Société
Des détenus coupe le pénis d’un pédophile et lui arrache le cœur
Des détenus se sont vengés d’un criminel en train de purger sa peine. Les hommes ont arraché le cœur et le pénis de celui qui avait été condamné pour pédophilie. Il est mort dans sa cellule, laissé inerte par ses compagnons de cellule.
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Relayée par nos confrères du site colombien El Tiempo, cette vengeance a été orchestrée par les codétenus d’un homme emprisonné pour des actes pédophiles. Ce dernier a été assassiné et avait un pénis et un cœur arraché.
Tué par ses trois camarades de cellule
C’est un assassinat qui a choqué les brésiliens et a été relayé massivement par les médias locaux. Un prisonnier a été tué dans sa cellule par ses codétenus. L’homme emprisonné pour des actes pédophiles a eu le cœur et le pénis arrachés. Le nom de la victime ?
Alex Sandro de Souza Mota, un homme de 30 ans qui a été assassiné dans sa cellule par trois hommes. Ce sont les gardiens de l’établissement pénitentiaire qui ont trouvé l’homme inanimé après avoir remarqué son absence à la promenade.
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«Le corps a été localisé par des agents pénitentiaires qui ont remarqué son absence dans la cour ensoleillée» peut-on lire sur le rapport du département où le détenu purgeait sa peine.
Dans le document, le crime a été qualifié de «barbare» en raison des circonstances du meurtre. Le cœur d’Alex Sandro de Souza Mota a été placé dans un conteneur à titre de preuve.
Selon le média «Massa News», l’homme accusé de pédocriminalité a été retrouvé avec son pénis à l’intérieur de sa bouche.
Le détenu qui purgeait une peine de 20 ans pour le viol de sa belle-fille présentait des coupures infligées par ses codétenus. Une histoire similaire s’est déroulée en Italie. Le père de la victime a commandité le meurtre de l’agresseur de sa fille.
«Des incisions pour extraire le cœur»
Selon le média Massa News, après le crime, les codétenus de l’homme qui purgeait une peine de 20 ans ont subi un interrogatoire. L’un d’entre eux a reconnu sa culpabilité et a déclaré qu’il suivait les ordres d’un commanditaire.
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Izaías Cordeiro de Lima, le journaliste responsable de l’enquête a donné des détails sur ce qui s’est déroulé dans cette cellule. Il raconte que l’un des détenus a porté un premier coup au cou de l’homme qui a subi une hémorragie. C’est à ce moment que l’homme a vu qu’il avait tué Alex Sandro de Souza Mota.
«Après cela, il a allongé la victime sur un lit et a commencé à faire quelques incisions pour extraire le cœur et a également retiré le pénis», a décrit le journaliste d’investigation qui a ajouté que ce dernier a été mis dans la bouche du détenu.
Parfois, les gardiens de la paix peuvent commettre des crimes sur mineurs. C’est le cas de ce policier qui a été surpris en train de violer un adolescent de 14 ans.
Un seul des détenus interrogés a reconnu sa culpabilité pour le crime tandis que les autres ont affirmé avoir retenu physiquement le pédophile pendant cet assassinat. Si ce dernier a été jugé, d’autres échappent à la prison. Cet enseignant pédophile ne connaîtra pas la réclusion car il est «trop gros».
Société
Afghanistan : 33 morts en trois jours dans des inondations
Au moins 33 personnes ont péri depuis vendredi dans des inondations et crues subites en Afghanistan, a annoncé dimanche un responsable du Département de la gestion des catastrophes naturelles. Une vingtaine des 34 provinces afghanes enregistre actuellement un niveau élevé de précipitations, y compris la province de Kaboul.
«D’après les premières informations, depuis vendredi, des crues subites ont provoqué de lourdes pertes humaines et financières», a déclaré le porte-parole Janan Sayeq. «Trente-trois personnes sont mortes et 27 ont été blessées». La plupart des décès sont imputables à la chute de toitures, a-t-il précisé.
Les précipitations ont par ailleurs entraîné la destruction totale ou partielle de près de 600 maisons et ont détruit 580 kilomètres de routes. Près de 800 hectares de terres agricoles ont été submergés et 200 têtes de bétail tuées, a ajouté le porte-parole.
Bouleversements climatiques
Ces inondations touchent quasiment toutes les régions en ce printemps, période traditionnelle de pluies en Afghanistan. Les prévisions pour la semaine à venir font état de davantage de pluies dans le pays, notamment dans les provinces de Kaboul ou de Ghazni (centre-est), Nangarhar (est) ou Kandahar (sud).
Quelque 60 personnes avaient été tuées après de fortes précipitations lors des trois dernières semaines de mars dans le pays. L’Afghanistan a connu un hiver très sec et est très touché par les bouleversements climatiques.
Selon les scientifiques, ce pays ravagé par quatre décennies de guerre et qui figure parmi les plus pauvres du monde, est aussi l’un des plus mal préparés pour faire face aux conséquences du changement climatique.
Avec AFP
Société
Brésil : 20 migrants haïtiens présumés retrouvés morts sur un bateau
Vingt corps qui seraient ceux de migrants haïtiens ont été retrouvés dans une embarcation sur un fleuve du nord du Brésil, dans un état de décomposition avancée et présentant des signes de déshydratation et de faim, a indiqué samedi la police.
Des pêcheurs ont alerté les autorités après avoir remarqué l’embarcation dérivant près de la ville de Braganca, sur la côte nord du Brésil, dans l’État du Para, a indiqué à l’AFP un porte-parole de la police fédérale, précisant que l’enquête devrait confirmer le nombre exact de victimes et leur identité.
«Selon la police civile et les experts médico-légaux, il y avait 20 corps. Le chef de la police fédérale de Braganca, Alexandre Calvinho, a dit qu’il s’agirait de réfugiés haïtiens», a indiqué la police dans un communiqué. Les victimes «seraient mortes de faim et de déshydratation, mais des analyses complémentaires sont nécessaires», est-il ajouté. Une enquête a été ouverte par le bureau du procureur.
«Ça fait beaucoup de cadavres»
Le site d’information G1 a publié une vidéo attribuée à l’un des pêcheurs, montrant un bateau en bois à la peinture bleu délavée flottant dans des eaux peu profondes et un homme dire: «Ça fait beaucoup de cadavres». Braganca est située à plus de 3500 km d’Haïti, en proie depuis plusieurs mois à une grave crise humanitaire et sécuritaire.
L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) a alerté ce mois-ci que la situation provoquait un large exode. «Pour la plupart des Haïtiens, la perspective d’une migration régulière reste un obstacle insurmontable, laissant la migration irrégulière comme seul semblant d’espoir», a indiqué l’OIM ces derniers jours.
Selon l’OIM, quelques 360’000 haïtiens ont été déplacés à l’intérieur du pays, dont «un grand nombre à plusieurs reprises», et quelque 13’000 migrants illégaux ont été renvoyés de force en mars par les pays voisins.
Avec AFP