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Luis Enrique entraverait le retour de Lionel Messi à Barcelone en faisant cela

Au cours des dernières heures, on a appris que Luis Enrique, l’ancien directeur technique de l’équipe nationale espagnole, pourrait intervenir dans le retour de Lionel Messi à Barcelone. Pour l’obtenir, l’entraîneur deviendrait le plus grand ennemi des fans culés.
La vérité est que depuis qu’on sait que le renouvellement de Lionel Messi avec le PSG s’éloigne de plus en plus, les fans de Barcelone commencent à s’enthousiasmer pour un éventuel retour du capitaine de l’Albiceleste au club espagnol. Cependant, l’entraîneur exfutbolista et espagnol pourrait l’empêcher.
Selon les informations des médias internationaux, l’ancien manager de l’équipe nationale espagnole pourrait devenir le nouveau manager de Manchester City, en remplacement de Pep Guardiola. En effet, l’équipe nationale brésilienne est à la recherche d’un entraîneur et l’actuel entraîneur des ‘Ciudadanos’ est pris en option.
En ce sens, si Guardiola annonce son départ de l’équipe d’Angleterre et poursuit sa carrière d’entraîneur de l’équipe du Brésil, Luis Enrique pourrait prendre sa place et commencer à diriger Julián Álvarez. Cependant, en assumant ce nouveau rôle, ses plans seraient de s’en prendre à Lionel Messi.
Du Paris Saint Germain, ils ne sont plus aussi convaincus de prolonger leur contrat avec le ‘Flea’, donc ce n’est plus quelque chose d’important au sein du club.
Pour cette raison, l’entraîneur espagnol verrait cela comme une possibilité et sait qu’il pourrait emmener le capitaine de l’Albiceleste avec lui, car ils ont un grand lien du fait qu’il a déjà dirigé Messi lors de son séjour à Barcelone.
L’attaquant du PSG et Luis Enrique ont remporté une Ligue des champions ensemble et l’entraîneur espagnol apprécie beaucoup le «Flea». Dès lors, son retour au Barça le gênerait et il ferait tout son possible pour l’intégrer dans son éventuelle future équipe.

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Quatre suspects écroués en France pour le hold-up d’une bijouterie à Gstaadt

Quatre hommes soupçonnés d’avoir participé en février au vol à main armé d’une bijouterie de Gstaad, station de ski huppée des Alpes suisses, ont été mis en examen et écroués, a annoncé ce vendredi le parquet de Marseille.
Le 9 février, des individus «s’emparaient, sous la menace de deux armes de poing, de bijoux (bagues, colliers, etc) pour un montant évalué à 40 millions de francs suisses», soit plus de 41 millions d’euros, explique le parquet dans un communiqué. Ils ont ensuite quitté les lieux à bord d’un véhicule volé à Annemasse (Haute-Savoie), près de la frontière.
Perquisitions
«Les résultats des premières investigations diligentées par la JIRS (juridiction interrégionale spécialisée, NDLR) de Lyon conduisaient la JIRS de Marseille à se saisir des faits», ajoute le parquet. Une équipe de malfaiteurs niçois était soupçonnée, a précisé une source proche de l’enquête à l’AFP.
Les investigations ont conduit à l’arrestation, ces derniers jours, de 11 personnes dans les Alpes-Maritimes, notamment à Nice, Vallauris et Mandelieu avec l’aide des unités d’intervention, le Raid et la BRI.
Lors des perquisitions, environ 4500 euros, un traceur GPS, un brouilleur ou des talkiewalkies ont été saisis mais aucune trace des bijoux. «Le butin n’a pas été retrouvé, ce ne sont pas des pièces gigantesques mais très chères», a expliqué la source proche de l’enquête.
Connus pour des faits de banditisme
En fin de compte, quatre hommes âgés de 27 à 32 ans ont été mis en examen et placés en détention provisoire. Deux sont poursuivis pour «vol avec arme en bande organisée, participation à une association de malfaiteurs en vue de crimes en bande organisée et vols en bande organisée», et les deux autres sont mis en examen uniquement pour participation à une association de malfaiteurs, détaille le parquet.
Ils sont tous connus pour des faits de banditisme, selon la source proche de l’enquête. Des membre de leurs entourages, arrêtés avec eux, sont ressortis libre et sans poursuite. «Souvent les faits de banditisme commis en Suisse émanent d’équipes en France, mais d’habitude plutôt en région lyonnaise», a encore commenté la source proche de l’enquête.
Avec AFP
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Biélorussie : peine de prison confirmée pour un journaliste et militant de la minorité polonaise

La Cour suprême de Biélorussie a annoncé ce vendredi 26 mai avoir rejeté l’appel d’un journaliste biélorusse, Andrzej Poczobut, membre de la minorité polonaise de cette ancienne république soviétique, qui avait été condamné en février à huit ans de prison.
«Le verdict (…) a été laissé inchangé, l’appel ayant été rejeté», a indiqué la Cour suprême dans un communiqué. Par conséquent, «le verdict est entré en vigueur», a-t-elle ajouté.
Une «vengeance personnelle»
Correspondant en Biélorussie pour le média polonais Gazeta Wyborcza et militant pour les droits de la minorité polonaise, Andrzej Poczobut, 50 ans, avait été reconnu coupable en février d’«appels publics à des actions visant à nuire à la sécurité nationale» du pays et d’«incitation à la haine».
Le journaliste, dont le procès s’est déroulé à huis clos au tribunal régional de Grodno (ouest), ville où vit une importante communauté d’origine polonaise, a été condamné à huit ans de camp pénitentiaire à régime sévère.
La Pologne avait dénoncé un verdict «injuste» prononcé par un «pays autoritaire» contre ce journaliste, qui était notamment poursuivi pour avoir appelé à des sanctions internationales contre la Biélorussie.
Pour sa part, la cheffe de l’opposition biélorusse en exil, Svetlana Tikhanovskaïa, avait dénoncé une «vengeance personnelle» de l’autoritaire dirigeant biélorusse Alexandre Loukachenko contre Andrzej Poczobut, incarcéré depuis son arrestation en mars 2021.
Le régime d’Alexandre Loukachenko mène une répression implacable contre toutes les voix critiques, en particulier depuis un mouvement de contestation sans précédent en 2020.
Avec AFP