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Angelina Jolie et son fils Maddox éblouissent lors de leur visite à la Maison Blanche

L’actrice hollywoodienne et son fils ont assisté au dîner d’État offert par le président Joe Biden en l’honneur de la visite du président sud-coréen Yoon Suk-Yeol.
La Maison Blanche a organisé un dîner en l’honneur de la visite officielle du président sud-coréen Yoon Suk-Yeol et de son épouse, Kim Keon-Hee.
Pour cette occasion, le président des États-Unis, Joe Biden, a convoqué diverses célébrités allant des stars du football américain à Angelina Jolie, qui est arrivée très bien accompagnée de son fils Maddox.
L’actrice hollywoodienne a utilisé sa voix pour défendre diverses causes à travers le monde. Son travail l’a amenée à participer à différents forums internationaux, mais elle a également été vue vivant avec des personnes dans les régions les plus reculées du globe pour en savoir plus sur les problèmes auxquels elles sont confrontées, s’imprégnant des problèmes auxquels elles sont confrontées, en particulier dans les où il y a des guerres.
Pour le gala, Angelina Jolie est allée bras dessus bras dessous avec son fils aîné, Maddox, 21 ans, qui est devenu son compagnon de luxe lors de ce rendez-vous spécial à la Maison Blanche auquel tous deux ont suivi une étiquette rigoureuse, un code vestimentaire que les invités sont habituellement invités à respecter pour des actes de ce type.
Angelina Jolie : Son look, inspiration pour les mariées
Le protagoniste de «Maléfique» portait une tenue blanche, qui pourrait servir d’inspiration aux mariées cette saison. Il s’agit d’une veste Chanel à double boutonnage vintage et d’une robe blanche, faites sur mesure pour elle il y a plusieurs années, selon les informations du «Daily Mail».
Pour les détails de cette tenue très nuptiale, Angelina a opté pour une pochette dorée et des sandales à plateforme. En plus d’un collier avec des perles dorées assorties aux boucles d’oreilles. Comment pourrait-il en être autrement, l’actrice lui a donné son propre style avec un rouge à lèvres rouge qu’elle utilise toujours.
La tenue de l’actrice coïncidait en apparence et en couleur avec celle portée par la Première Dame de Corée du Sud, qui est également arrivée au dîner avec des vêtements de la même couleur, tandis que Maddox portait un costume noir avec lequel il était très à l’aise.
Bien qu’il soit courant de voir l’actrice assister à des événements avec ses enfants, cela ne cesse d’étonner de voir comment ils changent au fil des ans.
Maddox est le fils aîné d’Angelina Jolie, à 21 ans, il étudie la biochimie à l’Université Yonsei en Corée du Sud, c’est pourquoi il a été l’un des invités à cette célébration.
A leur arrivée à la Maison Blanche, Angelina et Maddox ont été accostés par la presse. Les journalistes ont interrogé l’actrice sur ses projets après avoir quitté son poste d’envoyée spéciale pour l’Agenda des Nations Unies pour les réfugiés en décembre dernier, une question à laquelle elle n’a répondu qu’avec un sourire discret.
Quant à Maddox, on lui a posé des questions sur son séjour à Séoul, où il a étudié à l’université Yonsei, et tout ce qu’il a répondu a été : «super».

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Quatre suspects écroués en France pour le hold-up d’une bijouterie à Gstaadt

Quatre hommes soupçonnés d’avoir participé en février au vol à main armé d’une bijouterie de Gstaad, station de ski huppée des Alpes suisses, ont été mis en examen et écroués, a annoncé ce vendredi le parquet de Marseille.
Le 9 février, des individus «s’emparaient, sous la menace de deux armes de poing, de bijoux (bagues, colliers, etc) pour un montant évalué à 40 millions de francs suisses», soit plus de 41 millions d’euros, explique le parquet dans un communiqué. Ils ont ensuite quitté les lieux à bord d’un véhicule volé à Annemasse (Haute-Savoie), près de la frontière.
Perquisitions
«Les résultats des premières investigations diligentées par la JIRS (juridiction interrégionale spécialisée, NDLR) de Lyon conduisaient la JIRS de Marseille à se saisir des faits», ajoute le parquet. Une équipe de malfaiteurs niçois était soupçonnée, a précisé une source proche de l’enquête à l’AFP.
Les investigations ont conduit à l’arrestation, ces derniers jours, de 11 personnes dans les Alpes-Maritimes, notamment à Nice, Vallauris et Mandelieu avec l’aide des unités d’intervention, le Raid et la BRI.
Lors des perquisitions, environ 4500 euros, un traceur GPS, un brouilleur ou des talkiewalkies ont été saisis mais aucune trace des bijoux. «Le butin n’a pas été retrouvé, ce ne sont pas des pièces gigantesques mais très chères», a expliqué la source proche de l’enquête.
Connus pour des faits de banditisme
En fin de compte, quatre hommes âgés de 27 à 32 ans ont été mis en examen et placés en détention provisoire. Deux sont poursuivis pour «vol avec arme en bande organisée, participation à une association de malfaiteurs en vue de crimes en bande organisée et vols en bande organisée», et les deux autres sont mis en examen uniquement pour participation à une association de malfaiteurs, détaille le parquet.
Ils sont tous connus pour des faits de banditisme, selon la source proche de l’enquête. Des membre de leurs entourages, arrêtés avec eux, sont ressortis libre et sans poursuite. «Souvent les faits de banditisme commis en Suisse émanent d’équipes en France, mais d’habitude plutôt en région lyonnaise», a encore commenté la source proche de l’enquête.
Avec AFP
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Biélorussie : peine de prison confirmée pour un journaliste et militant de la minorité polonaise

La Cour suprême de Biélorussie a annoncé ce vendredi 26 mai avoir rejeté l’appel d’un journaliste biélorusse, Andrzej Poczobut, membre de la minorité polonaise de cette ancienne république soviétique, qui avait été condamné en février à huit ans de prison.
«Le verdict (…) a été laissé inchangé, l’appel ayant été rejeté», a indiqué la Cour suprême dans un communiqué. Par conséquent, «le verdict est entré en vigueur», a-t-elle ajouté.
Une «vengeance personnelle»
Correspondant en Biélorussie pour le média polonais Gazeta Wyborcza et militant pour les droits de la minorité polonaise, Andrzej Poczobut, 50 ans, avait été reconnu coupable en février d’«appels publics à des actions visant à nuire à la sécurité nationale» du pays et d’«incitation à la haine».
Le journaliste, dont le procès s’est déroulé à huis clos au tribunal régional de Grodno (ouest), ville où vit une importante communauté d’origine polonaise, a été condamné à huit ans de camp pénitentiaire à régime sévère.
La Pologne avait dénoncé un verdict «injuste» prononcé par un «pays autoritaire» contre ce journaliste, qui était notamment poursuivi pour avoir appelé à des sanctions internationales contre la Biélorussie.
Pour sa part, la cheffe de l’opposition biélorusse en exil, Svetlana Tikhanovskaïa, avait dénoncé une «vengeance personnelle» de l’autoritaire dirigeant biélorusse Alexandre Loukachenko contre Andrzej Poczobut, incarcéré depuis son arrestation en mars 2021.
Le régime d’Alexandre Loukachenko mène une répression implacable contre toutes les voix critiques, en particulier depuis un mouvement de contestation sans précédent en 2020.
Avec AFP