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Malgré les preuves qui le compromettent, Dani Alves pourrait être libéré de manière inattendue
L’ancien footballeur des Pumas, Dani Alves, pourrait être mis en liberté provisoire pendant la durée de son procès, après avoir été accusé par un jeune de 23 ans de l’avoir agressée à Barcelone. Dans ce contexte, la défense du Brésilien a demandé qu’il lui soit accordé la possibilité de rester à l’extérieur de la prison de Brians 2 pendant la fin du procès.
Parmi les preuves que les représentants légaux de Dani Alves ont présentées pour que le milieu de terrain de 39 ans puisse sortir de prison, figureraient la remise des passeports du Brésilien, ainsi que l’utilisation d’un bracelet géolocalisateur, cependant, il y aurait d’autres preuves clé que l’avocat utiliserait pour le faire sortir de prison
Selon un média argentin, l’une des preuves irréfutables que la défense a en faveur est sa reddition volontaire, la défense a insisté sur le fait que la défense a agi de bonne manière pour aider à clarifier l’affaire, il faut se rappeler qu’Alves s’est présenté volontaire pour faire des déclarations à Barcelone avant d’être arrêté.
D’autre part, Dani Alves a admis pour la première fois qu’il y a eu pénétration vaginale, mais soutient que c’était d’un commun accord, puisque la victime ne présentait pas de blessures typiques d’un viol à l’époque, de plus, l’avocat a tenté de démontrer les liens de l’accusé avec la ville de Barcelone pour défendre qu’il n’y a aucun danger qu’il veuille s’échapper.
Rappelons que l’attentat pour lequel Dani Alves a été arrêté se serait produit au bowling de Sutton, à Barcelone. À cette occasion, la plaignante a assuré que l’athlète avait mis sa main à l’intérieur de son sous-vêtement, ce pour quoi elle a averti ses amis par peur et ils ont appelé les autorités.
Mais plusieurs personnes qui se trouvaient dans la boîte de nuit ont déclaré que Dani Alves avait invité la jeune fille qui l’accuse et ses amis à s’asseoir à sa table VIP par l’intermédiaire d’un serveur, qui a affirmé que c’est lui qui a approché les jeunes femmes pour leur transmettre le message du joueur, ce serait donc un point en faveur de l’athlète et ce n’est pas ainsi que la jeune femme l’a indiqué.
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Nouvelle-Calédonie : opposants et partisans du gouvernement manifestent
Opposants et partisans du gouvernement de Nouvelle-Calédonie ont manifesté jeudi à Nouméa, les uns menaçant de mettre «le bordel», les autres appelant à la «sérénité», sur fond de tensions autour d’une réforme constitutionnelle sensible qui se joue à Paris sur l’avenir politique de l’archipel.
Le premier rassemblement s’est tenu devant le congrès à l’appel de deux formations non-indépendantistes, les Loyalistes (affiliés à Renaissance) et le Rassemblement (LR), contre un gouvernement local jugé «illégitime» par Sonia Backès, la leader des Loyalistes et présidente de la province sud.
Réforme constitutionnelle
Les manifestants, 3500 à 4000 selon la police et 6000 selon les organisateurs, se sont réunis pour envoyer «un signal» aux parlementaires qui examinent une réforme constitutionnelle visant à élargir le corps électoral aux élections provinciales de l’archipel, jusque-là circonscrit aux natifs et aux résidents de longue date.
«Je le dis à Paris aujourd’hui, aux parlementaires qui tremblent: le bordel, c’est nous qui le mettrons si on essaie de nous marcher dessus!», a martelé Sonia Backès, ancienne secrétaire d’État en charge de la Citoyenneté (2022-2023). Le texte, examiné mardi au Sénat, doit faire l’objet d’un vote solennel le 2 avril, avant de cheminer vers l’Assemblée nationale en mai.
Plus tard dans la matinée, ce sont les indépendantistes, partisans du gouvernement calédonien, qui ont défilé à Nouméa. Eux ont dénoncé cette volonté d’ouvrir le corps électoral et soutenu la politique de Louis Mapou, premier indépendantiste élu à la présidence du gouvernement collégial de Nouvelle-Calédonie.
Ce dernier a appelé à «construire ensemble, dans la sérénité». «On doit rester dans ce cadre et sur ce créneau (…). C’est ce qui relève de la responsabilité du peuple premier et de ceux qui luttent pour l’indépendance», a-t-il lancé aux manifestants. Mardi, son congrès avait retiré un projet de «taxe carburant», contesté par plusieurs organisations patronales, provoquant la levée des blocages des dépôts de carburant de l’archipel en cours depuis le 21 mars.
Avec AFP
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La FNSEA appelle Emmanuel Macron à donner sa vision pour l’agriculture «sans plus attendre»
Le président du syndicat agricole majoritaire FNSEA a appelé ce jeudi le président de la République à exprimer sa vision pour l’agriculture «sans plus attendre».
«Le président de la République semble hésiter à prendre rendez-vous, celui qu’il nous avait promis au Salon de l’agriculture, en estimant que la situation n’était pas mûre», a souligné Arnaud Rousseau lors du congrès annuel du syndicat à Dunkerque.
«Qu’en est-il de l’ambition du chef de l’État ? Le discours (de 2017, NDLR) de la montée en gamme a vécu, qu’il nous donne sa vision sans plus attendre.»
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