Société
La mère sent que quelque chose est différent lors de sa troisième grossesse après l’erreur d’un médecin

Les Fairbanks ont reçu une heureuse nouvelle l’an dernier. Ils attendaient un nouveau membre de la famille. Le couple avait déjà deux enfants et rêvait depuis longtemps d’en avoir un troisième.
Cependant, cette fois-ci, la future maman a remarqué que la grossesse ne se déroulait pas comme les autres. Mais cela n’a pas inquiété cette femme au-delà car comme le lui disait son médecin, chaque grossesse est différente.
10 semaines après le début de la grossesse, Mme Fairbanks est allée chez le médecin pour un examen de routine. Il a effectué une échographie. Ce n’était pas prévu mais la future maman était contente de pouvoir voir son bébé aussi tôt. Mais bientôt le regard du médecin devint plus sérieux.
«Il a dit ‘Hé ! Attendez une minute’, et j’ai pensé qu’il n’y avait plus d’enfant dans mon ventre, ou que quelque chose clochait. Mais ensuite, il dit soudain : ‘Mon Dieu, je vois deux battements de cœur. Vous attendez des jumeaux», dit la mère.
Le couple Fairbanks était heureux d’accueillir deux nouveaux membres dans la famille. Cependant, au fur et à mesure, pendant qu’ils organisaient l’arrivée de deux enfants, les futurs parents se sont vite fait dire qu’ils n’attendaient pas de jumeaux. Non, la mère était enceinte de triplés.
Et à l’automne dernier, les triplés ont vu le jour. Deux garçons et une fille, tous en bonne santé. La famille est soudainement devenue une famille de 7 membres, ce qui a été un grand bouleversement.
Bien que ce fût une surprise pour le couple, ils voient tous leurs enfants comme un cadeau et sont très reconnaissants pour leur «petite» famille.
Que c’est merveilleux de voir que la famille va bien ! Mais leur histoire montre aussi que le corps humain est vraiment incroyable et a de quoi surprendre !

Société
Corse : libération des deux jeunes nationalistes arrêtés mardi par l’antiterrorisme à Bastia

Les deux militants majeurs du mouvement de jeunesse du parti indépendantiste Corsica Libera interpellés ce mardi à Bastia dans le cadre d’une information judiciaire du pôle antiterroriste du tribunal de Paris ont été libérés, a appris ce vendredi 26 mai l’AFP de sources proches du dossier. Ces deux personnes ont été relâchées jeudi soir sans poursuite à ce stade.
Elles avaient été arrêtées à l’aube mardi par la Brigade de recherche et d’intervention (BRI), la Sous-direction antiterroriste et la police judiciaire.
Une source judiciaire avait indiqué mardi que ces interpellations avaient lieu dans le cadre d’une information judiciaire du pôle antiterroriste du tribunal judiciaire de Paris, sans préciser laquelle.
Selon des sources proches du dossier, il s’agirait de la «fin du dossier» dans lequel le militant de Corsica Libera, Charles Pieri, figure suspectée d’avoir dirigé un temps le FLNC, a été mis en examen en décembre 2022.
Avec AFP
Actualités
Bretagne : un directeur d’abattoir condamné à deux ans de prison avec sursis après la mort d’un jeune homme en 2021

Le dirigeant était accusé d’homicide involontaire après la mort d’un étudiant de 18 ans venu travailler pendant les vacances en octobre 2021.
Un ancien directeur d’abattoir a été condamné à deux ans d’emprisonnement avec sursis pour la mort d’un jeune homme de 18 ans à Lanfains (Côtes-d’Armor) en 2021, a-t-on appris ce vendredi 26 mai auprès du tribunal de Saint-Brieuc.
Le dirigeant était poursuivi pour homicide involontaire avec circonstance aggravante et manquement délibéré à une obligation de sécurité et de prudence.
Il a été déclaré coupable jeudi par le tribunal correctionnel et condamné à deux ans de prison avec sursis, a indiqué le greffe. Une amende délictuelle de 300.000 euros a également été prononcée à l’encontre de la société LDC.
La condamnation de l’entreprise fera l’objet d’un affichage sur son site à Lanfains et dans la presse locale, a précisé la même source.
La victime, un étudiant en BTS technico-commercial à Rennes, a trouvé la mort coincé sous deux caisses remplies de carcasses de volailles le 25 octobre 2021 dans cet abattoir. Il s’agissait du premier jour de son contrat de travail qui devait normalement s’achever deux semaines plus tard.
L’étudiant était venu travailler dans cet abattoir pendant les vacances de la Toussaint. Le parquet avait requis lors de l’audience le 30 mars 15 mois d’emprisonnement avec sursis contre le prévenu et 375.000 euros d’amende contre la société LDC.
Avec AFP