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Les Français mangent de moins en moins de cheval, la filière hippophagique décroît chaque année
En 2005, la France comptait 1035 boucheries chevalines, il n’en restait plus que 307 en 2018, selon la Fédération de la Boucherie Hippophagique de France.
Les Français mangent de moins en moins de viande de chevalet le nombre de chevaux tués dans les abattoirs a fortement diminué avec seulement 5252 animaux en 2021 contre plus de 20.000 en 2013, révèlent les acteurs de la filière viande, l’Interbev et l’IFCE.
Chaque année, la chute de la consommation de viande de cheval s’accentue. Près de 10% des Français ont mangé un steak de cheval en 2021, a indiqué à l’AFP Guy Arestier, président de la section équins d’Interbev qui élève des chevaux de trait de race bretonne dans le Lot.
5252 chevaux abattu chaque année
«Historiquement, cette viande était vendue sur les marchés. C’est l’une des rares filières où la consommation passe par l’artisanat. L’évolution de la consommation est due au manque de chevaux, de trait comme de réforme, et à la fermeture de nombreuses boucheries hippophagiques», estime Guy Arestier. «On abat 5252 chevaux et 40.000 partent à l’équarrissage, chaque année».
«La viande de cheval en 2021 était vendue 18,50 euros le kilo en moyenne, le bœuf 15,30 euros le kilo et la volaille à 8,50 euros», a détaillé Mathilde Dhollande porte-parole de l’IFCE.
En 2021, la France a exporté 5.207 chevaux vivants destinés à la boucherie, dont une majorité de poulains de trait, principalement vers l’Italie et l’Espagne.
«Le peu qui est consommé en France provient de l’ensemble de l’Union européenne et de l’Amérique du Sud, Argentine et Uruguay», ajoute Mathilde Dhollande.
«Tous les équidés à la naissance sont considérés comme abattables et destinés à la consommation humaine. Ils peuvent être exclus mais pour des motifs médicamenteux : administration de substances qui vont les rendre impropres à la consommation», rappelle Mathilde Dhollande.
Selon elle, le rejet de la viande de cheval est aussi dû à des scandales alimentaires, de type Spanghero et aux associations animalistes qui défendent le cheval en tant qu’animal de compagnie.
En février 2013, le sous-traitant français Comigel, spécialisé dans la confection de plats surgelés distribués dans 16 pays d’Europe, avait retiré tous ses produits après la découverte en Grande-Bretagne de viande de cheval dans des lasagnes censées contenir du bœuf.
«Je suis scandalisée que la France soit un des derniers pays à manger des chevaux», a affirmé Brigitte Bardot dans un entretien accordé à l’AFP. «Non seulement nous continuons d’abattre les chevaux pour les manger mais en plus on leur fait subir des souffrances effrayantes en les expédiant dans des pays où l’on mange encore du cheval», s’indigne-t-elle.
La France est le seul pays à compter neuf races de chevaux de trait : ardennais, auxois, boulonnais, breton, cob normand, franches montagnes, percheron, poitevin mulassier et trait du nord. La fin de l’hippophagie, combat de l’ancienne actrice Brigitte Bardot et d’autres défenseurs des animaux, pourrait marquer la fin de l’élevage de ces variétés de race de chevaux lourds.
«La filière chevaline permet de sauver nos neuf races de chevaux lourds, de conserver ce patrimoine génétique», affirme Guy Arestier. «L’abattage est une fin de vie normale pour les chevaux».
Avec AFP
Célébrités
Margaret Qualley a immédiatement su que Jack Antonoff était destiné à devenir son mari
Margaret Qualley est tombée “éperdument amoureuse” de Jack Antonoff et “savait” qu’il était destiné à devenir son mari.
La star de “Maid” et le musicien et producteur de disques se sont mariés en août dernier, après deux ans de vie commune, et elle savait exactement quand ils marcheraient vers l’autel.
Dans le numéro d’avril du magazine ELLE UK, dont elle fait la couverture, elle se souvient : “J’avais rencontré Jack probablement deux semaines auparavant, mais j’ai tout de suite été éperdument amoureuse. J’ai eu la certitude qu’il était mon mari. Je parlais de Jack et j’ai dit à Virginie Viard [directrice de la création de Chanel] : “Je crois que je viens de rencontrer l’homme que je vais épouser. Et Virginie, si j’ai raison, tu me feras ma robe de mariée ? J’ai dit : ‘Donnez-moi deux ans…'”.”
L’actrice de 29 ans a planifié le mariage de ses rêves toute sa vie et lorsqu’elle a rencontré le musicien, elle a pensé qu’il avait besoin d’un “grand mariage” car il a beaucoup d’amis et de famille.
Elle s’est exprimée à ce sujet : “J’ai toujours voulu me marier. J’étais cette fille très féminine qui se promenait avec sa sœur en fantasmant sur nos mariages, ou sur ce que seraient nos maris. Mais je ne pense pas que j’aurais eu un mariage aussi important sans Jack. Je voulais que ce soit grandiose avec lui. C’était un peu comme si Jack avait besoin d’un grand mariage. Et il me semblait que ce serait plus amusant. Il a tellement d’amis formidables et une famille nombreuse. Je pense que [les mariages] sont presque autant pour votre famille et vos amis que pour vous.”
Célébrités
Taylor Swift apprécie de ne pas être «la star» des matchs de Travis Kelce
Taylor Swift aime assister aux matchs de son compagnon Travis Kelce car elle n’a pas à être “la star” de l’événement.
La chanteuse de “Anti-Hero” est régulièrement présente dans les tribunes pour encourager son petit ami lors des matchs des Kansas City Chiefs et l’entraîneur du sportif, Andy Reid, a insisté sur le fait que malgré la surveillance dont le couple fait l’objet, ils n’en font jamais “un problème” et il ne pense pas que l’attention supplémentaire que sa présence a apportée ait été négative.
Dans l’émission “Fecoe in the Morning” sur Audacy’s 610 Sports Radio, Andy a déclaré : “J’étais simplement ravi qu’ils soient tous les deux heureux. Trav n’en a jamais fait un problème. Je pense qu’elle s’est vraiment amusée à regarder les matchs sans être sous le feu des projecteurs. Elle a pu entrer dans le jeu et elle a adoré le fait de ne pas avoir à être la star. Elle pouvait se contenter de rester là-haut et de profiter. J’ai trouvé que c’était très positif”.
Andy connaît Taylor depuis plus longtemps que Travis, ce que le joueur a été choqué de découvrir.
Andy a ajouté : “En fait, je la connaissais, elle et sa famille, avant Trav… Ils viennent de Pennsylvanie, et son père était un fan des Eagles – un fan de football tout court – je crois qu’il a joué à Delaware, donc il comprend le jeu. Et elle a une mère géniale. Je l’ai rencontrée quand elle était jeune, je n’ai jamais eu peur qu’elle ne s’en sorte pas. Elle se débrouille si bien et a si bien réussi dans sa carrière.”