News des stars
Jennifer Lopez : quelle a été la terrible erreur que JLO a commise dans sa tenue pour un spectacle luxueux à Venise ?

Nous ne pouvons pas le croire! Jennifer Lopez a commis une petite erreur dans le monde des fashionistas lors du défilé de l’une des maisons de haute couture italiennes les plus prestigieuses au monde. Le moment était le plus inopportun et nous sommes surpris que la célébrité ne l’ait pas remarqué lors d’un événement aussi important.
Il y a quelques jours, JLO a partagé sur son compte Instagram une tenue vert émeraude éblouissante dans laquelle elle ressemblait à une reine de la Renaissance.
L’influenceuse a enflammé les réseaux sociaux avec un pantalon à motifs, un haut avec des bijoux, des bijoux dorés et – le protagoniste de la tenue – une cape avec des épaulettes XL.
Son look à la mode était complété par une coiffe florale qui donnait l’illusion d’être une couronne dorée, ainsi qu’un maquillage avec une abondante poudre bronzante qui définissait ses pommettes, un rouge à lèvres nude et des nuances dans des tons de terre, ainsi que des verts pour donner vie à ses yeux.
Cependant, lorsque la femme d’affaires a été transportée au défilé, elle a été surprise avec l’étiquette sur son magnifique trench-coat. Le code à barres était accroché à l’une des extrémités intérieures et lorsque Jennifer a renversé l’air, le défaut a été mis en évidence.
Nous comprenons que ce détail peut arriver à n’importe qui, puisque la même chose est arrivée à beaucoup d’entre nous avec une robe, une jupe, un chemisier, une veste, etc. Vous, avez-vous quitté la maison avec l’étiquette de votre nouveau vêtement ?

Célébrités
Camille Lellouche annonce la sortie d’un nouveau single avec Tayc

Camille Lellouche a annoncé la sortie de son prochain single avec Tayc, et les fans des deux artistes n’auront pas à attendre longtemps, car il sort… ce vendredi !
C’est un court teaser de douze secondes qu’a posté sur Instagram la comédienne et chanteuse, avec en légende, un simple «O H N A, à vendredi».
Une nouvelle qui n’a pas manqué de ravir les fans, qui ont laissé éclater leur joie en commentaire, souvent à grand renfort d’émojis.
Célébrités
R. Kelly : le chanteur condamné à trente ans de prison pour des crimes sexuels

La star américaine déchue du R&B, R. Kelly, reconnue coupable en septembre 2021 à New York d’avoir dirigé pendant des années un «système» d’exploitation sexuelle de jeunes, dont des adolescentes, a été condamnée mercredi à trente ans de prison.
Cette lourde peine contre le chanteur de 55 ans a été prononcée par le tribunal fédéral de Brooklyn, là où son procès il y a neuf mois avait levé le voile sur la question des crimes sexuels au sein de la communauté noire aux Etats-Unis.
D’après des journalistes présents à l’audience, le chanteur mondialement connu pour son tube «I Believe I Can Fly» n’a pas dit un mot à l’énoncé du verdict
Dans leur dernier réquisitoire, les procureurs fédéraux réclamaient au moins vingt-cinq années de réclusion criminelle en raison du «danger» que représenterait R. Kelly, de son vrai nom Robert Kelly, pour ses victimes et pour l’opinion publique. Le parquet américain a estimé qu’il était «un impudent, un manipulateur, dans le contrôle et la coercition, ne montrant aucun signe de remords ou de respect de la loi».
«Un prédateur»
Durant les six semaines de procès en août et septembre derniers, le chanteur déchu avait été dépeint par l’accusation en «criminel, prédateur». Neuf femmes et deux hommes l’avaient accusé d’avoir abusé d’eux sexuellement, décrivant des viols, des prises de drogues forcées, des situations d’emprisonnement ou encore des faits de pédopornographie.
L’homme, qui a raconté avoir été violé quand il avait huit ans, a été reconnu coupable fin septembre 2021 de tous les chefs d’inculpation : extorsion, exploitation sexuelle de mineur, enlèvement, trafic, corruption et travail forcé, sur une période allant de 1994 à 2018.
Face aux accusations, le silence
Tout au long de son procès, l’ex-étoile afro-américaine du R&B était restée mutique, et n’avait pas manifesté d’émotion particulière à l’énoncé de sa culpabilité, se contentant de baisser la tête et de fermer les yeux.
Déjà en détention et dans l’attente d’un autre procès fédéral à Chicago en août, R. Kelly espérait via ses avocats une peine maximale à New York de dix-sept ans de réclusion.
Ce procès a été considéré comme une étape majeure du mouvement #MeToo : c’était la première fois que la majorité des plaignantes étaient des femmes noires et qu’elles accusaient un artiste noir.