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Gavi s’inquiète : Barcelone a déjà sa première victime pour que Lionel Messi puisse arriver

Pendant que les supporters blaugrana attendent le retour de leur idole, plusieurs footballeurs vont devoir quitter le Camp Nou
L’avenir de Lionel Messi à Barcelone continue de générer des mouvements au sein du club, et l’un des premiers touchés par son éventuelle arrivée est le jeune talent Ansu Fati.
Selon certaines informations, l’entraîneur Xavi Hernandez l’informera dans les prochains jours qu’il ne l’a pas et qu’il devra chercher un nouveau club, Wolverhampton en Premier League étant sa destination la plus probable.
Le jeune milieu de terrain, considéré comme une star prometteuse pour l’équipe blaugrana, a fait ses débuts en équipe première en 2019.
Cependant, son présent a été assombri par des blessures et un manque de leadership dans la saison en cours, qui a marqué son retour après une longue absence due à à une affection du genou. La décision de le retirer de l’équipe inquiète les fans et le jeune joueur.
Depuis sa blessure en novembre 2020, le paysage a radicalement changé à Barcelone. Le club a subi un changement de président avec l’arrivée de Joan Laporta, a licencié Messi et l’entraîneur Ronald Koeman, a fait des signatures importantes telles que Robert Lewandowski et Raphinha, et a été impliqué dans une série de rumeurs et de négociations, telles que la possible transfert d’Ousmane Dembélé. Au milieu de ces changements, Fati a eu du mal à retrouver sa magie et son niveau de jeu.
Xavi Hernandez a utilisé le jeune prometteur de manière limitée, lui donnant quelques minutes de jeu et l’amenant dans les derniers instants des matchs.
Cela a suscité des critiques et a laissé le joueur sans possibilité de démontrer son talent. De plus, les interventions publiques de son père réclamant plus de visibilité ont ajouté de la tension à la situation.
Quant à son avenir, il se murmure que Fati pourrait rejoindre Wolverhampton, un club de Premier League influencé par l’agent Jorge Mendes, qui gère plusieurs footballeurs.
Bien qu’il ne soit pas considéré comme la meilleure destination après son passage à Barcelone, le manque de notoriété dans l’équipe catalane pourrait conduire le jeune joueur à chercher une nouvelle opportunité et à se réinventer dans un nouvel environnement.
Le possible départ de Fati devient le premier grand pas pour l’institution culé en vue du marché des transferts, et on s’attend à ce que ce ne soit que le début d’une série de changements dans l’équipe.
Pendant ce temps, les fans et le milieu de terrain lui-même attendent avec incertitude l’issue de sa situation et l’éventuelle arrivée de Lionel Messi au club, un fait qui continue de générer des attentes dans le football mondial.

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Quatre suspects écroués en France pour le hold-up d’une bijouterie à Gstaadt

Quatre hommes soupçonnés d’avoir participé en février au vol à main armé d’une bijouterie de Gstaad, station de ski huppée des Alpes suisses, ont été mis en examen et écroués, a annoncé ce vendredi le parquet de Marseille.
Le 9 février, des individus «s’emparaient, sous la menace de deux armes de poing, de bijoux (bagues, colliers, etc) pour un montant évalué à 40 millions de francs suisses», soit plus de 41 millions d’euros, explique le parquet dans un communiqué. Ils ont ensuite quitté les lieux à bord d’un véhicule volé à Annemasse (Haute-Savoie), près de la frontière.
Perquisitions
«Les résultats des premières investigations diligentées par la JIRS (juridiction interrégionale spécialisée, NDLR) de Lyon conduisaient la JIRS de Marseille à se saisir des faits», ajoute le parquet. Une équipe de malfaiteurs niçois était soupçonnée, a précisé une source proche de l’enquête à l’AFP.
Les investigations ont conduit à l’arrestation, ces derniers jours, de 11 personnes dans les Alpes-Maritimes, notamment à Nice, Vallauris et Mandelieu avec l’aide des unités d’intervention, le Raid et la BRI.
Lors des perquisitions, environ 4500 euros, un traceur GPS, un brouilleur ou des talkiewalkies ont été saisis mais aucune trace des bijoux. «Le butin n’a pas été retrouvé, ce ne sont pas des pièces gigantesques mais très chères», a expliqué la source proche de l’enquête.
Connus pour des faits de banditisme
En fin de compte, quatre hommes âgés de 27 à 32 ans ont été mis en examen et placés en détention provisoire. Deux sont poursuivis pour «vol avec arme en bande organisée, participation à une association de malfaiteurs en vue de crimes en bande organisée et vols en bande organisée», et les deux autres sont mis en examen uniquement pour participation à une association de malfaiteurs, détaille le parquet.
Ils sont tous connus pour des faits de banditisme, selon la source proche de l’enquête. Des membre de leurs entourages, arrêtés avec eux, sont ressortis libre et sans poursuite. «Souvent les faits de banditisme commis en Suisse émanent d’équipes en France, mais d’habitude plutôt en région lyonnaise», a encore commenté la source proche de l’enquête.
Avec AFP
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Biélorussie : peine de prison confirmée pour un journaliste et militant de la minorité polonaise

La Cour suprême de Biélorussie a annoncé ce vendredi 26 mai avoir rejeté l’appel d’un journaliste biélorusse, Andrzej Poczobut, membre de la minorité polonaise de cette ancienne république soviétique, qui avait été condamné en février à huit ans de prison.
«Le verdict (…) a été laissé inchangé, l’appel ayant été rejeté», a indiqué la Cour suprême dans un communiqué. Par conséquent, «le verdict est entré en vigueur», a-t-elle ajouté.
Une «vengeance personnelle»
Correspondant en Biélorussie pour le média polonais Gazeta Wyborcza et militant pour les droits de la minorité polonaise, Andrzej Poczobut, 50 ans, avait été reconnu coupable en février d’«appels publics à des actions visant à nuire à la sécurité nationale» du pays et d’«incitation à la haine».
Le journaliste, dont le procès s’est déroulé à huis clos au tribunal régional de Grodno (ouest), ville où vit une importante communauté d’origine polonaise, a été condamné à huit ans de camp pénitentiaire à régime sévère.
La Pologne avait dénoncé un verdict «injuste» prononcé par un «pays autoritaire» contre ce journaliste, qui était notamment poursuivi pour avoir appelé à des sanctions internationales contre la Biélorussie.
Pour sa part, la cheffe de l’opposition biélorusse en exil, Svetlana Tikhanovskaïa, avait dénoncé une «vengeance personnelle» de l’autoritaire dirigeant biélorusse Alexandre Loukachenko contre Andrzej Poczobut, incarcéré depuis son arrestation en mars 2021.
Le régime d’Alexandre Loukachenko mène une répression implacable contre toutes les voix critiques, en particulier depuis un mouvement de contestation sans précédent en 2020.
Avec AFP