Economie
Kylian Mbappé et la raison pour laquelle le PSG a rejeté l’offre de millionnaire du Real Madrid

Nasser Al-Khelaïfi, président du PSG, a fourni une brève explication pour écarter les offres du Real Madrid, un club qui a tenté de signer Kylian Mbappé sur le marché récent
Le Real Madrid, le Paris Saint Germain et Kylian Mbappé ont été de grands protagonistes du marché des transferts estival qui s’est clôturé il y a une semaine dans le monde du football. Le club espagnol s’est efforcé d’obtenir l’incorporation de l’attaquant de l’équipe de France.
Pourtant, les Bleus ont défendu leur position : garder le joueur en équipe première tout au long de cette saison, en attendant une nouvelle négociation. Même les propositions présentées par la «Maison Blanche»– près de 200 millions d’euros – n’ont pas changé la position de Paris.
En ce sens, les Gaulois sont exposés à perdre l’une des grandes stars de l’effectif en janvier. Dès le premier mois de 2022, les meringues peuvent frapper à la porte du crack et s’entendre à coût nul.
Après des mois intenses de conversations et de mouvements, Nasser Al-Khelaïfi s’est exprimé sur l’affaire Madrid-Mbappé. Lors d’un événement de l’Association européenne des clubs (ECA), qu’il préside, le patron du Paris Saint-Germain a répondu à une question liée au motif du rejet des offres venues de la capitale espagnole.
«La seule chose qui compte, c’est que le club respecte le fair-play financier. Et Paris le respecte», a déclaré le président des «Parisiens» lors de la conférence de presse. L’argumentation d’Al-Khelaïfi est liée aux critiques constantes que l’entité qui dirige a reçu pour l’émission du célèbre «Fair Play» financier.
En effet, lors du récent mercato, le PSG a été pointé du doigt à plus d’une reprise pour les arrivées de Lionel Messi, Achraf Hakimi, Gianluigi Donnarumma, Sergio Ramos et Nuno Mendes, également pour la permanence de Kylian Mbappé, Neymar et plus de 30 salaires de millionnaire que vous paierez pendant cette période.

Economie
Les États-Unis élargissent les subventions aux véhicules électriques venant d’autres pays

Le département du Trésor a publié vendredi ses propositions qui ouvrent la porte aux batteries et composants provenant du Japon et potentiellement, à terme, d’Europe.
Le département du Trésor a publié vendredi ses propositions concernant les conditions d’attribution de la subvention de 7500 dollars à destination des véhicules électriques neufs qui ouvrent la porte à ceux dont les batteries et les composants proviennent du Japon et, potentiellement, à terme, d’Europe.
Les conditions, qui sont désormais ouvertes à consultation et remarques avant une validation définitive, prévoient que les États liés par un accord de libre-échange sont également pris en compte, «un terme qui inclut les accords récemment négociés relatifs aux matériaux critiques», a précisé le Trésor dans un communiqué, l’Union européenne négociant actuellement ce type d’accord, signé lundi par le Japon.
Plus d’informations à suivre…
Economie
Daniel Kretinsky en négociations pour investir dans le média vidéo Loopsider

L’homme d’affaires tchèque Daniel Kretinsky, à la tête du groupe de presse CMI France (Marianne, Elle, Public), souhaite investir dans le média vidéo spécialiste des réseaux sociaux Loopsider, ont indiqué jeudi à l’AFP des sources concordantes, confirmant une information de la Lettre A.
Selon ces sources, CMI France négocie avec le banquier d’affaires Bernard Mourad, co-fondateur et président de Loopsider, qui a récemment révélé être atteint d’un cancer.
Ce média a récemment fait parler de lui en révélant, avec Le Monde, un enregistrement sonore dans lequel on entend des policiers, présentés comme des membres de la BRAV-M, tenir des propos insultants et humiliants envers sept jeunes manifestants qu’ils venaient d’interpeller à l’occasion d’une manifestation sauvage à Paris.
De nombreux investissements en France
Le groupe de Daniel Kretinsky discuterait du rachat de 30% à 40% de l’entreprise, mais les discussions sur la valorisation de celle-ci ne seraient pas abouties, écrit la Lettre A.
Le magnat tchèque de l’énergie, dont la fortune s’élève à 7,8 milliards d’euros d’après Forbes, a accéléré ces dernières années ses investissements dans les médias français via CMI France.
Il est notamment co-actionnaire du journal Le Monde, a renfloué Libération sans en devenir actionnaire et possède plus de 5% du groupe audiovisuel TF1. En décembre, CMI France est entré au capital du studio de podcast Louie Media.
Plus récemment, Kretinsky est entré en négociations exclusives avec Vivendi pour racheter 100% d’Editis, le numéro deux de l’édition française, et investit également dans la distribution en France, avec 10% de Casino et 25% de Fnac Darty.
Son profil et ses capacités financières pourraient convaincre les actuels dirigeants de Loopsider (Guiseppe de Martino, Arnaud Maillard et Johan Hunagel), qui détiennent ensemble près de 60% du capital, d’apporter une partie de leurs titres à l’opération.
Ceux-ci ont présenté mi-mars leur plan pour louer le logiciel d’analyse des réseaux sociaux développé par Loopsider, et souhaitent également lancer une nouvelle rubrique sur «l’économie de la création», qui regroupera des contenus sur la technologie, le marketing, la publicité, les jeux vidéo ou encore les NFT.
En 2022, le média gratuit financé par ses contenus sponsorisés, qui édite également des sites en marque blanche pour des entreprises, a enregistré un chiffre d’affaires de plus de 4 millions d’euros pour un bénéfice net de près de 200.000 euros, son deuxième exercice bénéficiaire consécutif.
Avec AFP