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Kanye West : le chanteur n’est plus milliardaire après une pause commerciale avec Adidas

Après qu’Adidas ait rompu sa relation commerciale avec Kanye West, Forbes rapporte que le rappeur a perdu son statut de milliardaire : Combien vaut-il maintenant ?
Les problèmes ne s’arrêtent pas pour Kanye West. Ces dernières semaines, le rappeur a été la cible de critiques après avoir tenu divers propos antisémites, qui l’ont poussé à rompre avec diverses marques, Adidas étant la dernière à rejoindre la liste.
Au matin de ce mardi 25 octobre, Adidas a annoncé la fin de sa relation commerciale avec Kanye West et sa collection exclusive de baskets ‘Yeezy’, mettant fin à un contrat qui valait des milliards de dollars aux deux parties.
Selon Forbes, les principaux revenus de West sont les redevances de sa musique, alors que son accord avec Adidas représentait le deuxième gain le plus important de ses actifs, alors lorsque sa relation avec la marque de sport allemande a été rompue, l’interprète de ‘Gold Digger’ a perdu plus de la moitié de sa fortune.
Kanye West n’est plus milliardaire après une pause commerciale avec Adidas
En 2021, Kanye West est devenu l’artiste noir le plus riche des États-Unis en entrant dans la liste des milliardaires avec une valeur nette de 6,6 milliards de dollars.
Depuis lors, sa fortune a chuté, passant de 6 milliards de dollars à 4 milliards de dollars en un an, selon Celebrity Net Worth. Cependant, Forbes a placé la fortune du rappeur à 1,3 milliard de dollars, bien qu’il se soit toujours vanté d’avoir plus d’argent.
Tenant compte du fait que l’accord avec Adidas était son deuxième revenu le plus important, Forbes a dépouillé l’ex-mari de Kim Kardashian du titre de milliardaire, puisqu’il ne vaut plus que 400 millions de dollars, ce qui est sa plus grosse baisse.
En plus de sa musique, la richesse de West provient de l’immobilier, de l’argent liquide et d’une participation de 5 % dans Skims, la marque de shapewear de Kim Kardashian.

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Violentes accusations à Alfortville : un patient agresse un urologue qu’il accuse

Le mardi 29 août, à Alfortville dans le Val-de-Marne, un incident grave s’est produit entre un patient et un urologue, décrit par Nicolas Farmine.
L’homme avait été amené à la clinique en raison de troubles urinaires et avait perdu connaissance. L’équipe médicale, composée d’un urologue et d’une infirmière, avait pris la décision de lui insérer une sonde urinaire pour évaluer sa condition.
Cependant, au moment où le patient reprenait conscience, il s’était rendu compte de la pose de la sonde sans son consentement préalable et avait accusé l’urologue de non-respect du consentement.
La situation avait rapidement dégénéré en une altercation physique, au cours de laquelle le patient avait agressé l’urologue en lui donnant plusieurs coups de poing.
Face à cette violence, l’urologue avait fait appel au SAMU pour son évacuation à l’hôpital en vue de soins. Une enquête avait été ouverte par le parquet de Créteil et confiée au commissariat d’Alfortville pour examiner les circonstances de l’incident.
Dans cette affaire complexe, l’urologue avait exprimé l’intention de déposer une plainte contre le patient pour l’agression subie. Parallèlement, le patient avait également prévu de déposer plainte contre l’urologue, alléguant un acte de viol en lien avec la pose de la sonde urinaire.
Cet incident soulève des questions importantes concernant le consentement médical et la communication entre les patients et les professionnels de la santé, ainsi que la nécessité de clarifier les circonstances de l’incident lors de l’enquête en cours.
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Coup d’État au Gabon : la première réaction d’Ali Bongo (vidéo)

Le président du Gabon Ali Bongo Ondimba, placé en résidence surveillée par des militaires qui l’ont destitué à l’issue d’un coup d’État mercredi, appelle «tous» ses «amis» à «faire du bruit», dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux. On l’y voit, sans pouvoir déterminer le moment où la vidéo a été tournée, assis dans un fauteuil, et il assure être dans sa «résidence».
Manifestement inquiet, il dit en anglais: «Je suis Ali Bongo Ondimba, président du Gabon», «j’envoie un message à tous nos amis dans le monde entier pour leur dire de faire du bruit» à propos «des gens qui m’ont arrêté, moi et ma famille», dit en anglais. Ali Bongo, qui dirige, à 64 ans, le Gabon depuis plus de 14 ans, avait été proclamé, quelques instants avant le putsch, vainqueur de l’élection de samedi.
«Mon fils est quelque part, ma femme est dans un autre endroit, et moi je suis à la résidence et rien ne se passe, je ne sais pas ce qui se passe», poursuit Ali Bongo. «Je vous appelle pour faire du bruit», répète-t-il trois fois.
#Gabon: Ali Bongo depuis sa résidence pic.twitter.com/NMmvIbsbwe
— Stanis Bujakera Tshiamala (@StanysBujakera) August 30, 2023
Son fils et proche conseiller Noureddin Bongo Valentin a été «arrêté» avec six autres jeunes membres de l’entourage professionnel proche de M. Bongo, notamment pour «haute trahison», «détournements massifs de denier publics» et «falsification de la signature» du chef de l’État, ont annoncé les militaires putschistes en fin de matinée.
Les militaires n’ont rien dit du sort de son épouse franco-gabonaise Sylvia Bongo Ondimba.