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Georgina Rodriguez : la femme de Crisitano attire tous les regards sur son premier tapis rouge en Arabie Saoudite
Georgina Rodriguez (28 ans) est devenue le centre d’attention dès son arrivée en Arabie saoudite. L’Argentin s’est installé dans ce pays du Moyen-Orient après les vacances de Noël et après la signature du footballeur Cristiano Rolando (37 ans) par Al-Nassr.
«Le meilleur athlète du monde rejoint Al Nassr jusqu’en 2025», a écrit le club de football sur son compte Twitter.
Des informations qui ont à leur tour révélé que toute la famille – le footballeur et sa compagne, Georgina, ainsi que leurs enfants Cristiano Ronaldo Jr. (12 ans), les jumeaux Eva et Mateo (5 ans), Alana (5 ans) et Bella Esmeralda, qui est pas même un an – résiderait à Riyad, capitale de la nation de la péninsule arabique, pendant au moins deux ans au total.
Bien qu’au début des doutes aient surgi quant à savoir si l’Argentine pourrait ou non vivre avec l’athlète dans sa nouvelle étape professionnelle, étant donné les lois actuelles de l’Arabie saoudite qui interdisent à un couple de vivre ensemble sans s’être marié, tout semble indiquer que Georgina est déjà parfaitement intégrée dans le continent asiatique.
Bien sûr, face à un changement de garde-robe majeur. Et c’est qu’étant une femme étrangère, le modèle devrait se conformer à certaines règles sociales et culturelles, comme l’indique le ministère des Affaires étrangères : «habillée avec pudeur et décorum», dit-il expressément. Quelque chose qu’en ce moment, Georgina dépasserait de loin.
Un exemple a été son apparition aux Joy Awards 2023 il y a quelques heures à peine. Des prix qui reconnaissent et honorent le travail artistique du monde arabe. Là, la femme d’affaires hispano-argentine a porté l’une de ses plus belles tenues sur un tapis rouge.
Georgina a opté pour une longue robe en velours bleu cintrée à la taille, avec un décolleté bustier et une ouverture sur le côté, assortie d’une capuche en mousseline du même ton qui lui a servi à couvrir ses épaules, et de longs gants qui semblent évoquer le temps de Napoléon.
Le modèle a complété le look avec une ceinture bijou, des talons métalliques de la marque de luxe Le Silla et de longues boucles d’oreilles en diamants associées à un triple tour de cou.et un bracelet en argent, de la firme arabe Kooheji.
Elle-même s’est chargée de partager sa tenue à travers un post avec plusieurs clichés sur son profil Instagram, avec lequel elle a remercié son ami et créateur Ali Karoui, qui, selon Georgina elle-même, a confectionné la robe habillée en moins de 24 heures.
«Je l’ai appelé un jour avant de lui dire que j’avais besoin d’une robe et il m’a préparé ça, ce qui est incroyable», a-t-il déclaré.
Le créateur tunisien, fondateur de la société Ali Karoui Coutures, a déjà habillé le couple de Cristiano Ronaldo à plusieurs reprises, comme au Festival de Cannes ou au gala précédant les Latin Grammys.
En quelques minutes, la publication a atteint le million et demi de likes, avec des commentaires soulignant son choix : «Elle ressemble à une princesse», «spectaculaire» ou «son plus beau look», ont été quelques-uns des compliments qu’elle a reçus.
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Bénin : la 2ème édition du FInAB officiellement lancée
Le coup d’envoi de la 2ème édition du Festival International des Arts du Bénin (FInAB) a été donné avec éclat ce mardi 23 avril 2024, sur l’Esplanade de l’Amazone à Cotonou. Sous le thème «Identité et multiculturalisme : impacts sur les cultures créatives en Afrique», cet événement d’envergure vise à célébrer la diversité et la vitalité de la créativité africaine.
Ulrich Adjovi, le visionnaire derrière ce festival, s’est exprimé devant les médias lors de la cérémonie d’ouverture. «Nous sommes réunis ici à la place de l’Amazone pour inaugurer la deuxième édition du Festival International des Arts du Bénin, qui se déroulera du 23 au 28 avril sur l’Esplanade de l’Amazone ainsi qu’au Palais des Congrès de Cotonou», a déclaré M. Adjovi.
Évoquant l’importance de mettre en avant la créativité béninoise sur la scène mondiale, M. Adjovi a souligné l’ambition de créer une véritable communauté artistique. «Nous devons unir nos forces pour promouvoir notre héritage culturel à l’échelle internationale. Je souhaite que cet événement devienne un tremplin pour les artistes béninois et une vitrine de notre créativité», a-t-il affirmé.
