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Football : Kevin De Bruyne critique sèchement Kylian Mbappé et Paris

Le feuilleton Mbappé a été au cœur du mercato estival. Lors d’une interview avec Sky Sports, Kevin De Bruyne a répondu à la question de savoir «qui remportera le Ballon d’Or en premier entre Haaland, Vinicius et Mbappé». Voici sa réponse.
«Pourquoi je place Vinicius devant Mbappé dans mon classement pour le futur vainqueur du Ballon d’Or ? Parce que je ne sais pas où Mbappé jouera cette saison. Je pense aussi que gagner au PSG est plus difficile pour Mbappé.
Il y a des rumeurs sur un possible transfert au Real Madrid, donc peut-être que je le mettrais en première position devant Haaland ou quelque chose du genre. Mais Erling est mon choix pour le Ballon d’Or avec la saison qu’il a réalisée», a déclaré De Bruyne à Sky Sports.

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Xabi Alonso au Real Madrid ? La réponse ferme de l’entraîneur du Bayer Leverkusen

Lors de la conférence de presse précédant le match contre Mayence, Xabi Alonso, l’entraîneur du Bayer Leverkusen, a été interrogé sur les spéculations le liant au banc du Real Madrid la saison prochaine. Cependant, il a répondu en disant : «Gérer le Real Madrid ? Il est encore tôt… Nous sommes en septembre.»
L’ancien international espagnol n’a pas confirmé son intention de rester au Bayer Leverkusen jusqu’en 2026, préférant éviter de discuter de cette question pour le moment.
Il a toutefois souligné son engagement envers son rôle actuel en Allemagne, malgré l’interprétation de certaines parties de la presse allemande qui y ont vu un manque d’engagement envers Leverkusen.
Xabi Alonso a tenté de clore le sujet, mais les rumeurs persistantes sur sa possible arrivée au Real Madrid l’été prochain ont dominé la conférence de presse.
Lorsqu’on lui a demandé si cela pourrait avoir un impact sur le vestiaire, il a répondu de manière catégorique : «Ils comprennent comment fonctionne le football. Cela n’a posé de problème à personne. Nous n’en discutons pas non plus». Il n’a pas fait de promesses à long terme envers Leverkusen.
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Al-Khelaïfi : «La Super League européenne est une blague. Elle était morte avant…»

Le président du PSG, Asser Al-Khelaïfi, a vivement critiqué la Super League européenne, qualifiant son existence de «farce» et affirmant qu’elle était condamnée avant même d’être dévoilée officiellement.
Lors d’une récente interview accordée au portail polonais Meczyki, Al-Khelaïfi a partagé son point de vue sur la Super League européenne, un projet conçu pour concurrencer la Ligue des Champions mais qui a finalement échoué.
En marge d’une réunion de l’Association européenne des clubs (ECA) à Varsovie, dont il est le président, Al-Khelaïfi s’est réjoui de l’unité des clubs européens et a commenté la décision du FC Barcelone et du Real Madrid de rester dans le projet de la Super League.
«La Superligue ? J’appelle cela une non-Superligue. C’est un fait. Nous sommes plus solidaires que jamais. Ils ont tenté de nous diviser, mais cela a eu l’effet inverse. Grâce à cette unité, nous pouvons accomplir des choses novatrices. Lors du dîner de mercredi, j’ai dit à mes collègues du conseil d’administration : ‘Cela ressemble à un repas familial’. Nous travaillons pour le bien commun, et bien que beaucoup d’entre nous auraient pu choisir une voie différente, nous sommes unis. L’UEFA mérite des éloges pour avoir mis fin à la Super League. Nous devons également saluer la contribution d’Aleksandar Ceferin», a-t-il déclaré.
Al-Khelaïfi a ensuite abordé la situation des clubs tels que la Juventus, le Real Madrid et Barcelone.
«Ces clubs savent que je préfère ne pas mentionner leurs noms, même en privé au sein du conseil d’administration. Je leur rappelle toujours et les encourage à revenir à l’ECA à tout moment. Ils sont les bienvenus dans la famille. La Juventus s’est déjà retirée du projet de Super League. Ils devraient emboîter le pas. Ils n’ont pas d’autre choix.
Je ne suis pas opposé à Barcelone ou au Real Madrid. Personne n’est exclu. Je suis contre les conflits et les querelles. J’ai rencontré Joan Laporta et je lui ai dit : ‘C’est la même chose. Si vous voulez vous battre, réglez vos différends entre vous. Ne perdons plus de temps là-dessus. Nous avons nos propres objectifs à atteindre. La Super League est aujourd’hui une farce. Elle était vouée à l’échec avant même d’être officiellement annoncée», a-t-il conclu.