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Kylian Mbappé a réagi à l’annonce de la retraite internationale de Raphaël Varane
Un nouveau champion du monde 2018 dit stop. Après Hugo Lloris et Steve Mandanda, Raphaël Varane a annoncé à son tour sa retraite internationale, ce jeudi, plus d’un mois après la finale de la Coupe du monde 2022 au Qatar perdue contre l’Argentine (3-3, 2-4 tab).
Depuis l’officialisation du retrait de l’international français à seulement 29 ans, après 93 sélections et 5 buts, les réactions se multiplient pour rendre hommage au joueur de Manchester United. Parmi les commentaires très attendus, celui du sélectionneur des Bleus Didier Deschamps.
Le Bayonnais a dit regretter le choix pris par l’ancien sociétaire du Real Madrid, longtemps incertain pour le Mondial qatari en raison d’une blessure à la cuisse contractée avec les Red Devils.
Kylian Mbappé a également rapidement réagi à la retraite internationale du Nordiste. Dans une story publiée sur Instagram, l’attaquant du Paris Saint-Germain a salué son désormais ancien coéquipier en équipe de France, la star tricolore de 24 ans accompagnant son message d’une photo sur laquelle les deux hommes, tout sourire, soulèvent la Coupe du monde gagnée en 2018 sur le sol russe. «Merci Raph. Le meilleur pour la suite.»
La décision prise par Raphaël Varane de ne plus porter le maillot français va désormais obliger “DD” à choisir un nouveau capitaine, puisque le Lillois était le vice-capitaine du groupe derrière Hugo Lloris. L’ancien Monégasque fait partie des candidats naturels au même titre qu’Antoine Griezmann.
De sa première sélection contre la Géorgie (3-1) en éliminatoires de la Coupe du monde 2014, le 22 mars 2013, à son ultime cape face à l’Albiceleste de Lionel Messi, Raphaël Varane aura mené la France au sacre mondial en 2018 et à la victoire finale en Ligue des Nations, en 2021, après un succès en finale contre l’Espagne.
Sous contrat jusqu’en juin 2025 avec Manchester United, l’ex-pensionnaire du championnat de France va désormais concentrer ses efforts sur sa carrière en club.
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Nouvelle-Calédonie : opposants et partisans du gouvernement manifestent
Opposants et partisans du gouvernement de Nouvelle-Calédonie ont manifesté jeudi à Nouméa, les uns menaçant de mettre «le bordel», les autres appelant à la «sérénité», sur fond de tensions autour d’une réforme constitutionnelle sensible qui se joue à Paris sur l’avenir politique de l’archipel.
Le premier rassemblement s’est tenu devant le congrès à l’appel de deux formations non-indépendantistes, les Loyalistes (affiliés à Renaissance) et le Rassemblement (LR), contre un gouvernement local jugé «illégitime» par Sonia Backès, la leader des Loyalistes et présidente de la province sud.
Réforme constitutionnelle
Les manifestants, 3500 à 4000 selon la police et 6000 selon les organisateurs, se sont réunis pour envoyer «un signal» aux parlementaires qui examinent une réforme constitutionnelle visant à élargir le corps électoral aux élections provinciales de l’archipel, jusque-là circonscrit aux natifs et aux résidents de longue date.
«Je le dis à Paris aujourd’hui, aux parlementaires qui tremblent: le bordel, c’est nous qui le mettrons si on essaie de nous marcher dessus!», a martelé Sonia Backès, ancienne secrétaire d’État en charge de la Citoyenneté (2022-2023). Le texte, examiné mardi au Sénat, doit faire l’objet d’un vote solennel le 2 avril, avant de cheminer vers l’Assemblée nationale en mai.
Plus tard dans la matinée, ce sont les indépendantistes, partisans du gouvernement calédonien, qui ont défilé à Nouméa. Eux ont dénoncé cette volonté d’ouvrir le corps électoral et soutenu la politique de Louis Mapou, premier indépendantiste élu à la présidence du gouvernement collégial de Nouvelle-Calédonie.
Ce dernier a appelé à «construire ensemble, dans la sérénité». «On doit rester dans ce cadre et sur ce créneau (…). C’est ce qui relève de la responsabilité du peuple premier et de ceux qui luttent pour l’indépendance», a-t-il lancé aux manifestants. Mardi, son congrès avait retiré un projet de «taxe carburant», contesté par plusieurs organisations patronales, provoquant la levée des blocages des dépôts de carburant de l’archipel en cours depuis le 21 mars.
Avec AFP
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La FNSEA appelle Emmanuel Macron à donner sa vision pour l’agriculture «sans plus attendre»
Le président du syndicat agricole majoritaire FNSEA a appelé ce jeudi le président de la République à exprimer sa vision pour l’agriculture «sans plus attendre».
«Le président de la République semble hésiter à prendre rendez-vous, celui qu’il nous avait promis au Salon de l’agriculture, en estimant que la situation n’était pas mûre», a souligné Arnaud Rousseau lors du congrès annuel du syndicat à Dunkerque.
«Qu’en est-il de l’ambition du chef de l’État ? Le discours (de 2017, NDLR) de la montée en gamme a vécu, qu’il nous donne sa vision sans plus attendre.»
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