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Nouvelles découvertes macabres près d’un pensionnat pour autochtones au Canada

Une communauté autochtone de l’ouest du Canada a annoncé jeudi 12 janvier avoir à son tour découvert de possibles tombes anonymes et un os d’enfant près d’un pensionnat canadien pour autochtones.
Depuis un an et demi, plus de 1.300 tombes d’enfants ont été retrouvées près de ces institutions où étaient enrôlés de force les enfants autochtones, provoquant une onde de choc dans le pays et une prise de conscience nationale du sombre passé colonial.
À Lebret, dans la province de la Saskatchewan, un radar a permis de découvrir près de «2.000 zones» suspectes qui doivent faire l’objet d’une recherche approfondie, a expliqué jeudi la communauté crie de Star Blanket.
Un chiffrage précis du nombre de tombes est encore impossible avant de plus amples investigations car chaque «zone» n’est pas obligatoirement synonyme de sépulture anonyme, a précisé Sheldon Poitras, qui a mené les recherches.
Toutefois, a été également découvert un fragment d’os de mâchoire d’un enfant datant d’environ 125 ans, la «preuve matérielle de la présence d’une sépulture non marquée», a noté Sheldon Poitras.
«Nos cœurs sont lourds aujourd’hui. C’est inimaginable», a déclaré Michael Starr, le chef de la communauté. C’est sur les indications d’anciens élèves du pensionnat que les zones de recherche avaient été sélectionnées près de ce pensionnat administré par l’Église catholique et ouvert jusqu’en 1998.
«Le travail ne fait que commencer»
Jeudi, le premier ministre Justin Trudeau a qualifié cette annonce de «difficile» et admis que «le travail ne faisait que commencer», promettant l’aide du gouvernement à chaque étape.
Pour le ministre des Services aux Autochtones, Marc Miller, «la découverte d’ossements d’un très jeune enfant sur le site du pensionnat Lebret est un rappel tragique de l’histoire douloureuse du Canada et des actes odieux qui ont été commis dans les pensionnats».
Entre la fin du XIXe siècle et les années 1990, quelque 150.000 enfants autochtones ont été enrôlés de force dans 139 pensionnats à travers le pays, où ils ont été coupés de leur famille, de leur langue et de leur culture.
Des milliers n’en sont jamais revenus. Une commission d’enquête nationale avait qualifié en 2015 ce système de «génocide culturel».
Avec AFP

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Karim Benzema : l’attitude vestimentaire du français qui ne passe pas inaperçue (photos)

Le geste de Karim Benzema lors de la fête nationale saoudienne a fait sensation. L’ancien joueur du Real Madrid, connu pour sa discrétion malgré ses succès sur le terrain, a partagé une image sur son compte Instagram qui a suscité de vives réactions.
Pour célébrer la fête nationale saoudienne, le footballeur français a adopté un style vestimentaire traditionnel arabe, marquant ainsi un moment fort.
Sur la photo, on le voit vêtu des tenues locales et assis à côté du drapeau saoudien. En légende, il a écrit : «Regardez la vie que nous avons» suivi de «Bonne fête nationale saoudienne».
Dans ses stories Instagram, Benzema a également partagé une autre photo de lui tenant une épée. Cette épée est un élément présent sur le drapeau de l’Arabie saoudite, tel qu’il est conçu depuis le 15 mars 1973, bien qu’il ait été utilisé depuis 1932.
Le drapeau est vert, symbolisant potentiellement la couleur du manteau du prophète Mahomet, avec une inscription en arabe au centre qui renvoie à la foi, l’un des cinq piliers de l’Islam : «Il n’y a de dieu qu’Allah, Mahomet est son prophète.»
Cette inscription est accompagnée d’une épée horizontale, similaire à celle portée par le Français dans la photo. Cette démarche a certainement captivé l’attention des fans de son équipe actuelle, l’Al-Ittihad Jeddah Club, où il excelle en tant qu’attaquant.
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Il avoue : «Snoop Dogg et Dr Dre ne sont pas techniquement les plus grands rappeurs…»

Alors qu’il fait la promotion de son film Netflix «Banlieusard 2», Kery James a récemment participé à un versus avec les classiques du rap dans les locaux de GQ France. Lorsqu’il a visionné la collaboration entre Dr. Dre et Tupac, ainsi que le légendaire featuring entre Snoop Dogg et Dr. Dre sur «Still D.R.E», Kery James a partagé ses impressions.
En regardant le clip officiel de la collaboration entre Dr. Dre et Snoop Dogg, Kery James a été séduit par l’atmosphère musicale, en particulier par les notes de piano mémorables qui ouvrent ce classique.
Il a commenté : «Incroyable ce piano que tout le monde a envie de rejouer.» Cependant, il estime que, d’un point de vue technique, le duo n’est peut-être pas le plus grand dans le rap. Pour lui, leur véritable force réside dans leur capacité à divertir.
Kery James explique sa position en mettant en avant l’histoire et l’univers qu’ils ont su créer à travers leur musique. Il rappelle également les débuts de Snoop Dogg, soulignant que lorsque Snoop a sorti des morceaux comme «Gin & Juice» et son premier album, ils avaient environ 20 ans, ce qui, selon lui, est tout à fait remarquable.