Célébrités
Le geste de Vinicius avec Cristiano à domicile
Le Brésilien a inclus une image du Portugais sur son «mur d’idoles», tout comme il a demandé en plaisantant : «Il me manque là».
Vinicius Jr. vit un grand moment au Real Madrid. C’est le présent et l’avenir du club blanc, et les deux parties le savent. L’un ne cesse de montrer son amour pour l’équipe merengue, et l’autre le défend bec et ongles dans chacune des polémiques dans lesquelles il a été mêlé.
À Madrid, il possède également une grande maison qu’il n’a cessé de remodeler, y compris sa salle de sport, qui cache une authentique œuvre d’art dans ses murs, le célèbre «Mur des Idoles», sur lequel auparavant il était possible de voir l’image de Ronaldo Nazario, Pelé, Michael Jordan et Kobe Bryant.
Une œuvre de l’artiste espagnol René Mäkelä, l’une des stars du sport mondial les plus acclamées, car il a peint pour des personnalités célèbres telles qu’Antoine Griezmann, Jorge Lorenzo et Matt Kemp, entre autres.
Maintenant, le travail n’était pas terminé, car l’artiste a partagé via son profil Instagram une image de la façon dont ce mur s’est avéré après être entré dans sa deuxième phase, ce qui a signifié l’inclusion de deux autres grandes figures du monde de l’art sportif, Cristiano Ronaldo étant l’un d’entre eux, et LeBron James l’autre.
Cristiano, au «mur d’idoles» de Vinicius
Et il est à noter que, lorsque l’ouvrage a vu le jour dans sa première phase, Cristiano Ronaldo lui-même a écrit au footballeur brésilien qu’il devait lui aussi faire partie de la mosaïque : «Là, il me manque».
Dit et fait, maintenant l’attaquant d’Al Nasr est également présent dans le gymnase du joueur du Real Madrid, voyant le travail de René terminé.
«Deuxième phase du ‘mur des idoles’. Merci à Vinicius et à son équipe pour la confiance», a écrit l’artiste dans sa publication, où il montre comment a été la peinture de Cristiano Ronaldo et LeBron James, et comment le mur s’est transformé après cette mise à jour.
Célébrités
Céline Dion, toujours souffrante, reste «déterminée à remonter un jour sur scène»
La chanteuse canadienne Céline Dion, toujours souffrante, reste «déterminée à remonter un jour sur scène» et à «surmonter» sa maladie, a-t-elle déclaré vendredi dans une mise à jour à ses fans sur Instagram.
Diagnostiquée à l’automne 2022 d’une pathologie neurologique rare, le syndrome de la personne raide (SPR), la star québécoise a confié que surmonter cette maladie auto-immune «a été l’une des expériences les plus difficiles de (sa) vie».
«Mais je reste déterminée à remonter un jour sur scène et à mener une vie aussi normale que possible», a-t-elle ajouté en légende d’une rare photo où elle pose, sourire aux lèvres, avec ses trois fils pour la Journée internationale de sensibilisation au SPR.
«Je suis profondément reconnaissante de l’amour et du soutien de mes enfants, de ma famille, de mon équipe et de vous tous!», a souligné la chanteuse de 55 ans.
La dernière fois que Céline Dion est apparue en public, c’était lors d’une brève apparition surprise à la cérémonie des Grammy Awards à Los Angeles, aux États-Unis, début février pour remettre l’album de l’année à Taylor Swift. Escortée par son fils aîné, l’artiste aux plus de 250 millions d’albums vendus en 40 ans de carrière a alors reçu une ovation par le public.
La star québécoise n’est plus montée sur scène depuis un concert à Newark (États-Unis) en mars 2020. Sa tournée Courage World Tour avait alors été interrompue par la pandémie de Covid-19. Et depuis 2021, elle souffre des manifestations du SPR.
Touchant environ une personne sur un million, ce syndrome entraîne des douleurs aiguës et des difficultés à se mouvoir, empêchant les activités physiquement contraignantes.
Fin février, Amazon Prime Video a annoncé la sortie prochaine d’un documentaire sur la chanteuse, «I Am: Céline Dion», dans lequel elle veut «sensibiliser» sur sa maladie.
Avec AFP
Actualités
Présidentielle en Russie : Vladimir Poutine réélu pour un cinquième mandat
Vladimir Poutine, au pouvoir depuis un quart de siècle, faisait face à trois candidats triés sur le volet et sans envergure, alors que l’issue du scrutin ne laissait aucun suspense. Il a été réélu avec plus de 87% des voix, selon les premiers résultats officiels.
L’issue du dernier jour du scrutin ne faisait aucun doute : Vladimir Poutine a été réélu président de la Russie pour six années supplémentaires ce dimanche 17 mars avec plus de 87% des voix, selon les premières estimations et les résultats d’un sondage d’un institut étatique, Vtsiom. Les chiffres ont été publiés peu après la fermeture des derniers bureaux de vote à 19 heures heure française dans l’enclave de Kaliningrad.
Invasion de l’Ukraine, répression en Russie, confrontation avec l’Occident : c’est en chef de guerre autoritaire que Vladimir Poutine, au pouvoir depuis un quart de siècle, a été réélu à la tête du Kremlin dimanche pour un cinquième mandat.
74 interpellations en Russie
Les détracteurs du président russe, aux commandes du pays depuis 24 ans, ont voulu se montrer en allant voter au même moment, à midi. Mais le maître du Kremlin a pu compter sur une popularité bien réelle et a voulu faire de la présidentielle une démonstration d’unité du pays.
En fin d’après-midi, la participation nationale s’élevait à 73,33%, un record selon les chiffres officiels. Dans l’ensemble, la mobilisation de l’opposition s’est déroulée dans le calme, mais l’ONG OVD-Info, spécialisée dans le suivi de la répression, a fait état d’au moins 74 interpellations en Russie pour diverses formes de protestations électorales.
Vladimir Poutine, âgé de 71 ans, faisait face à trois candidats triés sur le volet et sans envergure. L’opposition a été décimée par des années d’une répression qui s’est encore accélérée avec le conflit en Ukraine et a culminé avec le mystérieux décès d’Alexeï Navalny dans une prison de l’Arctique en février.
Réformer en 2020 de la Constitution
Le dirigeant russe, qui a fait réformer en 2020 la Constitution pour pouvoir rester aux commandes du pays jusqu’en 2036, a déjà effectué quatre mandats (deux de quatre ans, deux autres de six ans), entrecoupés par un intermède comme premier ministre.
Au fil des ans, la verticale du pouvoir instaurée par Vladimir Poutine, issu du KGB soviétique et arrivé au Kremlin le 31 décembre 1999, a révélé deux grandes caractéristiques de son régime.
La première, celle d’un durcissement constant avec d’abord la mise au pas des oligarques, la deuxième guerre de Tchétchénie, l’étouffement des libertés publiques, des médias et de l’opposition.
Deuxième caractéristique: une quête de puissance géopolitique, avec la guerre en Géorgie (2008), l’annexion de la Crimée ukrainienne (2014), l’intervention militaire en Syrie (2015), et l’invasion de l’Ukraine (2022).
Avec AFP