Célébrités
Jeux Olympiques : «Il n’y aura pas d’impôt JO», promet Emmanuel Macron
Le chef de l’État explique que les «Jeux doivent financer les Jeux», dans un entretien accordé au journal L’Équipe à paraître mardi.
«Il n’y aura pas d’impôt JO» lié aux Jeux de Paris 2024, a assuré Emmanuel Macron, en expliquant que les «Jeux doivent financer les Jeux», dans un entretien accordé au journal L’Équipe à paraître mardi.
Le président de la République a par ailleurs indiqué que l’État «va acheter 400.000 billets» à l’occasion des JO-2024 (26 juillet – 11 août) «qu’il distribuera aux jeunes et scolaires, surtout les moins de 16 ans», mais aussi – entre autres – à des «bénévoles qui contribuent aux Jeux et au sport en France».
En tout, 10 millions de billets seront mis en vente pour les JO et près de 3,4 millions pour les Jeux paralympiques de Paris, selon le site internet des organisateurs.
La «billetterie populaire» évoquée par le président sera également destinée «aux personnes en situation de handicap, à leurs aidants et aux fonctionnaires de l’État et des collectivités qui aident à ces Jeux, particulièrement les catégories B et C», a précisé le chef de l’État qui a convoqué lundi un Conseil olympique.
Près d’une dizaine de ministres ont participé à cet oral olympique pendant plus de deux heures à l’Élysée. De la première ministre Elisabeth Borne, au ministre de l’Économie Bruno Le Maire, à celui de l’Intérieur Gérald Darmanin, de l’Éducation nationale Pap Ndiaye ou encore des Sports Amélie Oudéa-Castéra, tous ont présenté leur agenda olympique.
Le but de cette «réunion de chantier» était à la fois de passer en revue tous les dossiers afférents aux JO, mais aussi signer la mobilisation à tous étages de l’État.
«Pas de dérives de nos coûts»
Au sujet du budget des JO – qui a cristallisé nombre d’inquiétudes ces derniers mois, notamment en raison de l’inflation née principalement du conflit en Ukraine – Emmanuel Macron a souligné dans l’entretien à L’Équipe «qu’il y a des solutions pour y répondre et qu’il n’y a pas de dérives de nos coûts».
«Dans ce contexte-là, j’ai réaffirmé un principe simple: il n’y aura pas d’impôt JO. Les Jeux doivent financer les Jeux», a-t-il insisté.
Les discussions entre le Comité international olympique (CIO) et le Comité d’organisation des JO (Cojo), dont le budget de 4 milliards est quasi intégralement financé par des recettes privées, pour tenter de cerner des pistes d’économies avaient déjà été entamées il y a quelques semaines.
Les organisateurs, dont le budget est garanti par l’État, doivent encaisser le choc inflationniste, et procèdent cette année à une revue budgétaire.
Concernant la «billetterie populaire», Emmanuel Macron a expliqué que celle-ci «aura pour but de faciliter l’accès au sport et de permettre à ceux qui auront contribué au rayonnement des Jeux d’accéder à des compétitions, là où ils n’auraient peut-être pas pu se les payer».
Avec AFP
Célébrités
Côte d’Ivoire : «J’ai été très choquée par cette attitude de Laurent Gbagbo», Tina Glamour
La chanteuse ivoirienne Tina Glamour a récemment fait sensation sur les réseaux sociaux en critiquant ouvertement l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo pour son silence après le décès tragique de son fils, DJ Arafat.
Dans une déclaration poignante, la mère du regretté artiste coupé-décalé a exprimé son profond choc et sa déception quant à l’attitude de Laurent Gbagbo à son égard.
«J’ai rencontré le Président Laurent Gbagbo pour la toute première fois lors d’un spectacle au Burkina Faso. Il n’était même pas encore Président. Il n’avait pas la notoriété qu’il a eue plusieurs années après», a déclaré Tina Glamour.
«J’ai été donc choquée du fait qu’à son retour d’exil, il n’ait pas eu l’amabilité de faire ne serait-ce qu’un clin d’œil à la mémoire de mon défunt fils Arafat lors du congrès de son parti le PPA-Ci. Il a uniquement fait cas du décès de S Kelly ce jour, ce qui est d’ailleurs une bonne chose pour la mémoire de cet artiste.
Il aurait pu, ne serait-ce que symboliquement, présenter ses condoléances à la famille de Arafat, notamment moi sa mère qu’il connaît très bien. J’ai été très choquée par cette attitude de l’ex-Président Laurent Gbagbo», a-t-elle ajouté.
Célébrités
Côte d’Ivoire : Yacine Idriss Diallo rend un vibrant hommage à Max Gradel
Max Alain Gradel a pris sa retraite internationale ce samedi 23 mars 2024, après 13 années de loyaux services avec les Éléphants de Côte d’Ivoire. Le président de la Fédération Ivoirienne de Football (FIF), Yacine Idriss Diallo, n’a pas manqué de lui rendre un vibrant hommage avec des mots empreints de respect et de reconnaissance.
Dans son message publié sur sa page Facebook, Yacine Idriss Diallo salue le parcours exemplaire de Max Gradel : «Mon Commando n° 15, c’est avec un mélange d’émotion et de respect profond que nous accueillons la nouvelle de ta retraite internationale.
Au cours de ta carrière, tu as non seulement été un joueur exceptionnel sur le terrain, mais aussi un véritable exemple de professionnalisme, de dévouement et de passion pour le football.»
Le président de la FIF souligne également l’impact de Max Gradel sur l’équipe nationale : «Ton parcours avec l’équipe nationale a été remarquable, marqué par des moments inoubliables qui resteront gravés dans les mémoires de tous les fans. Ta capacité à changer le cours d’un match, ta vision du jeu, et ton engagement sans faille ont inspiré tant de jeunes joueurs à suivre tes pas.»
Yacine Idriss Diallo conclut son hommage en souhaitant le meilleur à Max Gradel pour la suite de sa carrière : «En prenant cette décision, tu laisses derrière toi un héritage fort. C’est un héritage de combativité, de résilience, et surtout, d’amour pour le maillot national.
Merci pour tout ce que tu as donné à ton pays, sur et en dehors du terrain. Ton impact dépassera les générations et continuera à inspirer ceux qui rêvent de marcher sur tes traces.
Nous te souhaitons le meilleur pour les prochaines étapes de ta vie, en sachant que quelles que soient les aventures à venir, tu les aborderas avec la même passion et détermination qui t’ont caractérisé tout au long de ta carrière internationale. Félicitations, mon commando, entre toi et moi, ce n’est pas fini, on se comprend…»
Cet hommage sincère de Yacine Idriss Diallo à Max Gradel témoigne de l’immense carrière de ce dernier. Avec 113 matchs joués pour la Côte d’Ivoire et dix-huit buts marqués, ainsi que deux victoires en Coupe d’Afrique des Nations, Gradel laisse derrière lui un héritage marquant dans le football ivoirien.