Célébrités
Jennifer Lopez est fière de sa fille Emme après s’être déclarée non binaire
Juste une semaine après que Jennifer Lopez ait présenté sa fille Emme avec des pronoms de genre binaires, lors du gala des Dodgers, où ils ont chanté un duo éblouissant le public par leur talent, il a été annoncé que malgré les critiques la chanteuse est très fière de sa fille.
«Jen est si fière d’Emme et de la belle jeune femme qu’elle est devenue», a déclaré une source proche de l’artiste de 52 ans au Mirror.
Selon sa déclaration, JLo est une mère très aimante qui a toujours soutenu les décisions de ses enfants et espère à l’avenir être un exemple pour d’autres parents qui vivent une situation similaire avec leurs enfants.
«Elle a toujours encouragé Emme et Max à suivre la voie qu’ils jugent la meilleure, et elle espère que ce sera un exemple pour d’autres parents», a-t-il expliqué.
L’informateur assure que dans quelques années, Emme pourrait suivre les traces de sa mère, car elle a montré qu’elle avait un grand talent pour le chant et la danse et qu’elle n’était pas intimidée par les grandes scènes
«Emme est une fille très douce et attentionnée, et tellement talentueuse qu’il semble qu’à un moment donné, elle entrera dans le monde du divertissement, que ce soit en chantant, en jouant ou en dansant», a-t-il déclaré.
Jennifer Lopez et Emme au gala des Dodgers
Lors de la dernière présentation d’Emme Muñiz avec sa mère, la jeune de moins de 14 ans, elle portait une tenue rose composée de deux pièces : un short et une chemise large. En plus d’une casquette noire, de longues chaussettes et de bottes noires.
Mère et fille ont interprété les chansons «A Thousand Years» de Christina Perri et «Born in the USA» de Bruce Springsteen, la célèbre chanson avec laquelle Emme a brillé sur la scène du Super Bowl 2020 avec sa mère et qui était en quelque sorte ses débuts sur organiser.
Célébrités
Céline Dion, toujours souffrante, reste «déterminée à remonter un jour sur scène»
La chanteuse canadienne Céline Dion, toujours souffrante, reste «déterminée à remonter un jour sur scène» et à «surmonter» sa maladie, a-t-elle déclaré vendredi dans une mise à jour à ses fans sur Instagram.
Diagnostiquée à l’automne 2022 d’une pathologie neurologique rare, le syndrome de la personne raide (SPR), la star québécoise a confié que surmonter cette maladie auto-immune «a été l’une des expériences les plus difficiles de (sa) vie».
«Mais je reste déterminée à remonter un jour sur scène et à mener une vie aussi normale que possible», a-t-elle ajouté en légende d’une rare photo où elle pose, sourire aux lèvres, avec ses trois fils pour la Journée internationale de sensibilisation au SPR.
«Je suis profondément reconnaissante de l’amour et du soutien de mes enfants, de ma famille, de mon équipe et de vous tous!», a souligné la chanteuse de 55 ans.
La dernière fois que Céline Dion est apparue en public, c’était lors d’une brève apparition surprise à la cérémonie des Grammy Awards à Los Angeles, aux États-Unis, début février pour remettre l’album de l’année à Taylor Swift. Escortée par son fils aîné, l’artiste aux plus de 250 millions d’albums vendus en 40 ans de carrière a alors reçu une ovation par le public.
La star québécoise n’est plus montée sur scène depuis un concert à Newark (États-Unis) en mars 2020. Sa tournée Courage World Tour avait alors été interrompue par la pandémie de Covid-19. Et depuis 2021, elle souffre des manifestations du SPR.
Touchant environ une personne sur un million, ce syndrome entraîne des douleurs aiguës et des difficultés à se mouvoir, empêchant les activités physiquement contraignantes.
Fin février, Amazon Prime Video a annoncé la sortie prochaine d’un documentaire sur la chanteuse, «I Am: Céline Dion», dans lequel elle veut «sensibiliser» sur sa maladie.
Avec AFP
Actualités
Présidentielle en Russie : Vladimir Poutine réélu pour un cinquième mandat
Vladimir Poutine, au pouvoir depuis un quart de siècle, faisait face à trois candidats triés sur le volet et sans envergure, alors que l’issue du scrutin ne laissait aucun suspense. Il a été réélu avec plus de 87% des voix, selon les premiers résultats officiels.
L’issue du dernier jour du scrutin ne faisait aucun doute : Vladimir Poutine a été réélu président de la Russie pour six années supplémentaires ce dimanche 17 mars avec plus de 87% des voix, selon les premières estimations et les résultats d’un sondage d’un institut étatique, Vtsiom. Les chiffres ont été publiés peu après la fermeture des derniers bureaux de vote à 19 heures heure française dans l’enclave de Kaliningrad.
Invasion de l’Ukraine, répression en Russie, confrontation avec l’Occident : c’est en chef de guerre autoritaire que Vladimir Poutine, au pouvoir depuis un quart de siècle, a été réélu à la tête du Kremlin dimanche pour un cinquième mandat.
74 interpellations en Russie
Les détracteurs du président russe, aux commandes du pays depuis 24 ans, ont voulu se montrer en allant voter au même moment, à midi. Mais le maître du Kremlin a pu compter sur une popularité bien réelle et a voulu faire de la présidentielle une démonstration d’unité du pays.
En fin d’après-midi, la participation nationale s’élevait à 73,33%, un record selon les chiffres officiels. Dans l’ensemble, la mobilisation de l’opposition s’est déroulée dans le calme, mais l’ONG OVD-Info, spécialisée dans le suivi de la répression, a fait état d’au moins 74 interpellations en Russie pour diverses formes de protestations électorales.
Vladimir Poutine, âgé de 71 ans, faisait face à trois candidats triés sur le volet et sans envergure. L’opposition a été décimée par des années d’une répression qui s’est encore accélérée avec le conflit en Ukraine et a culminé avec le mystérieux décès d’Alexeï Navalny dans une prison de l’Arctique en février.
Réformer en 2020 de la Constitution
Le dirigeant russe, qui a fait réformer en 2020 la Constitution pour pouvoir rester aux commandes du pays jusqu’en 2036, a déjà effectué quatre mandats (deux de quatre ans, deux autres de six ans), entrecoupés par un intermède comme premier ministre.
Au fil des ans, la verticale du pouvoir instaurée par Vladimir Poutine, issu du KGB soviétique et arrivé au Kremlin le 31 décembre 1999, a révélé deux grandes caractéristiques de son régime.
La première, celle d’un durcissement constant avec d’abord la mise au pas des oligarques, la deuxième guerre de Tchétchénie, l’étouffement des libertés publiques, des médias et de l’opposition.
Deuxième caractéristique: une quête de puissance géopolitique, avec la guerre en Géorgie (2008), l’annexion de la Crimée ukrainienne (2014), l’intervention militaire en Syrie (2015), et l’invasion de l’Ukraine (2022).
Avec AFP