Société
La reine Elizabeth II brise le silence et parle pour la première fois du prince Philip depuis sa mort
Depuis la mort du prince Philip, la reine Elizabeth II s’était tue et au-delà de partager la nouvelle de la mort de son mari, le monarque britannique n’en avait pas parlé pendant tout ce temps.
Cependant, le moment est venu, et la reine a parlé pour la première fois du prince Philip lors d’un événement public, au cours duquel elle s’est souvenue de certains moments qu’elle a vécus avec lui.
Le prince Philip est décédé le 9 avril à l’âge de 99 ans, deux mois avant son centième anniversaire et, à l’époque, la famille royale a informé le monde du départ de l’époux de la reine Elizabeth II, qui a été très affectée par ce qui s’est passé.
Maintenant, le monarque britannique a rompu le silence et pour la première fois depuis tous ces mois, a parlé du prince Philip et l’a évoqué avec une grande affection.
Voici ce que la reine Elizabeth II a dit à propos du prince Philip
La reine Elizabeth II, 95 ans, a rappelé dans son discours lors de la cérémonie d’ouverture de la sixième session du Parlement écossais, l’amour qu’elle et son défunt mari partageaient par l’Ecosse.
«J’ai déjà parlé de mon affection profonde et durable pour ce merveilleux pays et des nombreux souvenirs heureux que le prince Philip et moi avons toujours eu de notre séjour ici», a déclaré le monarque britannique.
Elle a ajouté : «On dit souvent que ce sont les gens qui font une place, et il y a peu d’endroits où cela est plus vrai qu’en Ecosse, comme on l’a vu ces derniers temps. Pour l’événement, auquel elle était accompagnée du prince Charles et de son épouse Camilla, la reine Elizabeth II portait un manteau vert avec une robe à imprimé fleuri et un chapeau assorti.»
Ce sont les premiers mots que la reine Elizabeth II a prononcés à propos de son mari, le prince Philip, depuis sa mort en avril dernier.
Le monarque britannique a raté la compagnie du duc d’Édimbourg et a rappelé lors de cet événement à quel point l’Écosse était importante pour eux, l’endroit où ils sont allés ensemble pour la dernière fois en août 2020.
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Togo : un journaliste emprisonné pour un article sur la mort d’un proche du président
Le directeur de publication du journal La Dépêche, âgé de 71 ans, était en garde à vue à la Brigade de recherches et d’investigations (BRI) à Lomé depuis mardi, après son audition à la suite d’un article publié le 28 février à propos de la mort d’un proche du président togolais.
«Le journaliste a été placé sous mandat de dépôt par le doyen des juges d’instruction. Il est allé en prison ce soir», a déclaré son avocat, Me Darius Kokou Atsoo.
M. Mewenemesse est visé par «sept chefs d’inculpation», dont «conception et publication de nouvelles fausses aux fins de susciter la population ou l’armée à se soulever contre l’Etat», «apologie contre la défense nationale et la sécurité de l’Etat», «publication par voie de presse écrite d’un écrit ayant porté atteinte à l’honneur, à la dignité et à la considération du président de la République», a précisé Me Atsoo.
Journal suspendu
Après la publication de l’article intitulé «L’assassinat crapuleux du colonel Madjoulba, et si le Général Félix Kadangha Abalo était le capitaine Dreyfus du Togo ?», le journal La Dépêche avait été suspendu le 4 mars pour trois mois par la Haute Autorité de l’audiovisuel et de la communication pour «incitation à la haine tribale», «appel à l’affrontement ethnique entre officiers dans l’armée» et «incitation à la révolte populaire».
Le colonel Bitala Madjoulba, commandant du 1er Bataillon d’intervention rapide (BIR), a été retrouvé mort dans son bureau le 4 mai 2020, au lendemain de l’investiture du président Gnassingbé, à laquelle il avait assisté. L’autopsie du corps a révélé une blessure par balle. Ce militaire à la prestigieuse carrière faisait partie du cercle restreint du chef de l’Etat Faure Gnassingbé.
La mort du colonel Madjoulba avait fait grand bruit dans le pays et, en novembre 2023, cinq militaires ont été condamnés à des peines de cinq à vingt ans de prison, le général Abalo recevant la plus lourde peine.
Deux journalistes togolais ont été écroués pendant dix-huit jours en novembre 2023 pour «diffamation» envers le ministre de l’urbanisme, Kodjo Adedze. En mars 2023, deux autres journalistes togolais avaient été condamnés par contumace à trois ans de prison par le tribunal de grande instance de Lomé pour «outrage à l’autorité» et «propagation de propos mensongers sur les réseaux sociaux», après les plaintes de deux ministres, dont M. Adedze.
Avec AFP
Actualités
WhatsApp : votre compte pourrait bientôt être banni, voici pourquoi
WhatsApp a récemment pris une mesure drastique en bannissant des milliers d’utilisateurs de versions non officielles de son application de messagerie. Selon la filiale de Facebook, ce bannissement sera automatique à l’avenir, soulignant ainsi l’importance de la sécurité pour l’entreprise et ses utilisateurs.
«Les applications non prises en charge, telles que WhatsApp Plus et GB WhatsApp, sont des versions modifiées de WhatsApp. Ces applications non officielles sont développées par des tiers et violent nos conditions d’utilisation», annonce WhatsApp dans un communiqué.
Cette décision découle d’un souci de sécurité, car WhatsApp ne peut garantir le niveau de sécurité de ces applications tierces, mettant ainsi en péril la confidentialité des utilisateurs.
WhatsApp a donc envoyé un avertissement aux utilisateurs concernés, les incitant à utiliser uniquement la version officielle de l’application pour éviter tout risque de violation de sécurité.
Pour récupérer l’accès à leur compte, les utilisateurs bannis n’ont qu’à télécharger la version authentique de WhatsApp, leur bannissement étant temporaire.
Cependant, WhatsApp ne garantit pas la conservation de l’historique des utilisateurs ayant utilisé des applications tierces. Avec l’automatisation du processus de bannissement grâce à l’intelligence artificielle, WhatsApp a déjà banni 2 millions de comptes en un mois, renforçant ainsi sa politique de sécurité.