kevon Looney.
Jamais entré du bon pied dans ce match, Golden State a aussi été maladroit en attaque, payant trop de choix hasardeux, à l’image de Jordan Poole guère inspiré (7 pts à 2/11 aux shoots).
«Jordan n’a jamais vraiment été à la hauteur ce soir, malheureusement. Il n’a pas réussi à se libérer. C’est une soirée frustrante pour lui, pour nous tous, y compris pour moi. Nous disons toujours que nous gagnons ensemble et que nous perdons ensemble, joueurs et entraîneurs. Les Kings nous ont surclassés, ils ont mérité de gagner», a souligné le coach Steve Kerr.
En dépit d’éclairs sporadiques de Stephen Curry (29 pts), les Warriors ont en effet été bousculés dans l’agressivité. Une réaction d’orgueil s’impose dimanche à Sacramento, car leur pend au nez une grosse déconvenue
Avec AFP
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Margaret Qualley a immédiatement su que Jack Antonoff était destiné à devenir son mari
Margaret Qualley est tombée “éperdument amoureuse” de Jack Antonoff et “savait” qu’il était destiné à devenir son mari.
La star de “Maid” et le musicien et producteur de disques se sont mariés en août dernier, après deux ans de vie commune, et elle savait exactement quand ils marcheraient vers l’autel.
Dans le numéro d’avril du magazine ELLE UK, dont elle fait la couverture, elle se souvient : “J’avais rencontré Jack probablement deux semaines auparavant, mais j’ai tout de suite été éperdument amoureuse. J’ai eu la certitude qu’il était mon mari. Je parlais de Jack et j’ai dit à Virginie Viard [directrice de la création de Chanel] : “Je crois que je viens de rencontrer l’homme que je vais épouser. Et Virginie, si j’ai raison, tu me feras ma robe de mariée ? J’ai dit : ‘Donnez-moi deux ans…'”.”
L’actrice de 29 ans a planifié le mariage de ses rêves toute sa vie et lorsqu’elle a rencontré le musicien, elle a pensé qu’il avait besoin d’un “grand mariage” car il a beaucoup d’amis et de famille.
Elle s’est exprimée à ce sujet : “J’ai toujours voulu me marier. J’étais cette fille très féminine qui se promenait avec sa sœur en fantasmant sur nos mariages, ou sur ce que seraient nos maris. Mais je ne pense pas que j’aurais eu un mariage aussi important sans Jack. Je voulais que ce soit grandiose avec lui. C’était un peu comme si Jack avait besoin d’un grand mariage. Et il me semblait que ce serait plus amusant. Il a tellement d’amis formidables et une famille nombreuse. Je pense que [les mariages] sont presque autant pour votre famille et vos amis que pour vous.”
Célébrités
Taylor Swift apprécie de ne pas être «la star» des matchs de Travis Kelce
Taylor Swift aime assister aux matchs de son compagnon Travis Kelce car elle n’a pas à être “la star” de l’événement.
La chanteuse de “Anti-Hero” est régulièrement présente dans les tribunes pour encourager son petit ami lors des matchs des Kansas City Chiefs et l’entraîneur du sportif, Andy Reid, a insisté sur le fait que malgré la surveillance dont le couple fait l’objet, ils n’en font jamais “un problème” et il ne pense pas que l’attention supplémentaire que sa présence a apportée ait été négative.
Dans l’émission “Fecoe in the Morning” sur Audacy’s 610 Sports Radio, Andy a déclaré : “J’étais simplement ravi qu’ils soient tous les deux heureux. Trav n’en a jamais fait un problème. Je pense qu’elle s’est vraiment amusée à regarder les matchs sans être sous le feu des projecteurs. Elle a pu entrer dans le jeu et elle a adoré le fait de ne pas avoir à être la star. Elle pouvait se contenter de rester là-haut et de profiter. J’ai trouvé que c’était très positif”.
Andy connaît Taylor depuis plus longtemps que Travis, ce que le joueur a été choqué de découvrir.
Andy a ajouté : “En fait, je la connaissais, elle et sa famille, avant Trav… Ils viennent de Pennsylvanie, et son père était un fan des Eagles – un fan de football tout court – je crois qu’il a joué à Delaware, donc il comprend le jeu. Et elle a une mère géniale. Je l’ai rencontrée quand elle était jeune, je n’ai jamais eu peur qu’elle ne s’en sorte pas. Elle se débrouille si bien et a si bien réussi dans sa carrière.”