Royauté
Le passe sanitaire suspendu dans les centres commerciaux des Hauts-de-Seine

Cette décision intervient après la suspension du dispositif dans les centres commerciaux des Yvelines et de l’Essonne, en attendant une décision à Paris ce mardi.
La mise en place du passe sanitaire dans des dizaines de grands centres commerciaux français, contestée par la profession qui se plaint d’une forte baisse de la fréquentation, a été suspendue mardi dans un nouveau département de la banlieue parisienne, après plusieurs décisions similaires ailleurs.
Après les Yvelines et l’Essonne en Ile-de-France, le tribunal administratif des Hauts-de-Seine a suspendu mardi l’arrêté préfectoral qui avait imposé le passe dans deux grandes surfaces de ce département limitrophe de Paris, au motif qu’il empêchait l’accès des personnes à des biens et services de première nécessité. Le passe a également été suspendu dans le Haut-Rhin.
Une suspension a aussi été demandée dans la capitale; une audience est prévue ce mardi au tribunal administratif de Paris. Le passe reste en revanche exigé dans tous les autres lieux où il s’applique depuis le 9 août: restaurants, bars, cinémas, trains longue distance…
-25% de fréquentation selon les centres commerciaux
Le Conseil national des centres commerciaux (CNCC) demande sa suspension nationale pour les grandes surfaces. Il évoque «une chute d’un quart de la fréquentation dans l’ensemble des centres commerciaux», «non seulement (dans) les grands centres commerciaux métropolitains soumis au contrôle du passe sanitaire dans lesquels elle atteint 30% à 40% mais également (dans) tous les centres dans l’ensemble des territoires».
«La confusion est totale dans l’esprit de nos concitoyens, entre la question des plus de 20.000 mètres carrés, celle du taux d’incidence, les endroits où le taux est bas et où les arrêtés ne sont pas retirés, les départements où les arrêtés ont été suspendus», regrettait lundi auprès de l’AFP le délégué général du CNCC, Gontran Thüring. «L’incertitude est l’ennemi de la confiance et de la consommation.»
À la demande du gouvernement, de nombreux préfets avaient commencé le 16 août à imposer le passe sanitaire pour les surfaces de plus de 20.000 m2 dans les départements où le taux d’incidence de l’épidémie dépassait les 200 pour 100.000 habitants sur une semaine.
Avec AFP

News des stars
Kate Middleton donne des nouvelles de la santé de la reine Elizabeth

Kate Middleton a fait le point sur l’état de santé de la reine Elizabeth, après avoir annoncé ce vendredi qu’elle ne se présenterait pas à l’un de ses événements Platinum Jubilee.
Lors d’une apparition publique le 3 juin, la duchesse de Cambridge, âgée de 40 ans, a assuré à l’une des personnes présentes qu’Elizabeth II allait «bien» après une longue journée d’événements jeudi.
«Oui, il semble que la reine va bien, seulement hier la journée a été épuisante», a déclaré Kate selon un témoin oculaire, ajoutant que le monarque avait «une journée spectaculaire».
Célébrités
Elizabeth II confie : «Comme vous pouvez le voir, je ne peux pas bouger…»

La reine Elizabeth II a confié mercredi 16 février avoir du mal à «bouger», lors de son premier engagement public en personne depuis sa rencontre il y a huit jours avec le prince Charles, qui avait été testé postérieurement positif au Covid-19.
Elizabeth II a reçu en milieu de journée le Major General Eldon Millar, chargé d’effectuer la liaison entre la reine et les forces armées, et son prédécesseur le Rear Admiral James Macleod, au château de Windsor, à une quarantaine de kilomètres de Londres, lieu principal de résidence de la souveraine.
Une légère raideur
Une vidéo de la rencontre montre la reine les accueillant debout, souriante, portant une robe à motifs, avec une canne dans les mains. «Comme vous pouvez le voir, je ne peux pas bouger», a-t-elle déclaré montrant son pied ou sa jambe gauche.
Selon l’agence britannique PA, la reine souffre d’une légère raideur. Malgré cette difficulté, cette apparition de la souveraine de 95 ans, qui avait passé une nuit à l’hôpital à l’automne pour une raison jamais précisée, envoie ainsi un nouveau signal plutôt rassurant sur son état de santé, dans un contexte chargé pour la monarchie britannique.
Son deuxième fils le prince Andrew a conclu un accord pour mettre un terme à une plainte aux États-Unis pour agressions sexuelles et Scotland Yard a ouvert une enquête liée à une fondation du prince Charles.
Mardi, elle avait reçu en visioconférence les nouveaux ambassadeurs d’Estonie et d’Espagne. Les services du prince Charles, 73 ans, avaient annoncé jeudi dernier que l’héritier de la couronne britannique avait été testé positif au Covid – pour la deuxième fois – et qu’il s’isolait.
Il avait rencontré sa mère 48 heures plus tôt. L’entourage de la monarque avait alors indiqué qu’elle ne présentait aucun symptôme, sans vouloir dire si elle avait été testée positive ou négative, alimentant l’inquiétude. Lundi, Camilla, 74 ans, épouse du prince Charles, a fait savoir qu’elle avait également attrapé le Covid.
La reine Elizabeth a passé le 6 février le cap de 70 ans de règne, une longévité sans précédent pour la monarchie britannique. Quatre jours de festivités sont prévus pour célébrer son jubilé de platine.
Depuis ses ennuis de santé en octobre, ses apparitions étaient devenues rares, mais le palais a annoncé récemment une reprise de ses activités publiques : avant une cérémonie le 29 mars à l’Abbaye de Westminster à la mémoire du prince Philip, son époux décédé l’an dernier, la reine devrait participer à une réception diplomatique à Windsor le 2 mars et à une cérémonie du Commonwealth le 14 mars.
Avec AFP