Economie
Cristiano Ronaldo n’a pas encore fait ses débuts, et il a déjà gagné de l’argent pour Manchester United

L’arrivée du Portugais signifie non seulement pour Manchester United de renforcer son attaque, mais aussi que l’impact de son arrivée se reflète à Wall Street.
Double célébration pour les «Diables rouges». Manchester United a bondi de près de 9% ce vendredi à Wall Street, après que le retour de l’international portugais Cristiano Ronaldo est devenu officiel, mettant un terme à son histoire à la Juventus.
Une fois la nouvelle connue, vers midi à la Bourse de New York, les actions ont atteint 19,15 $ à leur meilleur moment, bien qu’au fil des heures, elles aient modéré la progression.
A la clôture de la séance sur la salle des marchés new-yorkaise, les titres du club sportif britannique s’établissaient finalement à 18,28 dollars, soit une hausse de 5,79 % par rapport à la clôture d’hier.
Manchester United a annoncé avoir trouvé un accord avec la Juventus pour le transfert de Ronaldo, revenant ainsi dans l’équipe dans laquelle il a inscrit 118 buts en 292 matchs lors de sa première étape (2003-2009).
Le club dont l’équipe première entraîne Ole Gunnar Solskjaer a expliqué que l’accord avec le quintuple Ballon d’Or est subordonné à l’approbation par les parties des «conditions personnelles» du contrat, de l’examen médical et de la délivrance d’un visa pour le Portugais.
Selon le média local TalkSport, Ronaldo a sur la table un contrat de deux ans avec un salaire de 480 000 livres par semaine (560 000 euros).
La valeur boursière du club de Wall Street a ainsi dépassé les 2,8 milliards de dollars, avec une capitalisation en hausse cumulée de 10 % depuis le début de l’année.

Célébrités
Barcelone pourrait recevoir 900 millions d’euros pour cette raison

Barcelone cherche à sortir du gouffre économique dans lequel il est plongé depuis plusieurs années et d’Espagne, ils rapportent que l’équipe catalane serait sur le point de conclure un accord pour les droits de télévision pour un chiffre proche de 900 millions d’euros, pour 30% de leurs droits.
Depuis l’arrivée de Joan Laporta pour son second mandat à la présidence de Barcelone, les problèmes économiques ont été les principaux protagonistes de l’actualité de l’équipe catalane.
De la masse salariale élevée, à la nécessité de la réduire, détachement des footballeurs comme l’idole maximale de son institution, Lionel Messi, recherche constante d’accords avec des marques afin d’obtenir des revenus plus élevés et de sortir du puits.
L’accord avec Spotify pour la publicité sur le maillot et la dénomination du Camp Nou a été l’un des plus importants de ces derniers temps. Pour suivre les appels de Xavi Hernandez à une équipe plus compétitive pour ramener Barcelone au sommet, il devra attirer plus d’argent.
Le journal «El Confidencial» rapporte que le club blaugrana est en train de négocier avec Goldman Sachs et ASF la vente de droits télévisuels qui atteindraient un revenu d’environ 900 millions d’euros pour l’institution
En ce sens, ce qu’il apporterait au groupe dirigé par Joan Laporta serait 30% des droits télévisuels de l’institution, ainsi qu’un pourcentage des revenus du projet Espai Barça, projet du conseil d’administration de réaménager l’ensemble du complexe. dans lequel se trouve le Camp Nou et ses environs
Autres accords
D’autre part, le président de Barcelone est latent dans les négociations avec CVC, qui propose un accord de 270 millions d’euros, le même s’il avait convenu dès le début dans cet accord initial de l’entreprise avec tous les clubs de la Liga.
Cette négociation n’a pas encore abouti car du côté de l’équipe espagnole ils demandent 30 millions de plus que le montant total proposé par l’entreprise. De même, un consultant est aux côtés de l’équipe pour valider ce montant proposé et ce que le club lui-même demande.
Economie
La fortune que le Borussia Dortmund a faite avec la vente de ses attaquants

Le transfert de l’attaquant norvégien Erling Haaland à Manchester City confirme une nouvelle fois le travail irréprochable de la direction du Borussia Dortmund dans sa politique de renfort, qui l’a amené à faire fortune sur les ventes de ses hommes offensifs.
Un bon œil pour sélectionner les joueurs dans les ligues satellites, la capacité à négocier, l’environnement sportif idéal pour les faire exploser et la possibilité de fermer leurs sorties complètent le combo des actions du Borussia Dortmund
Haaland en est le dernier exemple, et bien que des chiffres plus élevés aient été évoqués, la transaction continue de donner un bilan positif : il est arrivé en Allemagne pour 20 millions d’euros et part en Angleterre pour 60, obtenant un rendement de 200 %.
La liste compte deux top cases liés aux transferts d’Ousmane Dembelé et Jadon Sancho. Le Français, l’une des ventes les plus chères de l’histoire, est arrivé à Dortmund pour 35 millions en provenance de Rennes et a été acquis par Barcelone en échange de 140 millions, générant un bénéfice de 105 millions.
Le truc anglais est aussi succulent : le Borussia Dortmund a repris ses services pour 8 millions à Manchester City et l’a transféré à Manchester United, l’autre équipe de la ville, pour 85 millions.
La masse salariale ne s’arrête pas là. Pierre-Emerick Aubameyang a coûté 13 millions aux caisses du club (depuis Saint-Etienne) et a quitté Arsenal pour 63, avec un écart en faveur de 50 millions. Même si sans aucun doute, la tache sur la gestion des transferts est celle de Robert Lewandoski.
Le Polonais est arrivé pour 5 millions, et après avoir tout cassé avec 103 buts, le Bayern Munich l’a pris gratuitement avec liberté d’action face à l’inefficacité dans la négociation de renouvellement.
Sans perdre de temps, Haaland a déjà un remplaçant pour continuer la chaîne : Karim Adeyemi débarque de Salzbourg, lui aussi coïncidence d’origine avec le Norvégien, pour 30 millions. L’attaquant allemand de 20 ans quitte l’Autriche avec 19 buts en 27 matchs cette saison.
Le Borussia Dortmund, seul dans les quatre transactions de ses joueurs offensifs, a obtenu un revenu de 335 millions de dollars, un tour de table qui s’est étendu au reste des transactions.