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Bill Clinton s’associe à sa femme Hillary alors qu’il sort de l’hôpital après une infection
Rentré enfin à la maison ! Bill Clinton semblait être de bonne humeur lorsqu’il s’est lié d’amitié avec sa femme Hillary pour obtenir du soutien le 17 octobre tout en quittant l’UC Irvine.
Bill Clinton, 75 ans, rentre chez lui après avoir été hospitalisé pendant plusieurs jours. L’ancien président a été vu en train de lier les bras à son épouse Hillary Clinton, 73 ans, alors qu’il sortait de l’hôpital UC Irvine en Californie le dimanche 17 octobre.
Bien que Bill ait gardé son visage couvert d’un masque de protection, ses yeux semblaient s’illuminer à mesure qu’il s’approchait. les portes vitrées où une petite foule attendait.
Hillary a gentiment regardé son mari alors qu’ils marchaient bras dessus bras dessous, juste un jour après qu’elle lui ait rendu visite aux soins intensifs.
Bill, originaire de l’Arkansas, a porté une paire de jeans délavés avec un t-shirt bordeaux, un blazer bleu marine et des mocassins noirs.
Hillary a opté pour un look élégant et décontracté avec une chemise boutonnée blanche, une veste et un pantalon noirs ainsi qu’un mocassin pointu. L’ancienne secrétaire d’État a gardé ses cheveux blonds en queue de cheval.
Le porte-parole de Bill, Angel Ureña, a fait le point sur la santé de l’ancien président après sa sortie de ses médecins, le Dr Alpesh Amin et le Dr Lisa Bardack.
«Sa fièvre et son nombre de globules blancs sont normalisés et il rentrera chez lui à New York pour terminer sa cure d’antibiotiques», a tweeté Angel.
«Au nom de tout le monde à l’UC Irvine Medical Center, nous avons été honorés de l’avoir soigné et continuerons de surveiller ses progrès.»
Hillary a été vue en visite à Bill au centre médical samedi avec sa fille Chelsea Clinton, 40 ans. L’ancienne Première Dame avait un café Starbucks et un sac Givenchy «Antigona» à la main alors qu’elle sortait d’un véhicule avec chauffeur.
Elle a de nouveau opté pour un ensemble noir et blanc, assorti d’un manteau à motifs et d’un serre-tête, qu’elle portait fréquemment à l’époque de la Maison Blanche des années 90.
Bill a été admis à l’UC Irvine mardi cette semaine pour une infection liée «non-COVID», rapportée plus tard comme étant une infection urinaire.
«Il reste à l’hôpital pour une surveillance continue. Après deux jours de traitement, son nombre de globules blancs a tendance à baisser et il réagit bien aux antibiotiques», ont déclaré jeudi ses médecins dans un communiqué.
Son porte-parole a déclaré que Bill était de «bonne humeur» avant sa libération. «Le président Clinton a continué à faire d’excellents progrès au cours des dernières 24 heures. Il passera la nuit au centre médical UC Irvine pour continuer à recevoir des antibiotiques IV avant une sortie prévue demain», a tweeté son représentant samedi soir.
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Arabie saoudite : le roi Salmane hospitalisé pour des «examens de routine»
Le roi Salmane d’Arabie saoudite, âgé de 88 ans, a été admis à l’hôpital pour des «examens de routine», a annoncé mercredi la Cour royale, dans une rare déclaration publique sur son état de santé.
Les examens se déroulent à l’hôpital spécialisé King Faisal dans la ville côtière de Jeddah, sur la mer Rouge, et devraient durer «quelques heures», a-t-elle précisé, selon l’agence de presse officielle saoudienne (SPA).
Le roi Salmane Ben Abdel Aziz est à la tête du royaume du Golfe depuis 2015, même si le pays est dirigé au quotidien par son fils de 38 ans, Mohammed ben Salmane, nommé prince héritier en 2017. Les médias d’État ont montré mardi des images du monarque participant à un Conseil des ministres.
