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La raison de la querelle entre Silverter Stallone et Arnold Schwarzenegger
Les deux acteurs ont rivalisé pendant des années pour devenir la référence absolue du cinéma d’action, ce qui a conduit à des situations surréalistes.
Si Silverter Stallone et Arnold Schwarzenegger étaient interrogés sur leur relation maintenant, ils s’extasieraient probablement l’un sur l’autre.
Mais il fut un temps où ils se détestaient littéralement à cause de la comparaison insistante entre leurs carrières et la compétitivité que dégageaient les deux acteurs.
Et c’est que les succès de Stallone et Schwarzenegger se sont succédé et se sont superposés avec une certaine facilité, principalement dans les années quatre-vingt du siècle dernier, ce qui a déclenché une course pour obtenir les meilleurs rôles possibles, quitte à les prendre à l’autre. Chose que l’ancien gouverneur de Californie a su mieux gérer que son “rival”.
En fait, Schwarzenegger a reçu le scénario de Stop ! ou ma mère tire (1992) et pensait que c’était «une merde». «Je me suis dit : ‘Je ne vais pas faire ce film.’ Alors les producteurs du film, ils sont allés voir Sly, et il m’a appelé et m’a dit : ‘Est-ce qu’ils t’ont déjà parlé de faire ce film ?’ Et j’ai dit: ‘Oui, je pensais le faire. Ce film est une idée vraiment géniale», a expliqué l’acteur d’origine autrichienne à Jimmy Fallon à l’époque.
Finalement, Stallone a pris le rôle et le film a été un flop retentissant au box-office et est actuellement considéré comme l’un des pires de la filmographie de l’acteur, qui était également tombé dans le piège de Schwarzenegger avec Strass (1984). Stallone lui-même admettrait également à Fallon lui-même que la même chose lui était arrivée plusieurs fois.
Un exemple incontestable de la mesure dans laquelle la rivalité entre les deux légendes du cinéma est devenue une image de marque de l’homme qui a également provoqué des rôles similaires et des références mutuelles , généralement avec une envie burlesque, dans certains films.
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Côte d’Ivoire : «J’ai été très choquée par cette attitude de Laurent Gbagbo», Tina Glamour
La chanteuse ivoirienne Tina Glamour a récemment fait sensation sur les réseaux sociaux en critiquant ouvertement l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo pour son silence après le décès tragique de son fils, DJ Arafat.
Dans une déclaration poignante, la mère du regretté artiste coupé-décalé a exprimé son profond choc et sa déception quant à l’attitude de Laurent Gbagbo à son égard.
«J’ai rencontré le Président Laurent Gbagbo pour la toute première fois lors d’un spectacle au Burkina Faso. Il n’était même pas encore Président. Il n’avait pas la notoriété qu’il a eue plusieurs années après», a déclaré Tina Glamour.
«J’ai été donc choquée du fait qu’à son retour d’exil, il n’ait pas eu l’amabilité de faire ne serait-ce qu’un clin d’œil à la mémoire de mon défunt fils Arafat lors du congrès de son parti le PPA-Ci. Il a uniquement fait cas du décès de S Kelly ce jour, ce qui est d’ailleurs une bonne chose pour la mémoire de cet artiste.
Il aurait pu, ne serait-ce que symboliquement, présenter ses condoléances à la famille de Arafat, notamment moi sa mère qu’il connaît très bien. J’ai été très choquée par cette attitude de l’ex-Président Laurent Gbagbo», a-t-elle ajouté.
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Côte d’Ivoire : Yacine Idriss Diallo rend un vibrant hommage à Max Gradel
Max Alain Gradel a pris sa retraite internationale ce samedi 23 mars 2024, après 13 années de loyaux services avec les Éléphants de Côte d’Ivoire. Le président de la Fédération Ivoirienne de Football (FIF), Yacine Idriss Diallo, n’a pas manqué de lui rendre un vibrant hommage avec des mots empreints de respect et de reconnaissance.
Dans son message publié sur sa page Facebook, Yacine Idriss Diallo salue le parcours exemplaire de Max Gradel : «Mon Commando n° 15, c’est avec un mélange d’émotion et de respect profond que nous accueillons la nouvelle de ta retraite internationale.
Au cours de ta carrière, tu as non seulement été un joueur exceptionnel sur le terrain, mais aussi un véritable exemple de professionnalisme, de dévouement et de passion pour le football.»
Le président de la FIF souligne également l’impact de Max Gradel sur l’équipe nationale : «Ton parcours avec l’équipe nationale a été remarquable, marqué par des moments inoubliables qui resteront gravés dans les mémoires de tous les fans. Ta capacité à changer le cours d’un match, ta vision du jeu, et ton engagement sans faille ont inspiré tant de jeunes joueurs à suivre tes pas.»
Yacine Idriss Diallo conclut son hommage en souhaitant le meilleur à Max Gradel pour la suite de sa carrière : «En prenant cette décision, tu laisses derrière toi un héritage fort. C’est un héritage de combativité, de résilience, et surtout, d’amour pour le maillot national.
Merci pour tout ce que tu as donné à ton pays, sur et en dehors du terrain. Ton impact dépassera les générations et continuera à inspirer ceux qui rêvent de marcher sur tes traces.
Nous te souhaitons le meilleur pour les prochaines étapes de ta vie, en sachant que quelles que soient les aventures à venir, tu les aborderas avec la même passion et détermination qui t’ont caractérisé tout au long de ta carrière internationale. Félicitations, mon commando, entre toi et moi, ce n’est pas fini, on se comprend…»
Cet hommage sincère de Yacine Idriss Diallo à Max Gradel témoigne de l’immense carrière de ce dernier. Avec 113 matchs joués pour la Côte d’Ivoire et dix-huit buts marqués, ainsi que deux victoires en Coupe d’Afrique des Nations, Gradel laisse derrière lui un héritage marquant dans le football ivoirien.