Société
L’ingénieuse astuce de Kate Middleton pour éloigner les femmes du prince William
La duchesse de Cambridge sait exactement quoi faire si une femme veut flirter avec William
Depuis leur rencontre, Kate Middleton et le prince William entretiennent un lien particulier, c’est pourquoi la duchesse de Cambridge le connaît si bien qu’elle sait exactement quoi faire chaque fois qu’une femme s’approche du petit- fils. Pouvez-vous imaginer quelle est sa tactique ? C’est l’ astuce qui ne manque pas à Kate.
L’histoire d’amour de Kate Middleton et du prince William est connue de beaucoup : 72 millions de personnes dans le monde ont suivi le mariage du couple royal lorsqu’il a eu lieu en avril 2011 à l’abbaye de Westminster à Londres, devant 1900 invités.
Depuis ce moment jusqu’à maintenant, nous avons été témoins de leur romance. Cependant, le lien entre eux est apparu de nombreuses années auparavant et depuis ce temps, Kate s’aliénait déjà les femmes qui s’intéressaient à William.
Voici ce que fait Kate Middleton pour éloigner les femmes du prince William
Bien avant le début de leur relation, Kate Middleton et le prince William étaient de très bons amis lorsqu’ils étudiaient ensemble à l’Université de St. Andrews en Écosse.
Ils sont allés à des fêtes et c’est précisément dans ces types d’événements que le duc de Cambridge a été assiégé par des femmes.
Bien qu’ils n’étaient pas en couple à l’époque, Kate était si proche du prince William qu’elle a créé une astuce astucieuse pour éloigner les femmes qui insistaient pour être avec lui.
L’expert royal Katie Nicholl a noté dans son livre «Kate: The Future Queen» que William était très poli mais se sentait mal à l’aise lorsque des filles le poursuivaient. Ne sachant pas quoi faire, Kate l’a aidé.
Chaque fois qu’une femme s’approchait avec l’intention de flirter avec William, Kate venait derrière lui et l’étreignait tendrement ; il a immédiatement dit «Oh, désolé, mais j’ai une petite amie.»
Selon ce qui a été révélé, le duc de Cambridge était très reconnaissant et soulagé pour ce tour que Kate a fait. Actuellement, le couple royal est marié depuis près de 11 ans et a trois enfants : le prince George, la princesse Charlotte et le prince Louis.
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Le musée d’histoire naturelle de New York ferme ses expositions d’objets amérindiens
Le musée américain d’histoire naturelle de New York a annoncé vendredi fermer au public deux salles dans lesquelles sont exposés des objets amérindiens, conformément à de nouvelles règles gouvernementales.
Ces règles, mises en place par le gouvernement de Joe Biden et entrées en vigueur le 12 janvier, exigent que les musées obtiennent le consentement des descendants des tribus indigènes avant d’exposer des objets liés à des pratiques ou à des croyances culturelles, religieuses ou funéraires. L’objectif est, à terme, de restituer ces objets aux tribus.
Au vu du nombre important d’objets amérindiens exposés dans deux de ses salles, le musée d’histoire naturelle de New York a décidé de les fermer plutôt que d’enlever ou de couvrir certains objets.
Parmi ces objets figurent un canoë en écorce de bouleau de la tribu des Menominee, des fléchettes vieilles de 12.000 ans et une poupée Katsina de la tribu Hopi, en Arizona.
Cette décision reflète un sentiment «d’urgence croissante» de la part de tous les musées à revoir la manière dont ils représentent les cultures indigènes, selon le directeur du prestigieux musée Sean Decatur. Le musée d’histoire naturelle de New York attire quelque 4,5 millions de visiteurs par an.
D’autres musées américains, comme le musée Field à Chicago, le musée Peaboy d’archéologie et d’ethnologie de l’université de Harvard et le Cleveland Museum of Art, ont recouvert certaines vitrines ou retiré uniquement les objets les plus sensibles, selon le New York Times.
Avec AFP
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Disparition d’Amandine Estrabaud : Guerric Jehanno condamné pour la troisième fois à 30 ans
Guerric Jehanno, principal suspect dans l’affaire de la disparition, il y a plus de dix ans, d’Amandine Estrabaud, a été condamné à 30 ans de réclusion criminelle pour viol et meurtre, vendredi, à l’issue d’un troisième procès à Montauban.
«Ça y est c’est tombé, 30 ans», a indiqué dans la nuit de vendredi à samedi Me Pierre Debuisson, avocat de la famille à l’AFP à l’annonce du verdict. C’était la peine requise par l’avocat Général de la cour d’assises de Montauban, lors de ce troisième procès débuté lundi.
Guerric Jehanno, maçon de 35 ans aujourd’hui, avait été condamné à 30 ans de réclusion criminelle en 2020 par la cour d’assises du Tarn, confirmée ensuite en appel. Cette décision avait été annulée en 2022 par la Cour de cassation pour vice de procédure.
Connaissant la victime et présentant un alibi qui ne tenait pas selon l’accusation, il était le seul profil suspect à avoir été retenu lors des trois ans d’enquête sur la disparition d’Amandine Estrabaud, 30 ans, le 18 juin 2013 dans le Tarn. Son corps n’a jamais été retrouvé.
Un alibi qui ne tenait pas
Après avoir quitté le lycée de Castres où elle travaillait comme surveillante, pour se rendre à pied à son domicile à Rocquecourbe, la jeune femme avait été aperçue devant son domicile, par une voisine, alors qu’elle descendait d’un fourgon blanc avec un homme.
Ce jour-là, Guerric Jehanno, qui habitait avec sa mère dans ce même village du Tarn, travaillait sur un chantier à Roquecourbe.
La tenue de travail et le véhicule de l’entreprise pour laquelle il travaillait étaient similaires à ceux aperçus par la voisine d’Amandine.
De plus, l’alibi du jeune homme qui avait affirmé avoir joué à la Playstation toute la soirée où Amandine a disparu, ne tenait pas. Les données de la console indiquaient que la soirée de la disparition, était la seule de la semaine où il ne l’a pas allumée.
Après avoir été placé en garde à vue en 2014 et relâché sans aucune charge, Guerric Jehanno avait été mis en examen pour enlèvement et séquestration et placé en détention provisoire en avril 2016.
Des codétenus affirmeront alors qu’il leur avait décrit la façon dont il aurait violé et tué une femme de son village, dessinant même un plan où était écrit le prénom «Amandine», détaillant le lieu où il aurait enterré le corps.
Il expliquera ensuite aux enquêteurs que ces plans désignaient des emplacements de cueillette de champignons et de pêche.
Avec AFP