Célébrités
Giorgio Chiellini avoue : «J’ai vu Karim Benzema, Luis Suarez et Robert Lewandowski, mais…»
Laissant de côté Lionel Messi et Cristiano Ronaldo, Giorgio Chiellini a désigné Zlatan Ibrahimovic comme le joueur le plus fort qu’il ait affronté. Bien qu’il ait également affronté des joueurs comme Karim Benzema, Luis Suárez et Robert Lewandowski, le défenseur italien historique a reconnu qu’il était très difficile de marquer le géant suédois.
Laissant de côté Lionel Messi et Cristiano Ronaldo, Giorgio Chiellini a désigné Zlatan Ibrahimovic comme le joueur le plus fort qu’il ait affronté.
Bien qu’il ait également affronté des joueurs comme Karim Benzema, Luis Suárez et Robert Lewandowski, le défenseur italien historique a reconnu qu’il était très difficile de marquer le géant suédois.
Il y a quelque temps, lorsqu’il était encore à la Juventus, le nouveau joueur du LAFC MLS a révélé qu’il était très difficile d’avoir Zlatan comme rival.
En effet, il estime que c’est un attaquant qui possède des vertus très particulières sur le terrain comme la force physique, la technique et la personnalité.
«En excluant Cristiano (Ronaldo) et (Lionel) Messi, qui sont deux étrangers, je dis Ibrahimovic. Zlatan a la force physique, la vitesse, la technique et la personnalité. C’était difficile de jouer contre lui».
Cela a été la conclusion du vainqueur de l’Eurocup, dans des propos (2019) repris par Sky Sports Italia lors de la dynamique des reporters juniors de la Juventus.
Certes, Benzema, Suarez ou Lewandowski auraient également pu être cités par Chiellini. Cependant, au-delà de toute opinion, personne ne peut remettre en cause le choix de Zlatan Ibrahimovic.
Par ses succès, ses records, ses performances mémorables et ses buts marqués, il est sans doute devenu l’un des meilleurs attaquants de tous les temps.
Célébrités
Céline Dion, toujours souffrante, reste «déterminée à remonter un jour sur scène»
La chanteuse canadienne Céline Dion, toujours souffrante, reste «déterminée à remonter un jour sur scène» et à «surmonter» sa maladie, a-t-elle déclaré vendredi dans une mise à jour à ses fans sur Instagram.
Diagnostiquée à l’automne 2022 d’une pathologie neurologique rare, le syndrome de la personne raide (SPR), la star québécoise a confié que surmonter cette maladie auto-immune «a été l’une des expériences les plus difficiles de (sa) vie».
«Mais je reste déterminée à remonter un jour sur scène et à mener une vie aussi normale que possible», a-t-elle ajouté en légende d’une rare photo où elle pose, sourire aux lèvres, avec ses trois fils pour la Journée internationale de sensibilisation au SPR.
«Je suis profondément reconnaissante de l’amour et du soutien de mes enfants, de ma famille, de mon équipe et de vous tous!», a souligné la chanteuse de 55 ans.
La dernière fois que Céline Dion est apparue en public, c’était lors d’une brève apparition surprise à la cérémonie des Grammy Awards à Los Angeles, aux États-Unis, début février pour remettre l’album de l’année à Taylor Swift. Escortée par son fils aîné, l’artiste aux plus de 250 millions d’albums vendus en 40 ans de carrière a alors reçu une ovation par le public.
La star québécoise n’est plus montée sur scène depuis un concert à Newark (États-Unis) en mars 2020. Sa tournée Courage World Tour avait alors été interrompue par la pandémie de Covid-19. Et depuis 2021, elle souffre des manifestations du SPR.
Touchant environ une personne sur un million, ce syndrome entraîne des douleurs aiguës et des difficultés à se mouvoir, empêchant les activités physiquement contraignantes.
Fin février, Amazon Prime Video a annoncé la sortie prochaine d’un documentaire sur la chanteuse, «I Am: Céline Dion», dans lequel elle veut «sensibiliser» sur sa maladie.
Avec AFP
Actualités
Présidentielle en Russie : Vladimir Poutine réélu pour un cinquième mandat
Vladimir Poutine, au pouvoir depuis un quart de siècle, faisait face à trois candidats triés sur le volet et sans envergure, alors que l’issue du scrutin ne laissait aucun suspense. Il a été réélu avec plus de 87% des voix, selon les premiers résultats officiels.
L’issue du dernier jour du scrutin ne faisait aucun doute : Vladimir Poutine a été réélu président de la Russie pour six années supplémentaires ce dimanche 17 mars avec plus de 87% des voix, selon les premières estimations et les résultats d’un sondage d’un institut étatique, Vtsiom. Les chiffres ont été publiés peu après la fermeture des derniers bureaux de vote à 19 heures heure française dans l’enclave de Kaliningrad.
Invasion de l’Ukraine, répression en Russie, confrontation avec l’Occident : c’est en chef de guerre autoritaire que Vladimir Poutine, au pouvoir depuis un quart de siècle, a été réélu à la tête du Kremlin dimanche pour un cinquième mandat.
74 interpellations en Russie
Les détracteurs du président russe, aux commandes du pays depuis 24 ans, ont voulu se montrer en allant voter au même moment, à midi. Mais le maître du Kremlin a pu compter sur une popularité bien réelle et a voulu faire de la présidentielle une démonstration d’unité du pays.
En fin d’après-midi, la participation nationale s’élevait à 73,33%, un record selon les chiffres officiels. Dans l’ensemble, la mobilisation de l’opposition s’est déroulée dans le calme, mais l’ONG OVD-Info, spécialisée dans le suivi de la répression, a fait état d’au moins 74 interpellations en Russie pour diverses formes de protestations électorales.
Vladimir Poutine, âgé de 71 ans, faisait face à trois candidats triés sur le volet et sans envergure. L’opposition a été décimée par des années d’une répression qui s’est encore accélérée avec le conflit en Ukraine et a culminé avec le mystérieux décès d’Alexeï Navalny dans une prison de l’Arctique en février.
Réformer en 2020 de la Constitution
Le dirigeant russe, qui a fait réformer en 2020 la Constitution pour pouvoir rester aux commandes du pays jusqu’en 2036, a déjà effectué quatre mandats (deux de quatre ans, deux autres de six ans), entrecoupés par un intermède comme premier ministre.
Au fil des ans, la verticale du pouvoir instaurée par Vladimir Poutine, issu du KGB soviétique et arrivé au Kremlin le 31 décembre 1999, a révélé deux grandes caractéristiques de son régime.
La première, celle d’un durcissement constant avec d’abord la mise au pas des oligarques, la deuxième guerre de Tchétchénie, l’étouffement des libertés publiques, des médias et de l’opposition.
Deuxième caractéristique: une quête de puissance géopolitique, avec la guerre en Géorgie (2008), l’annexion de la Crimée ukrainienne (2014), l’intervention militaire en Syrie (2015), et l’invasion de l’Ukraine (2022).
Avec AFP