Société
Elle découvre que son compagnon est pédophile après avoir découvert des photos pédopornographiques

Rosie Nelson, une anglaise de 48 ans, vivait le parfait amour avec Peter Loram, un homme d’affaires. Le couple avait le projet d’acheter une maison.
Un jour, la quadragénaire a trouvé une carte SD dans le bureau du domicile de Peter. Elle ignore encore pourquoi elle a décidé de la brancher à son ordinateur pour voir ce qu’elle contenait.
Et ce qu’elle a découvert est terrifiant : des photos montrant des viols d’enfant. Rosie est restée paralysée devant l’écran en se posant plusieurs fois les mêmes questions dans sa tête : «Mais qu’est ce que je viens de voir ? Est-ce qu’il s’agit d’une blague ?»
Après avoir repris ses esprits, elle a appelé la police. La mère de famille a demandé à son fils adolescent, qui vivait avec le couple, s’il avait été abusé par Loram. Ce dernier a répondu par la négative.
Elle a ensuite fui sa maison et a emmené son fils dans un village du Devon pour se cacher de Loram. «Je l’ai entendu frapper à la porte d’entrée et sonner à la porte. Il a essayé de m’appeler et m’a laissé un message vocal. Je n’ai jamais écouté ce message vocal – je n’ai jamais su ce qu’il dit, et je ne veux pas savoir.» a confié Rosie
Une perquisition a été effectuée dans la maison de l’homme d’affaires où 240 vidéos et 204 photos pédopornographiques, que Loram avait téléchargées sur le dark web, ont été découvertes. Des images atroces mettant en scène des enfants, âgés de 2 à 15 ans.
Le prévenu Loram a été condamné à 9 mois de prison ferme et 2 ans avec sursis avec obligation de soins. Il a été inscrit au registre des délinquants sexuels, rapporte wardentimes.com

Société
Corse : libération des deux jeunes nationalistes arrêtés mardi par l’antiterrorisme à Bastia

Les deux militants majeurs du mouvement de jeunesse du parti indépendantiste Corsica Libera interpellés ce mardi à Bastia dans le cadre d’une information judiciaire du pôle antiterroriste du tribunal de Paris ont été libérés, a appris ce vendredi 26 mai l’AFP de sources proches du dossier. Ces deux personnes ont été relâchées jeudi soir sans poursuite à ce stade.
Elles avaient été arrêtées à l’aube mardi par la Brigade de recherche et d’intervention (BRI), la Sous-direction antiterroriste et la police judiciaire.
Une source judiciaire avait indiqué mardi que ces interpellations avaient lieu dans le cadre d’une information judiciaire du pôle antiterroriste du tribunal judiciaire de Paris, sans préciser laquelle.
Selon des sources proches du dossier, il s’agirait de la «fin du dossier» dans lequel le militant de Corsica Libera, Charles Pieri, figure suspectée d’avoir dirigé un temps le FLNC, a été mis en examen en décembre 2022.
Avec AFP
Actualités
Bretagne : un directeur d’abattoir condamné à deux ans de prison avec sursis après la mort d’un jeune homme en 2021

Le dirigeant était accusé d’homicide involontaire après la mort d’un étudiant de 18 ans venu travailler pendant les vacances en octobre 2021.
Un ancien directeur d’abattoir a été condamné à deux ans d’emprisonnement avec sursis pour la mort d’un jeune homme de 18 ans à Lanfains (Côtes-d’Armor) en 2021, a-t-on appris ce vendredi 26 mai auprès du tribunal de Saint-Brieuc.
Le dirigeant était poursuivi pour homicide involontaire avec circonstance aggravante et manquement délibéré à une obligation de sécurité et de prudence.
Il a été déclaré coupable jeudi par le tribunal correctionnel et condamné à deux ans de prison avec sursis, a indiqué le greffe. Une amende délictuelle de 300.000 euros a également été prononcée à l’encontre de la société LDC.
La condamnation de l’entreprise fera l’objet d’un affichage sur son site à Lanfains et dans la presse locale, a précisé la même source.
La victime, un étudiant en BTS technico-commercial à Rennes, a trouvé la mort coincé sous deux caisses remplies de carcasses de volailles le 25 octobre 2021 dans cet abattoir. Il s’agissait du premier jour de son contrat de travail qui devait normalement s’achever deux semaines plus tard.
L’étudiant était venu travailler dans cet abattoir pendant les vacances de la Toussaint. Le parquet avait requis lors de l’audience le 30 mars 15 mois d’emprisonnement avec sursis contre le prévenu et 375.000 euros d’amende contre la société LDC.
Avec AFP