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Jennifer Lopez : C’est le chiffre millionnaire qu’elle facture pour un post sur Instagram
Jennifer Lopez est l’une des chanteuses les plus populaires sur les réseaux sociaux, il suffit de voir que rien que sur son compte Instagram, elle compte plus de 230 millions de followers, mais combien facture-t-elle pour chaque publication payante ? À venir, nous vous disons.
La Diva du Bronx est devenue une femme d’affaires, car grâce à son image, la chanteuse d’origine portoricaine s’est fait remarquer non seulement au sein de l’industrie du cinéma, mais aussi de la musique et de la mode.
Rappelons qu’actuellement sur les réseaux sociaux, notamment Instagram, ils permettent aux influenceurs de monétiser leur contenu et ainsi de générer des revenus, c’est pourquoi ce business est devenu très populaire et efficace grâce aux collaborations.
Et Jennifer Lopez a su générer l’essentiel de ses revenus de cette manière, puisqu’elle est l’une des artistes qui génère le plus d’argent grâce à son Instragram car en raison du nombre de followers qu’elle a, elle peut toucher un public plus large.
Le chiffre millionnaire que Jennifer Lopez facture pour une publication sur Instagram
Sur son Instagram, il est très courant de voir que Jennifer López partage des publications dans lesquelles on peut lire la légende «Collaboration payante», cela arrive lorsque des marques lui demandent de promouvoir leurs produits.
Selon cela, JLo facture un chiffre d’un million de dollars pour chaque publication. Il est à noter que la chanteuse fait très attention à son feed car sa stratégie consiste à montrer du contenu varié à ses 230 millions de followers.
Jennifer Lopez a été placée sur la liste des 10 célébrités qui gagnent le plus d’argent par publication sur Instagram, tandis que JLo pour la collaboration payante facture le chiffre de 663 mille dollars.
Une quantité digne de la Bronx Diva, car avec le nombre de followers que la portée des marques qui l’approchent peut dépasser les chiffres attendus.
Selon plusieurs sources, le chiffre du millionnaire facturé par Jennifer López n’a jusqu’à présent été dépassé que par Lionel Messi, qui facture 695 000 dollars par publication, suivi de Justin Bieber, le chanteur demande le montant de 740 000 dollars.
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Sénégal : Macky Sall a reçu Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko au palais présidentiel
Dans un moment historique pour le Sénégal, le président sortant, Macky Sall, a accueilli son successeur élu, le Président Bassirou Diomaye Faye, accompagné de l’opposant Ousmane Sonko, ce jeudi 24 mars. Cette rencontre, empreinte de courtoisie, a marqué le début d’une transition politique significative pour le pays.
Le Président Macky Sall et son successeur ont eu des discussions approfondies sur les grands enjeux de l’État, ainsi que sur les détails de la cérémonie de prestation de serment et de passation de service. La solennité de cette audience s’est poursuivie lors de la visite du palais présidentiel, où les échanges ont été menés dans un cadre officiel, témoignant de l’importance de ce moment pour la nation sénégalaise.
Bassirou Diomaye Faye, l’opposant qui a remporté une victoire éclatante dès le premier tour de l’élection présidentielle avec 54,28% des voix, selon les résultats finaux provisoires, devra maintenant voir sa victoire validée par le Conseil constitutionnel. Cette étape devrait être franchie dans les jours à venir, marquant ainsi un nouveau chapitre dans l’histoire politique du Sénégal.
La participation électorale, bien que légèrement inférieure à celle des élections précédentes, témoigne néanmoins de l’engagement des citoyens sénégalais envers le processus démocratique. La transition politique, même dans un contexte de crise politique et de calendrier serré, semble se dérouler dans le respect des institutions et des délais constitutionnels.
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La Comédie-Française gagne son procès dans l’affaire du «Tartuffe originel» de Molière
Deux spécialistes, qui par leurs recherches avaient «restitué» la version de 1664 de la pièce, réclamaient des droits d’auteur pour la production inédite de la comédie en trois actes.
La Comédie-Française a gagné le procès intenté contre elle par deux spécialistes de Molière pour violation des droits d’auteur, selon un jugement dont l’AFP a obtenu une copie jeudi. La procédure concerne Le Tartuffe ou l’hypocrite, une reconstitution de la possible première version de la célèbre pièce de Molière par l’universitaire Georges Forestier et la professeure de lettre Isabelle Grellet.
Molière avait signé en 1664 une version en trois actes, représentée à Versailles devant Louis XIV mais rapidement interdite par le roi, qui la trouvait subversive. Puis le manuscrit s’est perdu. La version en cinq actes de 1669, moins mordante, avec plus de personnages, intitulée Le Tartuffe ou l’imposteur, s’est longtemps imposée comme la seule connue et représentée.
Le Tartuffe ou l’hypocrite, dont le texte a été publié en 2021 par les éditions Portaparole, a été l’un des succès de la Comédie-Française en 2022. La mise en scène d’Ivo van Hove a été saluée et des retransmissions dans des cinémas Pathé, puis une tournée à Hambourg, Montpellier, Lyon et Athènes ont été plébiscitées par le public. Le théâtre, héritier de la troupe de Molière, n’a pas versé de droits d’auteur, estimant que l’auteur est Molière.
Quatre vers écrits dans le style de Molière
Saisi dans ce litige fin 2022, le tribunal judiciaire a suivi cette interprétation. Ni Georges Forestier, ni Isabelle Grellet «ne peut prétendre à la protection de la pièce Le Tartuffe ou l’hypocrite par le droit d’auteur», conclut le tribunal dans son jugement rendu mercredi. Quatre vers écrits par Isabelle Grellet dans le style de Molière n’ont même pas convaincu les juges du caractère d’œuvre originale. «C’est un jugement que je trouve très sévère», a déclaré à l’AFP l’avocat des plaignants, Jean-Paul Carminati. «La structure de la pièce a été entièrement changée, sa dramaturgie revue… Et, même si l’on considère qu’il s’agit de recherche scientifique plutôt que de création littéraire, le droit d’auteur protège aussi les écrits scientifiques».
Les plaignants, condamnés à rembourser les frais de justice de leur adversaire, doivent encore décider s’ils font appel. «La Comédie-Française se satisfait naturellement de cette décision mais elle n’entend pas la commenter», a indiqué à l’AFP l’avocat des défendeurs, Julien Guinot-Deléry.
Avec AFP