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En France, le festival Africolor, laboratoire de la musique africain
Le mariage des instruments traditionnels et électroniques: le festival Africolor, organisé en région parisienne jusque fin décembre, est un laboratoire qui apporte du sang neuf à des musiques venues d’Afrique subsaharienne, du Mali à l’Ethiopie.
La moitié des 24 spectacles proposés par Africolor, qui se déroule principalement en Seine-Saint-Denis (région parisienne), sont des créations où les musiques africaines se conjuguent au passé, au présent et au futur.
La rencontre (en ouverture vendredi à Fontenay-sous-Bois) de la chanteuse Leïla Martial, électron libre du jazz, Rémi Leclerc (percussions corporelles et chant) et de l’ensemble vocal Ndima qui tente de préserver la tradition de polyphonies vocales du peuple Aka des forêts d’Afrique centrale, est au coeur de cette problématique.
«On fait se rencontrer des particules et des éléments chimiques (les musiciens) qui viennent s’entrechoquer, pour le meilleur ou pour le pire, se mélanger, se fondre ou bien rester à distance dans des tensions énergétiques», explique à l’AFP Sébastien Lagrave, ancien chanteur lyrique devenu directeur du festival, qui célèbre sa 32e édition.
«L’Afrique bouge à la vitesse de la lumière, et nous avons la responsabilité d’être à l’écoute de ce présent», affirme Sébastien Lagrave.
Et de cette ambition, naît l’oeuvre de Vesko, qui consacre la fusion du chant wassoulou de Maïmounia Soumbounou et des machines de Vincent Lassalle pour une transe électro-malienne. Autre illustration: le duo formé par Praktika, ses synthés et boîtes à rythme, et la flûte peule de Simon Winsé, pour un voyage rétro-futuriste.
Africolor fait aussi le pari de recomposer le passé, comme dans Afriquatuors. Donnée en 2019, cette création sera reprise le 17 décembre au Théâtre Gérard-Philipe de Saint-Denis (nord de Paris), dans une version étoffée.
«Là il y a encore une fois un aspect laboratoire: on a fait le pari de proposer à des musiciens venant des musiques classiques d’ici, qui ont l’habitude de jouer du Mozart, de réaliser des réarrangements des grands classiques d’orchestres du continent africain des années 60/70», explique Sébastien Lagrave.
Dans le respect des anciens, il donnera aussi la parole à des grandes figures qui appartiennent à l’histoire de la musique moderne d’Afrique de l’Ouest: le mandingue guinéen Sekouba Bambino et le Bissau-Guinéen Malan Mané appartiennent à cette famille de musiciens ayant connu la gloire au sein d’orchestres légendaires avant de tomber, au gré des soubresauts du continent, dans un certain anonymat.
Malan Mané avait même disparu des radars. Retrouvé grâce au livre «Les Grands» de Sylvain Prudhomme, l’ancien leader du Super Mama Djombo, exilé en France depuis 30 ans et resté longtemps sans papiers, remontera sur scène le 18 décembre à Montreuil, avec quelques survivants de ce groupe légendaire.
Célébrités
Margaret Qualley a immédiatement su que Jack Antonoff était destiné à devenir son mari
Margaret Qualley est tombée “éperdument amoureuse” de Jack Antonoff et “savait” qu’il était destiné à devenir son mari.
La star de “Maid” et le musicien et producteur de disques se sont mariés en août dernier, après deux ans de vie commune, et elle savait exactement quand ils marcheraient vers l’autel.
Dans le numéro d’avril du magazine ELLE UK, dont elle fait la couverture, elle se souvient : “J’avais rencontré Jack probablement deux semaines auparavant, mais j’ai tout de suite été éperdument amoureuse. J’ai eu la certitude qu’il était mon mari. Je parlais de Jack et j’ai dit à Virginie Viard [directrice de la création de Chanel] : “Je crois que je viens de rencontrer l’homme que je vais épouser. Et Virginie, si j’ai raison, tu me feras ma robe de mariée ? J’ai dit : ‘Donnez-moi deux ans…'”.”
L’actrice de 29 ans a planifié le mariage de ses rêves toute sa vie et lorsqu’elle a rencontré le musicien, elle a pensé qu’il avait besoin d’un “grand mariage” car il a beaucoup d’amis et de famille.
Elle s’est exprimée à ce sujet : “J’ai toujours voulu me marier. J’étais cette fille très féminine qui se promenait avec sa sœur en fantasmant sur nos mariages, ou sur ce que seraient nos maris. Mais je ne pense pas que j’aurais eu un mariage aussi important sans Jack. Je voulais que ce soit grandiose avec lui. C’était un peu comme si Jack avait besoin d’un grand mariage. Et il me semblait que ce serait plus amusant. Il a tellement d’amis formidables et une famille nombreuse. Je pense que [les mariages] sont presque autant pour votre famille et vos amis que pour vous.”
Célébrités
Taylor Swift apprécie de ne pas être «la star» des matchs de Travis Kelce
Taylor Swift aime assister aux matchs de son compagnon Travis Kelce car elle n’a pas à être “la star” de l’événement.
La chanteuse de “Anti-Hero” est régulièrement présente dans les tribunes pour encourager son petit ami lors des matchs des Kansas City Chiefs et l’entraîneur du sportif, Andy Reid, a insisté sur le fait que malgré la surveillance dont le couple fait l’objet, ils n’en font jamais “un problème” et il ne pense pas que l’attention supplémentaire que sa présence a apportée ait été négative.
Dans l’émission “Fecoe in the Morning” sur Audacy’s 610 Sports Radio, Andy a déclaré : “J’étais simplement ravi qu’ils soient tous les deux heureux. Trav n’en a jamais fait un problème. Je pense qu’elle s’est vraiment amusée à regarder les matchs sans être sous le feu des projecteurs. Elle a pu entrer dans le jeu et elle a adoré le fait de ne pas avoir à être la star. Elle pouvait se contenter de rester là-haut et de profiter. J’ai trouvé que c’était très positif”.
Andy connaît Taylor depuis plus longtemps que Travis, ce que le joueur a été choqué de découvrir.
Andy a ajouté : “En fait, je la connaissais, elle et sa famille, avant Trav… Ils viennent de Pennsylvanie, et son père était un fan des Eagles – un fan de football tout court – je crois qu’il a joué à Delaware, donc il comprend le jeu. Et elle a une mère géniale. Je l’ai rencontrée quand elle était jeune, je n’ai jamais eu peur qu’elle ne s’en sorte pas. Elle se débrouille si bien et a si bien réussi dans sa carrière.”