Le FInAB ne se limite pas à un simple festival artistique, mais s’engage également à favoriser les échanges et les partenariats entre les acteurs du secteur. M. Adjovi s’est félicité de la présence de promoteurs de festivals de renom, soulignant l’importance de cette collaboration pour soutenir la scène culturelle au Bénin.
«Le gouvernement fait sa part, mais le secteur privé a également un rôle crucial à jouer. Nous invitons des promoteurs de festivals de renom à partager leurs expériences et à explorer de nouvelles opportunités de collaboration», a-t-il expliqué.
Appelant à l’engagement actif de la jeunesse béninoise, M. Adjovi a encouragé la participation et la promotion du FInAB. «Je lance un appel à tous les jeunes qui souhaitent voir ce type d’événement prospérer : engagez-vous, partagez, parlez-en autour de vous et participez activement à cette aventure», a-t-il déclaré.
Cette édition du FInAB promet une programmation riche et variée, comprenant des concerts, des spectacles d’humour et de danse, des défilés de mode, des conférences, des masterclass et des projections de films. Les festivaliers auront également l’occasion de découvrir et de déguster la gastronomie béninoise.
Le FInAB s’affirme comme un rendez-vous incontournable pour tous les amoureux d’art et de culture, offrant une plateforme unique pour célébrer la diversité et la richesse de la créativité africaine.
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Gaza : l’ONU exige une enquête internationale sur des fosses communes
Lundi, la défense civile de la bande de Gaza a affirmé avoir exhumé en trois jours environ 200 corps de personnes tuées et enterrées par les forces israéliennes dans des fosses communes à l’intérieur de l’hôpital Nasser de Khan Younès.
L’ONU a réclamé mardi une enquête internationale sur les fosses communes découvertes dans les deux principaux hôpitaux de la bande de Gaza, soulignant la nécessité d’une enquête indépendante face au «climat d’impunité» actuel.
Le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’homme s’est dit «horrifié» par la destruction du plus grand hôpital de Gaza, al-Shifa, et du deuxième plus grand établissement hospitalier du territoire palestinien, le complexe médical Nasser de Khan Younès.
Dans un communiqué, le Haut-Commissaire aux droits de l’homme, Volker Türk, a demandé que des «enquêtes indépendantes, efficaces et transparentes soient menées». «Compte tenu du climat d’impunité qui prévaut, des enquêteurs internationaux devraient être associés à cette démarche», a-t-il estimé.
«Les hôpitaux ont droit à une protection très spéciale en vertu du droit humanitaire international», a-t-il indiqué. «Et tuer intentionnellement des civils, des détenus et d’autres personnes considérées “hors de combat” est un crime de guerre», a-t-il ajouté.
Lundi, la défense civile de la bande de Gaza a affirmé avoir exhumé en trois jours environ 200 corps de personnes tuées et enterrées par les forces israéliennes dans des fosses communes à l’intérieur de l’hôpital Nasser de Khan Younès.
Quant à l’hôpital d’al-Shifa, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) avait indiqué début avril qu’il avait été réduit à une «coquille vide» jonchée de dépouilles humaines par la dernière opération israélienne contre lui.
Des chiffres probablement «sous-estimé»
Les hôpitaux de la bande de Gaza ont été durement visés durant l’opération militaire que mène l’armée israélienne dans le territoire palestinien depuis l’attaque meurtrière perpétrée en Israël le 7 octobre par des combattants du Hamas venus de Gaza.
Selon Israël, le mouvement islamique palestinien a utilisé les hôpitaux afin de mener des attaques, cacher des tunnels et des armes. Le Hamas a démenti ces accusations. Selon des responsables à Gaza, 283 corps ont été retrouvés à l’hôpital Nasser, un chiffre que le Haut-Commissariat de l’ONU tente de vérifier.
«Les victimes auraient été enterrées profondément dans le sol et recouvertes de déchets», a déclaré lors d’un point de presse une porte-parole du Haut-Commissariat, Ravina Shamdasani, ajoutant que des personnes âgées, des femmes et des blessés figuraient parmi les morts. D’autres auraient été «retrouvés les mains liées et sans vêtement».
Elle a par ailleurs indiqué que le chiffre avancé par l’armée israélienne de quelque 200 personnes tuées lors du dernier assaut contre l’hôpital al-Shifa, entre le 18 mars et début avril, pouvait être «sous-estimé». À ce jour, a-t-elle dit, «nous ne pouvons pas corroborer les chiffres exacts» des personnes tuées dans les deux hôpitaux : «c’est la raison pour laquelle nous insistons sur la nécessité d’enquêtes internationales».
Avec AFP