Société
Insolite : le Covid s’est violemment attaqué à… son pénis !

Un homme a récemment confié à nos confrères journalistes de Slate avoir vu son pénis perdre près de 4 cm après avoir contracté la Covid en juillet 2021. Des urologues ont également affirmé avoir relevé des cas similaires…
Le trentenaire qui a souhaité rester anonyme, a dans un premier temps rencontré des problèmes sous la couette après son infection à la Covid. Il assure que lorsqu’il est sorti de l’hôpital, il a eu des dysfonctionnements érectiles.
Heureusement, ces derniers se sont progressivement améliorés grâce aux soins médicaux. Mais il semblerait que le jeune homme se retrouve avec un problème durable… «Mon pénis a rétréci.» Visiblement à cause des lésions vasculaires. Et ses médecins pensent que c’est certainement permanent.
Une pathologie rarissime, mais qui existe vraiment !
Certes, cette pathologie est rarissime. Mais il s’avère que dans le monde, des cas de problème de fertilité ont été constatés. Une étude publiée en 2021 dans «The Lancet» en 2021 a étudié plus de 3 700 personnes atteintes de Covid long. Et les scientifiques ont pu identifier sur ces personnes plus de 200 symptômes potentiels détectés sur l’ensemble du corps.
Parmi ces symptômes, il existe bel et bien la «diminution de la taille des testicules ou du pénis». Même si les cas n’ont été observés que dans une très petite catégorie.

Société
Confidence : «Mon mari sent mon [email protected] chaque fois que je reviens d’un voyage»

Une femme appelée, Dasola Adeosun, a plaidé auprès du tribunal de l’État d’Oyo, pour mettre fin à son union avec son mari, Taiwo.
Selon elle, avait tenté à plusieurs reprises d’utiliser leur unique vieil enfant pour des rituels d’argent. En plus, il avait l’habitude de sentir son pantalon et ses doigts à chaque fois qu’elle voyageait pour vérifier si elle avait couché avec un autre homme.
Dasola a déclaré : «Mon mari m’a épousée vierge il y a environ trois ans et demi et nous avons donné naissance à un enfant de deux ans, Emmanuel. Nous sommes séparés depuis environ un an et demi et il n’est pas responsable de notre bien-être. Chaque fois qu’il me bat, soit il m’emmène seul à l’hôpital pour me faire soigner, soit il appelle une infirmière pour qu’elle vienne me mettre une perfusion à la maison. J’ai essayé d’endurer ses excès mais il semble que ma patience ne paie plus.
Après avoir accouché de mon bébé, il a insisté pour emmener l’enfant dans sa maison familiale où, malheureusement, mes affaires ont été incendiées lorsqu’un bâton d’allumettes a été allumé et jeté dans ma chambre par une fenêtre. C’est après cet incident qu’il m’a dit qu’il emmenait l’enfant à Lagos pour des rituels d’argent. Il a fait cette démarche deux fois mais il est revenu vers moi avec le bébé qu’on lui a dit que l’enfant n’était pas utile.
Chaque fois que je lui demandais de me donner de l’argent pour m’occuper de notre enfant, il disait : « l’enfant ne m’est pas utile », et depuis, je fais ce que je peux pour l’enfant. Je ne peux pas contester le fait que ses sœurs ont apporté du matin doré et du lait à l’enfant tous les mois depuis qu’il a commencé à se nourrir d’elles, mais ce n’est pas suffisant. Il ne m’a pas payé de dot avant que nous devenions mari et femme parce que c’est moi qui ai couru», a déclaré Dasola au tribunal.
Société
Un nouveau virus a été découvert en Chine

Un nouveau virus a été découvert en Chine, selon les autorités sanitaires et les scientifiques de Taïwan. Ce dernier connu sous le nom de Langya henipavirus (LayV), a pour la première fois été découverte en 2018.
Le nouvel agent pathogène se transmet des animaux à l’homme, et pourrait provoquer des défaillances d’organes, rapporte un article du Blick mardi. À ce jour, 35 personnes auraient été contaminées.
Insuffisance hépatique
Le «LayV» appartient à la famille des paramyxovirus, qui se transmettent principalement par gouttelettes, comme le Covid-19. Il serait apparu dans les provinces chinoises du Shangdong et du Henan.
Selon le centre de contrôle des maladies taïwanais et une étude publiée dans le New England Journal of Medicine, rapportée par le Taipei Times, 26 des 35 patients présentaient une infection au nouveau virus uniquement, sans autre maladie.
Ceux-ci ont développé des symptômes tels que fièvre, fatigue, toux, perte d’appétit, douleurs musculaires, nausée ou encore maux de tête. Plus de la moitié d’entre eux présentaient également une diminution des globules blancs, plus d’un tiers une insuffisance hépatique, et 8% une insuffisance rénale.
Chiens et chèvres
Les chiens et les chèvres semblent être les principaux porteurs du virus. Aucun cas de transmission d’homme à homme n’a pu être prouvé, et aucun décès n’a été rapporté pour l’instant.
Les laboratoires taïwanais ont annoncé vouloir développer une méthode normalisée de test de l’acide nucléique pour identifier et suivre l’évolution du Langya-Henipavirus chez les humains.