News des stars
Jennifer Lopez : la robe blanche qui a conquis Ben Affleck et le tapis rouge à Venise

Bennifer a enflammé les réseaux sociaux avec l’un des moments les plus attendus pour le couple, car récemment Jennifer Lopez et Ben Affleck sont de nouveau apparus ensemble -après 17 ans- et ont envahi le tapis rouge lors de la Mostra de Venise, dans qui avait l’air plus amoureux que déjà.
Bennifer sur le tapis rouge à Venise
Il y a quelques mois à peine, le retour de l’un des couples préférés d’Hollywood n’était qu’une rumeur, car bien que la presse les ait surpris ensemble, on soupçonnait toujours que leur romance serait temporaire. Après la première photo que l’actrice a partagée sur ses réseaux sociaux, sa relation a pris du sérieux pour ses fans.
Pourtant, il y a quelques jours, les amoureux ont parcouru le tapis rouge de l’un des événements cinématographiques les plus importants où ils ont officiellement annoncé que leur relation était très sérieuse. Ils ont tous les deux volé tous les yeux en répandant du miel, en s’embrassant, en souriant et en ayant l’air très amoureux.
Comment était la robe que portait Jennifer Lopez au festival de Venise ?
L’interprète de «on the floor» a dévoilé l’une des plus belles robes qu’elle ait jamais portées, optant pour une robe blanche coupe sirène, avec un décolleté profond sur le devant orné de strass, conçue par la prestigieuse firme Cartier.
Son look était complété par un maquillage illuminé dans des tons de terre, ainsi qu’un rouge à lèvres nude. Ses cheveux bouclés donnaient la touche sexy qu’elle combinait parfaitement. Avez-vous aimé la tenue que la «Reine du Bronx» a modelée ?

Célébrités
Camille Lellouche annonce la sortie d’un nouveau single avec Tayc

Camille Lellouche a annoncé la sortie de son prochain single avec Tayc, et les fans des deux artistes n’auront pas à attendre longtemps, car il sort… ce vendredi !
C’est un court teaser de douze secondes qu’a posté sur Instagram la comédienne et chanteuse, avec en légende, un simple «O H N A, à vendredi».
Une nouvelle qui n’a pas manqué de ravir les fans, qui ont laissé éclater leur joie en commentaire, souvent à grand renfort d’émojis.
Célébrités
R. Kelly : le chanteur condamné à trente ans de prison pour des crimes sexuels

La star américaine déchue du R&B, R. Kelly, reconnue coupable en septembre 2021 à New York d’avoir dirigé pendant des années un «système» d’exploitation sexuelle de jeunes, dont des adolescentes, a été condamnée mercredi à trente ans de prison.
Cette lourde peine contre le chanteur de 55 ans a été prononcée par le tribunal fédéral de Brooklyn, là où son procès il y a neuf mois avait levé le voile sur la question des crimes sexuels au sein de la communauté noire aux Etats-Unis.
D’après des journalistes présents à l’audience, le chanteur mondialement connu pour son tube «I Believe I Can Fly» n’a pas dit un mot à l’énoncé du verdict
Dans leur dernier réquisitoire, les procureurs fédéraux réclamaient au moins vingt-cinq années de réclusion criminelle en raison du «danger» que représenterait R. Kelly, de son vrai nom Robert Kelly, pour ses victimes et pour l’opinion publique. Le parquet américain a estimé qu’il était «un impudent, un manipulateur, dans le contrôle et la coercition, ne montrant aucun signe de remords ou de respect de la loi».
«Un prédateur»
Durant les six semaines de procès en août et septembre derniers, le chanteur déchu avait été dépeint par l’accusation en «criminel, prédateur». Neuf femmes et deux hommes l’avaient accusé d’avoir abusé d’eux sexuellement, décrivant des viols, des prises de drogues forcées, des situations d’emprisonnement ou encore des faits de pédopornographie.
L’homme, qui a raconté avoir été violé quand il avait huit ans, a été reconnu coupable fin septembre 2021 de tous les chefs d’inculpation : extorsion, exploitation sexuelle de mineur, enlèvement, trafic, corruption et travail forcé, sur une période allant de 1994 à 2018.
Face aux accusations, le silence
Tout au long de son procès, l’ex-étoile afro-américaine du R&B était restée mutique, et n’avait pas manifesté d’émotion particulière à l’énoncé de sa culpabilité, se contentant de baisser la tête et de fermer les yeux.
Déjà en détention et dans l’attente d’un autre procès fédéral à Chicago en août, R. Kelly espérait via ses avocats une peine maximale à New York de dix-sept ans de réclusion.
Ce procès a été considéré comme une étape majeure du mouvement #MeToo : c’était la première fois que la majorité des plaignantes étaient des femmes noires et qu’elles accusaient un artiste noir.