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Le Real Madrid en a marre d’attendre Kylian Mbappé et pointe du doigt une autre figure européenne : le PSG sourit

Un peu plus de trois mois après le début du marché des transferts, le Real Madrid est déjà concentré sur le renouvellement de son effectif. En attendant la décision de Karim Benzema, Luca Modric et Toni Kroos, qui pourraient ne pas renouveler leur contrat avec l’équipe espagnole, ils réfléchissent déjà à d’éventuels remplaçants qui leur permettront de continuer à faire partie de l’élite du football européen.
En ce sens, le rêve de la Maison Blanche est de s’offrir les services de Kylian Mbappé. Ce ne serait pas la première saison que Florentino Pérez partait à la recherche du jeune Français, devenu au fil des années une obsession.
Pourtant, l’indécision de la star du PSG aurait rempli les esprits du leader merengue, qui n’est pas disposé à continuer à composer avec les airs de star de Kiki.
Cependant, la vérité est que Carlo Ancelotti doit renforcer son équipe pour la saison prochaine, notamment pour continuer à maintenir le Real Madrid au sommet du football mondial.
Il convient de noter que l’objectif naturel de l’équipe espagnole est la Ligue des champions, un trophée dont ils sont l’actuel défenseur et, de plus, le grand vainqueur, avec 14 Orejonas dans leurs vitrines.
Pour cette raison, la direction des cadres merengue a déjà prévu la solution. Devant l’indécision de Kylian Mbappé, ils ont décidé d’aller chercher une autre des grandes stars du football européen. Il s’agit de l’Anglais Jude Bellingham, qui joue actuellement au Borussia Dortmund.
Cependant, l’équipe allemande n’est pas disposée à laisser partir sa star de 19 ans si facilement. Pour cette raison, le Real Madrid est prêt à offrir un total de 140 millions d’euros (100 fixes et 40 supplémentaires pour les buts) pour pouvoir signer la jeune sensation du football européen.

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Le Real Madrid peut voler une figure au PSG et compliquer la continuité de Lionel Messi

Le PSG manque d’armes pour pouvoir convaincre Messi de rester. L’équipe parisienne avait prévu de faire venir une importante figure mondiale et ainsi séduire l’Argentin, mais le Real Madrid semble lui compliquer les choses.
La réalité est que le PSG ne va pas bien, au-delà de son excellent effectif et de son compte en banque à un million de dollars, l’équipe de France a été éliminée prématurément de la Ligue des champions. En championnat, ils sont en tête, mais les performances de l’équipe ne sont pas bonnes du tout.
Si Cristophe Galtier est arrivé pour améliorer ce qu’avait été la campagne de Mauricio Pochettino, la réalité est tout autre. Il a été éliminé de la Ligue des champions une phase plus tôt que dans le cycle argentin, alors qu’en 2022 le PSG n’avait perdu que 4 matchs, cette année il est déjà tombé 7 fois.
C’est pourquoi au PSG, ils commencent à analyser les remplacements. Et le nom qui intéresse le plus, également pour convaincre Messi de rester dans son projet, est celui de Zinedine Zidane, footballeur et entraîneur français à succès.
Mais les plans du PSG étaient compliqués grâce au Real Madrid. Il s’avère que Carlo Ancelotti a remis en question sa continuité une fois la saison terminée, c’est pourquoi les «Merengue» recherchent des options pour son remplacement et la star française fait également partie des personnes visées.
Malheureusement pour le PSG, la relation entre le Real Madrid et Zinedine Zidane est très forte, l’ex-footballeur a triomphé en tant que joueur et aussi en tant qu’entraîneur de l’équipe première. Avec Zidane sur le banc, les «Merengue» ont remporté 11 titres.
Les récompenses de Zidane au Real Madrid sont 3 Ligue des Champions, 2 Coupes du Monde des Clubs, 2 Super Coupes d’Europe, 2 Ligues et 2 Super Coupes d’Espagne. Certainement une étape radicale.
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Foot : la Fifa s’assure le soutien des clubs européens jusqu’en 2030

Un calendrier international plus chargé, mais plus d’argent pour les clubs: la Fifa a renouvelé lundi jusqu’en 2030 son accord avec la puissante Association européenne des clubs (ECA), un pas important à l’heure d’étendre ses compétitions.
Signé lors de la 29e assemblée générale de l’ECA à Budapest, ce protocole «renforce la relation» entre les deux organisations, «apportant une stabilité à long terme au football de sélections et de clubs», se félicitent les deux organisations.
Les clubs s’engagent à «se conformer jusqu’en 2030 au calendrier international»
Concrètement, les clubs qui mettent à disposition leurs internationaux verront bondir l’indemnisation de la Fifa à 329 millions d’euros à partir du Mondial 2026 (le premier à passer de 32 à 48 équipes), contre 193 millions d’euros pour les éditions 2018 et 2022.
En contrepartie, les clubs européens, qui emploient l’écrasante majorité des meilleurs joueurs de la planète, s’engagent à «se conformer jusqu’en 2030 au calendrier international des matches», approuvé par l’exécutif de la Fifa le 14 mars.
Cet appui s’annonce crucial pour le patron du foot mondial, Gianni Infantino, réélu le 16 mars sans opposition jusqu’en 2027, et qui prévoit d’étendre l’emprise de la Fifa à la fois sur le football de sélections et sur le football de clubs. Infantino compte ainsi introduire un «Mondial des clubs» quadriennal à 32 équipes dès 2025.
L’ECA «soutient» un Mondial des clubs, l’UEFA et les Ligues sont contre
Si cette nouvelle compétition de clubs déplaît aux ligues comme à l’UEFA, qui déplorent la saturation du calendrier et les risques accrus de blessures, l’ECA lui a apporté lundi son «soutien», ainsi qu’à la création d’une future Coupe de monde des clubs féminine.
L’accord signé à Budapest «reconnaît le rôle central des clubs dans le football mondial et garantit qu’ils sont correctement représentés dans les processus décisionnels sur les questions qui les concernent», a souligné Nasser Al-Khelaïfi, patron de l’ECA, du Paris SG et du groupe de médias BeIN.
Le dirigeant qatari a par ailleurs annoncé que la Fifa et l’ECA allaient «approfondir leurs relations de travail» sur le nouveau Mondial des clubs, «y compris au niveau des aspects sportifs et commerciaux de l’édition 2025» et de la «gestion des droits» des éditions suivantes, à l’image de la cogestion par l’ECA et l’UEFA des compétitions européennes de clubs.
Avec AFP