Rares apparitions publiques
Sa dernière hospitalisation date de mai 2022. Admis pour des examens médicaux, notamment une coloscopie, il avait passé une semaine à l’hôpital «pour se reposer», avait rapporté SPA à l’époque.
Ces dernières années, le roi Salmane s’est fait de plus en plus rare en public, alimentant les rumeurs sur son état de santé. Il a subi une opération de la vésicule biliaire en juillet 2020, et a été hospitalisé en mars 2022 pour des «tests médicaux» et pour remplacer la batterie de son stimulateur cardiaque.
Avant d’accéder au trône, le roi Salmane a été gouverneur de Ryad pendant des décennies et ministre de la Défense. Son règne a été marqué par d’importantes réformes sociales et économiques, visant à diversifier l’économie du premier exportateur de brut au monde, et portées surtout par son fils. L’ambitieux prince Mohammed a mené une vaste campagne de répression, qui l’a aidé à consolider son pouvoir, selon les analystes.
Avec AFP
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L’Argentine demande au Pakistan et au Sri Lanka d’arrêter un ministre iranien
Le gouvernement argentin a demandé mardi 23 avril au Pakistan et au Sri Lanka d’arrêter le ministre iranien de l’Intérieur Ahmad Vahidi, recherché pour l’attentat contre la mutuelle juive Amia à Buenos Aires en 1994, et qui effectue actuellement une tournée dans ces deux pays, a annoncé le ministère des Affaires étrangères.
«L’Argentine demande l’arrestation internationale des responsables de l’attentat à la bombe de 1994 contre l’Amia, qui a causé la mort de 85 personnes, et qui continuent à leurs postes de pouvoir en toute impunité», a écrit le ministère dans un communiqué, a écrit le ministère argentin des Affaires étrangères dans un communiqué.
«L’un d’entre eux est Ahmad Vahidi, réclamé par la justice argentine comme étant l’un des responsables de l’attentat contre l’Amia. Cet individu est actuellement ministre de l’Intérieur de la République islamique d’Iran et fait partie d’une délégation gouvernementale qui se rend ces jours-ci au Pakistan et au Sri Lanka», poursuit le texte.
«L’Argentine a demandé son arrestation aux gouvernements du Pakistan et du Sri Lanka conformément aux mécanismes prévus par Interpol», ajoute-t-il.
La plus grande communauté juive d’Amérique latine
Le général Vahidi est ministre de l’Intérieur depuis 2021, après avoir auparavant été ministre de la Défense. Au moment de l’attentat de Buenos Aires, il dirigeait la Force al-Qods, l’unité chargée des opérations secrètes au sein des Gardiens de la révolution, l’armée idéologique du régime iranien.
L’attentat de l’Amia, le 18 juillet 1994, a été attribué par la justice argentine et par Israël au régime iranien et au mouvement chiite libanais Hezbollah. L’Iran a nié toute implication et a toujours refusé que les huit anciens responsables inculpés par la justice argentine, dont le général Vahidi et l’ex-président Ali Rasfanjani, soient interrogés.
L’Argentine compte la plus grande communauté juive d’Amérique latine, avec quelque 300.000 membres. Avant l’Amia, l’ambassade d’Israël à Buenos Aires avait été la cible en 1992 d’un attentat qui avait fait 29 morts et 200 blessés, également attribué à l’Iran par la justice argentine et qui reste lui aussi impuni.
En 2013, la présidente argentine de l’époque, Cristina Kirchner, avait signé un protocole d’accord avec l’Iran pour créer une «commission de la vérité» destinée à enquêter sur l’attentat, et permettre aux procureurs argentins de se rendre à l’étranger pour interroger les inculpés.
Cet accord a été ratifié par le Congrès argentin, mais jamais par le Parlement iranien. Il avait été fustigé par les dirigeants de la communauté juive en Argentine, qui ont accusé Cristina Kirchner de couvrir les auteurs de l’attentat. Une enquête judiciaire ouverte à ce sujet en 2015 s’est toutefois conclue par un non-lieu en 2021.
Avec AFP