50 Cent dénonce l’hypocrisie qui fait honte aux graisses après que les photos de films de perte de poids refont surface

50 Cent a perdu 54 livres pour jouer un joueur de football diagnostiqué avec un cancer pour le film réalisé par Mario Van Peebles en 2011, All Things Fall Apart. Une décennie plus tard, des photos de sa transformation dramatique ont commencé à faire le tour en ligne et les gens n’ont pas tardé à faire des blagues.
Le samedi 28 août, le directeur de la télévision a partagé une publication Instagram d’un titre qui disait: «RAPPELEZ-VOUS QUAND 50 CENT A PERDU 55 LIVRES POUR UN FILM QUE PERSONNE N’A REGARDÉ.»
Il a riposté dans la légende, «voyez comment les gens se moquent de la discipline, mais ne peuvent même pas perdre du poids pour bien paraître. Ensuite, si vous les appelez gros, vous les faites honte. foutez le camp.
Lors d’une interview avec Parade Magazine à l’époque, 50 Cent a expliqué qu’il n’avait accepté le rôle que par respect pour son ami décédé d’un cancer.
«J’avais tellement de muscle sur moi qu’il m’était difficile de perdre de la définition même si je devenais plus léger et plus mince», a-t-il déclaré au HuffPost.
«J’ai commencé à courir pour supprimer mon appétit. Vers la fin, c’était vraiment difficile. C’était comme si je ne m’approchais pas assez de ce à quoi mon meilleur ami ressemblait à ce moment-là avant son décès, alors je ne rends pas justice à l’histoire.
50 Cent est passé de 214 livres à 160 en neuf semaines après avoir suivi un régime liquide et avoir couru sur un tapis roulant trois heures par jour. Il a déclaré que c’était «beaucoup plus difficile» que de tomber à 157 après avoir été abattu en 2000 et qu’il ne pouvait consommer que des liquides.
«J’ai dû me discipliner pour ne pas être dans l’état physique pour transmettre l’énergie que je ressentais», a-t-il déclaré. «C’est un projet passionné pour moi.
Ces jours-ci, 50 Cent est de retour au sommet de sa forme physique, bien qu’il ait 10 ans de plus. À en juger par ses photos, il va toujours régulièrement au gymnase.