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Karim Benzema : c’est l’héritage que l’attaquant français hériterait de ses trois enfants
Après avoir pris sa retraite de l’équipe de France, Karim Benzema se concentrera sur ses fonctions avec le Real Madrid.
Malgré le fait que Karim Benzema aurait encore du fil à retordre dans sa carrière de footballeur, sa démission de l’Equipe de France, après la fin de la Coupe du monde Qatar 2022, a choqué ses fans qui ont réalisé que le Français avait déjà 35 ans.
Impossible de savoir avec certitude quand il pourrait raccrocher les bottines, mais il peut passer en revue l’ héritage millionnaire qu’il laisserait en héritage à ses trois enfants.
Issu des rangs des jeunes de l’Olympique Lyonnais en France, l’explosion du phénomène Karim Benzema n’arrivera qu’en 2009, lorsque le Ballon d’Or 2022 parvient à signer son premier contrat avec le Real Madrid, quatre ans après ses débuts sportifs en Ligue 1 et deux dès sa première apparition dans «Les Bleus».
Depuis, la fortune de la star n’a cessé de croître et il est stipulé qu’elle aurait une valeur approximative de 23,3 millions de dollars, selon les données fournies par «Planeta Madrid».
Parmi les biens que Karim Benzema laisserait à ses enfants, une fois que le capitaine merengue ne serait plus sur cette terre, figureraient des propriétés telles que le manoir dans lequel il réside actuellement à Madrid, sa somptueuse collection de voitures de sport, de l’argent, des vêtements, du luxe bijoux et montres dont il s’est reconnu comme un véritable consommateur, après avoir noué divers liens avec le monde de la mode et les plus grandes maisons de haute couture.
Qui sont les enfants de Karim Benzema
L’idole française a toujours essayé de mener une vie privée loin des projecteurs médiatiques. S’il a réussi à gérer des problèmes familiaux, cela ne l’a pas empêché d’être impliqué dans divers scandales qui lui ont coûté son appel en équipe de France. Pour cette raison, on sait peu ou rien sur les héritiers de neuf.
Jusqu’à présent, Karim Benzema n’est que le père de trois petits enfants. Le premier d’entre eux est Ibrahim Benzema, qui est non seulement le premier-né de sa relation avec l’infirmière française Chloé de Lunay, mais aussi le plus connu, du fait que la mère des autres enfants de l’attaquant, Melia et Nouri, le mannequin Cora Gauthier, a préféré et conclu un accord pour protéger les plus petits de l’exposition médiatique.
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Arabie saoudite : le roi Salmane hospitalisé pour des «examens de routine»
Le roi Salmane d’Arabie saoudite, âgé de 88 ans, a été admis à l’hôpital pour des «examens de routine», a annoncé mercredi la Cour royale, dans une rare déclaration publique sur son état de santé.
Les examens se déroulent à l’hôpital spécialisé King Faisal dans la ville côtière de Jeddah, sur la mer Rouge, et devraient durer «quelques heures», a-t-elle précisé, selon l’agence de presse officielle saoudienne (SPA).
Le roi Salmane Ben Abdel Aziz est à la tête du royaume du Golfe depuis 2015, même si le pays est dirigé au quotidien par son fils de 38 ans, Mohammed ben Salmane, nommé prince héritier en 2017. Les médias d’État ont montré mardi des images du monarque participant à un Conseil des ministres.
Rares apparitions publiques
Sa dernière hospitalisation date de mai 2022. Admis pour des examens médicaux, notamment une coloscopie, il avait passé une semaine à l’hôpital «pour se reposer», avait rapporté SPA à l’époque.
Ces dernières années, le roi Salmane s’est fait de plus en plus rare en public, alimentant les rumeurs sur son état de santé. Il a subi une opération de la vésicule biliaire en juillet 2020, et a été hospitalisé en mars 2022 pour des «tests médicaux» et pour remplacer la batterie de son stimulateur cardiaque.
Avant d’accéder au trône, le roi Salmane a été gouverneur de Ryad pendant des décennies et ministre de la Défense. Son règne a été marqué par d’importantes réformes sociales et économiques, visant à diversifier l’économie du premier exportateur de brut au monde, et portées surtout par son fils. L’ambitieux prince Mohammed a mené une vaste campagne de répression, qui l’a aidé à consolider son pouvoir, selon les analystes.
Avec AFP
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L’Argentine demande au Pakistan et au Sri Lanka d’arrêter un ministre iranien
Le gouvernement argentin a demandé mardi 23 avril au Pakistan et au Sri Lanka d’arrêter le ministre iranien de l’Intérieur Ahmad Vahidi, recherché pour l’attentat contre la mutuelle juive Amia à Buenos Aires en 1994, et qui effectue actuellement une tournée dans ces deux pays, a annoncé le ministère des Affaires étrangères.
«L’Argentine demande l’arrestation internationale des responsables de l’attentat à la bombe de 1994 contre l’Amia, qui a causé la mort de 85 personnes, et qui continuent à leurs postes de pouvoir en toute impunité», a écrit le ministère dans un communiqué, a écrit le ministère argentin des Affaires étrangères dans un communiqué.
«L’un d’entre eux est Ahmad Vahidi, réclamé par la justice argentine comme étant l’un des responsables de l’attentat contre l’Amia. Cet individu est actuellement ministre de l’Intérieur de la République islamique d’Iran et fait partie d’une délégation gouvernementale qui se rend ces jours-ci au Pakistan et au Sri Lanka», poursuit le texte.
«L’Argentine a demandé son arrestation aux gouvernements du Pakistan et du Sri Lanka conformément aux mécanismes prévus par Interpol», ajoute-t-il.
La plus grande communauté juive d’Amérique latine
Le général Vahidi est ministre de l’Intérieur depuis 2021, après avoir auparavant été ministre de la Défense. Au moment de l’attentat de Buenos Aires, il dirigeait la Force al-Qods, l’unité chargée des opérations secrètes au sein des Gardiens de la révolution, l’armée idéologique du régime iranien.
L’attentat de l’Amia, le 18 juillet 1994, a été attribué par la justice argentine et par Israël au régime iranien et au mouvement chiite libanais Hezbollah. L’Iran a nié toute implication et a toujours refusé que les huit anciens responsables inculpés par la justice argentine, dont le général Vahidi et l’ex-président Ali Rasfanjani, soient interrogés.
L’Argentine compte la plus grande communauté juive d’Amérique latine, avec quelque 300.000 membres. Avant l’Amia, l’ambassade d’Israël à Buenos Aires avait été la cible en 1992 d’un attentat qui avait fait 29 morts et 200 blessés, également attribué à l’Iran par la justice argentine et qui reste lui aussi impuni.
En 2013, la présidente argentine de l’époque, Cristina Kirchner, avait signé un protocole d’accord avec l’Iran pour créer une «commission de la vérité» destinée à enquêter sur l’attentat, et permettre aux procureurs argentins de se rendre à l’étranger pour interroger les inculpés.
Cet accord a été ratifié par le Congrès argentin, mais jamais par le Parlement iranien. Il avait été fustigé par les dirigeants de la communauté juive en Argentine, qui ont accusé Cristina Kirchner de couvrir les auteurs de l’attentat. Une enquête judiciaire ouverte à ce sujet en 2015 s’est toutefois conclue par un non-lieu en 2021.
Avec AFP