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Le mensonge qui montrera que Laporta est un faux et qu’il fait mal à Barcelone
Le président de l’équipe culé exciterait les fans avec la possible signature de Haaland, mais de nombreux experts disent que l’institution blaugrana n’est pas en mesure de faire face à une telle négociation, trichant à nouveau avec l’espoir qu’elle ne pourra finalement pas le faire remplir.
Lorsque Joan Laporta est arrivé au FC Barcelone, de nombreux fans étaient excités et ne doutaient pas que leur nouveau président les sortirait rapidement de ce mauvais moment.
La vérité est qu’un an plus tard, sa deuxième étape au Barça est une fuite en avant constante avec une mise en scène brillante et des résultats désastreux, il a réussi à générer que les fans ne le croient plus et ses discours répétitifs en fatiguent plus d’un.
À son arrivée à la présidence, Joan Laporta a promis de conserver Messi, de renouveler Dembélé et de faire signer une belle signature. Mais la vérité est qu’à ce jour, l’Argentin est parti, l’ailier français semble avoir un pied à l’extérieur de Barcelone et la signature de Haaland est toujours inconnue.
L’arrivée de Haaland au FC Barcelone serait compliquée selon les experts
Ces dernières semaines, il en a eu marre d’essayer de convaincre les gens que les négociations avec l’attaquant norvégien se déroulent bien et qu’un avenir pourrait venir au FC Barcelone.
Cependant, de nombreux experts affirment que l’équipe culé n’est pas en mesure de faire face à une telle négociation et que tout cela serait une nouvelle tromperie de la part du président catalan.
Bien qu’il n’y ait aucune confirmation officielle, ce nouveau mensonge pourrait être un tournant entre lui et les fans, qui, fatigués de tant de mensonges, pourraient lui lâcher la main et le laisser seul avec ses problèmes.
Bartomeu a été un désastre en tant que président, mais malheureusement pour que le FC Barcelone continue comme ça, Joan Laporta fait de même.
Ce que le Borussia Dortmund veut faire avec l’avenir de Haaland
L’idée principale de l’équipe allemande serait que le joueur reste au moins un an de plus, mais à mesure que le problème se présente, il semble que ce sera très difficile.
Par conséquent, au cas où il ne serait pas en mesure de l’atteindre, le Borussia Dortmund essaierait de le faire rester jusqu’à l’année prochaine, puis essaierait de le vendre pour tirer un bon revenu de sa vente.
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États-Unis : Donald Trump appelle l’Europe à se «bouger» sur l’Ukraine
L’ancien président américain Donald Trump, candidat à la Maison-Blanche, a appelé jeudi l’Europe à se «bouger» et à débloquer davantage de fonds pour l’Ukraine, en guerre avec la Russie.
«Comment se fait-il que les Etats-Unis aient engagé plus de 100 milliards de dollars dans la guerre en Ukraine, plus que l’Europe, alors qu’un océan nous sépare!», s’est-il exclamé sur son réseau, Truth Social.
Les États-Unis sont le principal soutien militaire de Kiev et le Congrès examine actuellement une nouvelle enveloppe de 61 milliards de dollars d’aide à l’Ukraine, très contestée par les élus les plus proches de Donald Trump.
«Bougez-vous l’Europe !»
Sans s’opposer directement au texte, l’ancien président a estimé ces derniers jours que les États-Unis devaient «arrêter de donner de l’argent sans espérer être remboursés». «Pourquoi l’Europe ne donne-t-elle pas plus d’argent pour aider l’Ukraine?», a écrit le républicain dans une publication sur son réseau jeudi. Et de lancer, en lettres capitales: «Bougez-vous l’Europe!».
Donald Trump a échangé sur la question avec le président polonais Andrzej Duda et le chef de la diplomatie britannique David Cameron, qui lui ont tous les deux rendu visite ces derniers jours.
Le milliardaire républicain avait déjà semé la panique en Europe lorsqu’il a menacé en février de ne plus garantir la protection des pays de l’Otan face à la Russie si ceux-ci ne payaient pas leur part.
Selon l’institut de recherche allemand Kiel Institute, l’aide européenne totale pour l’Ukraine dépasse l’aide américaine en montants engagés.
Avec AFP
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Mali : dissolution d’une coordination de partis et d’organisations critique à l’égard de la junte
Les autorités du Mali dominées par les militaires ont annoncé mercredi 17 avril la dissolution d’un mouvement critique à leur égard auquel elles reprochent «des agissements de nature à troubler l’ordre public et attentatoires à l’unité nationale», selon un communiqué du conseil des ministres.
«La coordination des organisations de L’Appel du 20 février pour sauver le Mali» est formée de partis et d’organisations de la société civile comme la Coordination des mouvements, associations et sympathisants de l’influent imam Mahmoud Dicko (CMAS), dissoute elle aussi au début de mars.
Elle «s’illustre en permanence par des agissements ostentatoires de nature à troubler l’ordre public, à porter atteinte à la souveraineté de l’Etat et à l’unité nationale» et par conséquent «est dissoute», affirme le gouvernement dans le communiqué du conseil des ministres.
Les textes en vigueur au Mali imposent «des limites» à ne pas franchir, «notamment l’interdiction faite aux partis politiques de former des regroupements sous la forme d’association et aux associations d’adopter des agissements contraires aux principes de souveraineté nationale, de la démocratie, de l’intégrité du territoire national, de l’unité nationale et de la laïcité de l’Etat», souligne-t-il.
Un nouveau tour de vis
Pour Cheick Mohamed Chérif Koné, coordinateur général de L’Appel du 20 février, qui s’est exprimé sur les réseaux sociaux, «l’ordre public digne de respect est le seul ordre républicain, tout sauf le bon vouloir de quelques colonels en arme. C’est cet ordre que nous avons toujours défendu (…). Ces hostilités inédites, de plus en plus accrues contre les partis politiques et les associations, en désespoir de cause, seront vaines face à la détermination de notre peuple de vivre en démocratie et sous la forme républicaine de l’Etat».
La junte au Mali a opéré ces derniers jours un nouveau tour de vis se traduisant par la suspension des activités des partis et associations à caractère politique et l’interdiction faite aux médias de couvrir leurs activités. Ces restrictions surviennent après que les militaires ont manqué à leurs engagements d’organiser une élection présidentielle en février avant de céder la place.
Le Mali est en proie depuis 2012 à la propagation djihadiste et à une grave crise non seulement sécuritaire, mais aussi politique et humanitaire. Les colonels qui ont pris le pouvoir par la force en 2020 ont opéré une réorientation stratégique, rompant la vieille alliance avec la France et se tournant militairement et politiquement vers la Russie.
Avec AFP